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Lucille T.
40 abonnés
375 critiques
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2,0
Publiée le 9 décembre 2010
Aventure(s), n, f/pl : terme utilisé pour faire l'échos d'une relation non officielle et/ou temporaire entre deux personnes - qu'elle soit sexuelle et/oui sentimentale.
Et pas besoin d'aller vivre au bout du monde, pour en vivre.
Ce film mériterait bien quelques prix de plus que celui reçu à Deauville. Entre autre pour l'interprétation d'Annette Bening. Même si le qualificatif de chef d'oeuvre serait éxagéré, je dirais tout simplement un film magnifique. Tout la thématique tournant autour de l'abandon et de l'adoption est superbement joué par ces trois actices et les rôles masculins sont à la hauteur également. L'émotion gagne progressivement et en finesse tout au long du film et le dernier quart d'heure est bouleversant. Il est dommage que ce film soit si peu distribué (bien qu'uniquement en V.O.). Il aurait pu marquer le box office.
j'ai adoré même si il m'a un peu déprimé, c'est 3 histoires connecté mais raconté séparément qui se rejoigne à la fin, c'est très bien raconté et mis en scène. Mes larmes je les doit au sublime performance de Naomi Watts, Kerry Washington et surtout Annette Bening que j'ai trouvé encore meilleur dans ce film que celui pour le quel elle sera surement nominé au Oscar (The Kids are alright). le film dure 2h mais on ne les sent pas passé, si vous avez la chance de le voir allez-y,
dans ce mélo aux accentrs trop graves, on suit un peu avec désintérêt la quête d'une mère, d'une fille, de quelque chose qui leur échappe et par la même nous échappe également un peu. 2 heures traversées sans souffle, sans énergie, un peu platement malgré de bons acteurs.. le problème doit être ailleurs
Après le décevant Les Passagers (2009), Rodrigo Garcia revient sur le devant de la scène et ne passe pas inaperçu avec cet émouvant film choral sur trois femmes aux destins qui s'entrecroisent. Un drame touchant et poignant où on y découvre trois femmes totalement opposées les unes aux autres, une cinquantenaire qui a abandonné sa fille à 14 ans, une business-woman très indépendante et qui accumule les relations sans lendemain, tombe enceinte involontairement et enfin, un couple désireux d'avoir un enfant, se retrouve obligé de recourir à une adoption. Rodrigo Garcia dresse ici le portrait de femmes poignantes, on s'attache à elles, dans le bonheur comme dans le malheur, loin d'en avoir fait un film "Kleenex", Rodrigo Garcia nous offre une oeuvre riche en sentiments et portée à l'écran par la grâce et la puissance de Annette Bening & Naomi Watts. A signaler enfin que le film s'est vu décerné le Grand Prix du Meilleur Film lors du Festival de Deauville.
Ces portraits de Femme m'ont beaucoup émue. Je m'attendais à un film ultra féministe, un peu nian nian, je me suis reçu une vraie claque!!!! Ce films est tellement fort, et beau... Naomi Watts, toujours époustouflante.
Le Grand Prix du Meilleur film du festival de Deauville 2010 n'a pas été volé. Mother and child est un film bouleversant. Ce qui séduit d'abord ce sont ces portraits de femmes atypiques : celle qui n'a jamais fait le deuil de l'enfant qu'elle a fait adopter et qui a finit par devenir une sorte de demi-femme, froide et déphasée. Il y a celle qui a été adoptée et qui a rejeté toute la part de féminin en elle au point de devenir une espèce de machine prête à travailler et à consommer du sexe comme on boirait des cafés. Celle enfin qui rêve d'un enfant mais qui ne peut en concevoir un et qui déraille petit à petit dans sa vie. Ce film, basé sur une simple histoire d'adoption(s), devient au final un portrait de la Femme et de ses rapports à la maternité, avec l'envie, la peur, le rejet, la rupture, etc.
L'interprétation est magnifique, qu'il s'agisse d'Annette Bening, Naomie Watts ou Kerry Washington. Le film aurait pu tout à fait tomber dans le pathos ou les clichés concernant la maternité mais c'était sans compter les prototypes de ces personnages décalés et formidablement bien interprétés.
On retiendra aussi quelques scènes particulièrement réussies comme lorsque Karen confie à Paco le secret qui la ronge depuis des années, la scène de sexe dénuée de sentiments ou l'auto-présentation d'Elizabeth à son patron, interprété par Samuel L. Jackson).
Destin croisé de 3 femmes avec comme point commun la problématique de la filiation. Beaucoup de tendresse. Jamais de mièvrerie. Mais alors c'est lent, trop lent et ça manque d'accompagnement musical. Aux mecs: vous allez vous sentir un peu laissés sur le carreau.
Grandiose. Naomi Watts et Annette Benin, dans le rôle de la mère, forment un duo époustouflant dans ce film. Les destins croisées de cette fille délaissée à la naissance, d'une mère qui est tombée trop tôt enceinte et un couple qui essaie d'avoir un enfant, font de ce film, un grand film. L'émotion et la tendresse sont les atouts de cet oeuvre.
Mother and child est un concentré de sensibilité, de justesse et d'émotion ! Aucune afféterie, aucune mièvrerie dans le jeu de ces trois actrices très prenantes. Tout est bien vu, bien ciselé et précis au point de bouleverser le spectateur au plus profond ! On entre ainsi à petits pas dans l'histoire, la psychologie et l'évolution de ces trois femmes au destin croisé... Beaucoup de moments forts et intenses traduits souvent par un simple regard ! Un très beau film !
Les vies entrecroisées de trois femmes en attente d'un enfant (l'un est déjà né). Les personnages sont complexes, trop pour le script qui manque de profondeur. L'avocate sexuellement (très) active, jouée par Naomi Watts, qui cache ses fêlures derrière une attitude glaciale, a notre préférence. En face d'elle, Samuel L. Jackson, tout en subtilité, fait regretter d'avoir été si mal employé au cinéma depuis des lustres. D'ailleurs, toute l'interprétation est émérite. C'est trop long d'une demi-heure, c'est plein de beaux sentiments, c'est effroyablement féminin... C'est charmant.
Film sans fautes ! Bon à tous points de vu. Le scénario est génial , on n'imagine pas la fin avant les 10 dernières minutes. Comment un film aussi exceptionnel peut être aussi peu distribué ? Vu en Vo et à 22h20 de peur de le rater (seul autre horaire 17h45) je ne me suis pas ennuyée une seconde. Le fait qu'il soit uniquement en VO le réserve à un public limité est c'est très dommage compte tenu du sujet on ne peut plus universel traité avec tellement de justesse est de subtilité. J'ai pleuré une bonne partie du film. Une vraie perle produite par Inarritu à voir absolument .