Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kanganski
Le récit au passé, qu'il soit proche ou lointain, le goût de la topographie urbaine, donnent un ton modianesque à ce film. (...) La disjonction entre les images et la voix off brouille les repères temporels et creuse la veine romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Dérive déambulatoire à travers la ville, à la rencontre des fantômes du passé, d'existences nouvelles et de désirs charnels inconnus, le film est conçu comme un carnet intime, à partir d'images et de sons glanés pendant son séjour. Une mise à nu qui alterne entre un maniérisme trop convenu et une authentique sincérité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
De la confusion naît l'harmonie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Humanité
par La rédaction
Un scrapbook filmé comme seul ce dandy délicatement décadent sait en concocter.
Le Monde
par Isabelle Regnier
La froideur des images d'une ville abîmée par la crise, en plans très larges, contraste ici avec la proximité des visages en gros plan, et la crudité des scènes de sexe où la caméra se retrouve embarquée entre le corps du filmeur et celui de ses partenaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
Déambulation hypnotique dans la ville de Borges.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Didier Roth-Bettoni
Jamais peut-être Dieutre n'est allé aussi loin dans sa quête de lui-même et de son statut d'artiste et d'homosexuel, faisant de Después de la revolucion un objet cinématographique singulier, impudique et politique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Le film s'écoute comme un texte littéraire, tissé de confessions, de souvenirs, de correspondances étranges (...). Une tension se fait jour, entre la délectation morose et l'allégresse, le mal et la santé (...) Dieutre retrouve curieusement dans cette capitale argentine des accents de Gide, celui des Nourritures terrestres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par David A.
Le cinéaste oublie de nous emmener avec lui en voyage pour se concentrer sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Julien Welter
voir www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Ces hésitations entre l'intime et le politique donnent au film une forme de neutralité qui rend difficile de se sentir concerné par ce que l'on voit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
Le récit au passé, qu'il soit proche ou lointain, le goût de la topographie urbaine, donnent un ton modianesque à ce film. (...) La disjonction entre les images et la voix off brouille les repères temporels et creuse la veine romanesque.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Dérive déambulatoire à travers la ville, à la rencontre des fantômes du passé, d'existences nouvelles et de désirs charnels inconnus, le film est conçu comme un carnet intime, à partir d'images et de sons glanés pendant son séjour. Une mise à nu qui alterne entre un maniérisme trop convenu et une authentique sincérité.
Cahiers du Cinéma
De la confusion naît l'harmonie.
L'Humanité
Un scrapbook filmé comme seul ce dandy délicatement décadent sait en concocter.
Le Monde
La froideur des images d'une ville abîmée par la crise, en plans très larges, contraste ici avec la proximité des visages en gros plan, et la crudité des scènes de sexe où la caméra se retrouve embarquée entre le corps du filmeur et celui de ses partenaires.
Libération
Déambulation hypnotique dans la ville de Borges.
Première
Jamais peut-être Dieutre n'est allé aussi loin dans sa quête de lui-même et de son statut d'artiste et d'homosexuel, faisant de Después de la revolucion un objet cinématographique singulier, impudique et politique.
Télérama
Le film s'écoute comme un texte littéraire, tissé de confessions, de souvenirs, de correspondances étranges (...). Une tension se fait jour, entre la délectation morose et l'allégresse, le mal et la santé (...) Dieutre retrouve curieusement dans cette capitale argentine des accents de Gide, celui des Nourritures terrestres.
Excessif
Le cinéaste oublie de nous emmener avec lui en voyage pour se concentrer sur lui-même.
L'Express
voir www.lexpress.fr
Critikat.com
Ces hésitations entre l'intime et le politique donnent au film une forme de neutralité qui rend difficile de se sentir concerné par ce que l'on voit.