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Willow-des-bois
21 abonnés
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3,5
Publiée le 24 décembre 2019
Excellent!
J'avais un peu peur du fait que c'est un huis-clos. C'est pas que j'aime pas ça, - au contraire -, mais si le scénar n'est pas génial, ça peut vite devenir ennuyeux. Par exemple, Buried est bien, mais pas super, et un petit peu ennuyeux. Un film utilisant le huis-clos peut quoi qu'il en soit être excellent, comme Cube. Le 1er, parce que Cube 2 et Cube 0 sont assez nuls. J'avais aussi peur dans la mesure où on en savait trop en ayant vu les trailers, donc, un huis-clos pas de réelle surprise... aïe! Mais en fait, comme il y a quand même beaucoup de scènes qui se passent en-dehors de l'ascenseur, et vu qu'on est pas sûr jusqu'à la fin de qui est le diable and de comment ça va finir, ça en fait un super film.
Et comme je l'ai vu après un autre film génial, Les Chemins de la liberté, tout ça m'a fait passer une après-midi extra; pour une fois... Là dernière si bonne, c'était il y a des semaines déjà, quand j'ai été voir Skyline et Le Dernier des templiers, 2 films encore meilleurs que ceux d'aujourd'hui. Enfin, quoiqu'il y a eu une autre très bonne aprèm depuis, dans un autre genre, à savoir au ski, malgré le manque monstrueux de neige, même dans les 3000m d'altitude.
Cette petite série B qui ne paye pas de mine de prime abord est une excellente surprise puisqu’elle remplit son cahier des charges avec brio et surtout avec une humilité rare. Sorti il y a dix ans, ce film fantastique d’épouvante à petit budget promet peu mais ne déçoit pas et c’est tout ce qu’on lui demande. Hormis le très kitsch « L’Ascenseur », film hollandais (et son remake américain), peu de films prennent pour contexte principal un ascenseur d’immeuble dans le cadre d’un quasi huis-clos. C’est ce que ce « Devil » parvient intelligemment à faire en optimisant parfaitement l’espace et le côté claustrophobique de ce lieu commun tout en aérant un peu l’action par le biais d’intervenants extérieurs. D’un côté les agents de sécurité de l’immeuble et de l’autre les inspecteurs de police, tous censés secourir les quidams enfermés dans cette cage d’ascenseur. Et le scénario, astucieux et malin, combine tous ces protagonistes à merveille.
Le scénario a été écrit à l’époque par M. Night Shyamalan qui produit le film et, si on n’a pas le droit à un rebondissement final voire un tour de magie comme sait si bien les imaginer le cinéaste, on a le droit à des retournements de situation incessants qui maintiennent notre intérêt en éveil durant les quatre-vingts très courtes minutes que durent « Devil ». Et c’est juste assez pour nous faire frissonner et surtout faire monter la tension comme il se doit. Dès le superbe générique qui voit des plans larges de Philadelphie à l’envers on est happé par le film qui commence par un suicide étrange. Lorsque les cinq protagonistes sont coincés dans l’ascenseur, on sent que quelque chose de pas clair se profile et le long-métrage mélange habilement enquête policière, whodunit pour deviner qui est le coupable et film de frayeur avec des scènes dans le noir plutôt flippantes et quelques effets gores et sursauts sympathiques.
On apprécie un peu moins la morale sur la foi et le pardon mais, Diable en scène oblige, on s’en acquitte. De la même manière, si le retournement de situation final est réussi, la fin est trop abrupte et gentille. Mais jusque-là, les pièces du puzzle s’imbriquent avec logique et pertinence en nous surprenant continuellement. « Devil » parvient à nous tenir en haleine sans aucune baisse de rythme. Les acteurs font le travail ce qui n’est pas toujours le cas dans ce type de série B à petit budget. On peut donc affirmer que « Devil » vaut bien mieux que sa réputation de l’époque et qu’il fait passer un bon petit moment de suspense et de frayeur. Bref, c’est bien plus recommandable que pas mal des productions horrifiques actuelles, celles de Jason Blum y compris.
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Le film n'est pas très prenant. En fait c'est très difficile de tourner un film dans une seule cage d'ascenseur. L'histoire d'un meurtre à l'intérieur d'une cage de trois mètres sur trois mètres. Il y a cinq personnes dedans qui ne comprennent pas ce qui se passe vraiment. Ils ne doivent pas toucher le cadavre et déjà qu'ils sont confinés il se passe encore des choses bizarres dans ce petit lieu contigu. A côté la police mène l'enquête mais même s'ils se donnent un maximum pour résoudre l'énigme, le film peine à rester crédible. C'est bien dommage, cela part d'une bonne intention.
Une production et scénario de mister Shyamalan qui lance pas ce film dans les plus hauts étages. L'histoire bien basique ne subira pas de réparation. Par contre la composition de Fernando Velázquez stabilise le tout et procure une assez bonne atmosphère, les acteurs sont bons. A souligner, Devil à le bouton pour ne pas descendre aussi bas que le remake "L'Ascenseur" by Dick Maas.
Un huis-clos angoissant qui laisse une grande part au mysticisme mais dont le déroulement nous laisse en permanence dans l'interrogation. Qui est le tueur, pourquoi faut-il ça? Jusq'au bout, on obtient des réponses tout en ayant plus de questions simultanément. Pourtant, en dépit de ce tableau plutôt flatteur, il manque un petit truc à ce film pour en faire un must. Nous sommes ici face à honnête thriller-horreur qui malheureusement ne restera pas dans les mémoires.
Un petit film fantastique bien faible où tout est basé sur 5 personnages enfermés dans un ascenseur. Une story telling va se passer ou chaque membre va être confronté à son passé. Des meurtres , et des frayeurs , pour l' impression que le diable lui même manipule tout. Pas toujours très efficace,une impression de fait à la va-vite.
On a crû voir, c’est raté dans ce vrai film américain série B !! Avec un ascenseur qui tombe en panne, lalalère, à cause du devil inside, cinq individus X se retrouvent confinés, la faucheuse de la mort invisible guette. Un par un, chacun son tour, faites la queue, serré pas trop, contact rapprochée en 2010-2020, il y avait avant l’ascenseur hollandais néerlandais des Pays-Bas, entre ce laps de temps de la décennie, que voici la mode des remake.
La mise en scène est renversante, à l’envers droit, part de tous les côtés, laissée au hasard pour braquer sur ces protagonistes, une lueur d’ombre subliminale pour les superstitieux, qui l’eut cru Lustucru, vous mangerais tous crus. Des pâtes endormantes, du riz ennuyeux, les histoires secrètes s’ouvriront pendant 1h20, puis on se met d’accord, l’esprit physique et morale fusionne dans ce scénario final, on s’est fait chi.. à regarder ces crimes coincés dans un cube, juste du toc toc rendez-vous chez le diable.
Très déçu par le dernier film de Shyamalan, et encore plus refroidi par l'accueil de la presse pour ce film dont il a écrit l'histoire, il a fallu pas mal de temps pour que je me décide vraiment à le voir. Grand bien m'en a pris, finalement. Car il m'a permis de toucher enfin du doigt quelque chose que j'intuitais depuis pas mal de temps : Shyamalan, avant d'être un très bon réalisateur et un excellent scénariste, est aussi et surtout un génial conteur d'histoires. Je ne m'étonne maintenant plus de la déception pour son dernier film, étant donné que ça n'est pas son histoire... Tout s'explique. Voilà en tout cas un film qui me permet de croire à nouveau en Shyamalan et à espérer qu'il nous offrira encore de beaux moments de cinéma avec ses histoires, qu'elles soient mises en scène par lui ou, comme ici, par un autre. L'essentiel est d'avoir l'histoire de Shyamalan à la base.
Un petit huis clos avec le diable dans un ascenseur...un peu de rigolade, de sang, ouais c'est sympa mais pas vraiment de terreur...un peu trop américanisé à mon gout même si le plan d'entrée et de fin sont intelligemment posés, mais ce n'est pas suffisant pour en faire un bon film.[10/20]
J'ai bien aime, même si l'histoire du diable est de trop. Le huis-clos dans l'ascenseur est tres bon, bon suspens. Apres c'etait un peu difficile de trouver une fin sans l'histoire du diable. Perso, j'aurais prefere que la fille qui sidentifie a la fin soit la vrai sarah caraway et que le tueur soit sarah. Je pense que l'histoire du diable plombe le recit et que l'idee de depart etait bonne et aurait tres bien pu etre un thriller non fantastique. J'ai passe une bonne premiere heure.
On pensait ne jamais le voir au cinéma, sept mois après sa sortie américaine, Devil (2010) débarque enfin dans l'hexagone en sortie technique et nous évitant ainsi une sortie en DTV. A la réalisation, on retrouve John Erick Dowdle, à qui l'on doit l'exécrable remake En quarantaine (2008), la version US de [Rec] (2008), ce qui était loin de nous rassurer. Du haut de ses 10 millions de dollars, ce petit film d'horreur est le premier film adapté d'une trilogie nommée "The Night Chronicles", écrite et produite par M. Night Shyamalan, ce dernier accumulant les déconvenues au cinéma, il a eu la (très) bonne idée de faire un break et de confier ses scripts à de jeunes réalisateurs. Et au final, il faut avouer que l'on est agréablement surpris. Certes, le scénario n'a absolument rien d'original, mais étonnamment, du haut de ses 80 minutes, le film nous tient constamment en haleine, et ce dès le début du film, avec un générique à la fois renversant et original, une qualité photo soignée (Tak Fujimoto) et le principal ingrédient du film, des personnages suffisamment intriguant et évitant la caricature pour éveiller en nous des soupçons. Un faux huis-clos alternant entre les scènes de claustrophobie à l'intérieur de l'ascenseur et d'autres à l'intérieur et à l'extérieur du building. Un thriller surnaturel qui mérite amplement le coup d'oeil, une Série B efficace à condition de ne pas être trop exigeant (mais à la vue de la filmographie du réalisateur, on en attendait pas tant).
A partir d’une idée fantastique grotesque sortie de l’imagination en berne de M. Night Shyamalan qu’il a délibérément remis entre les pattes d’un apprenti metteur en scène dénué de talent, cette petite série B de bas étage ne propose rien de nouveau. Son scénario est d’une platitude consternante, dépourvu de rebondissement probant, où seuls les allers-retours du policier font naitre des pistes que l’on sait, rien qu’à la vue du titre, être fausses, et donc dérisoires. Les personnages, en plus d'être joués par des acteurs peu motivés, sont tous terriblement caricaturaux, au point de rendre encore plus lourde la finalité moralisante du script tandis que la mise en scène qui multiplie les gros plans en courte focale rend ce huis-clos davantage nauséeux qu’oppressant. Ce prêchi-prêcha en ascenseur n’a pour lui que son générique d’ouverture qui vous met la tête afin de s’effondrer avec fracas dans les abysses de la médiocrité cinématographique.
Un petit film de série B qui nous offre pas de grande surprise mais qui se laisse regarder avec un petit air suspect... On se pose des questions, pourquoi???? Et puis le pitch assez devellopé nous mets sur plusieurs pitch (tout comme la BA). Sous forme de huit clos, le temps passe assez vite et le film démarre rapidement (évitant de nous ennuyer au vue de l'histoire du film). Quelques bonnes séquences, même si pour le dialogue ; le réal ne sait pas foulé^^. Sa reste conventionnel et compréhensible pour simplement nous faire passer la première partie de soirée. Apres le revoir ou acheter le DVD ; peut être pas. Mais si il est diffusé à l'occasion et que vous n'avez pas encore vu. C'est un petit film qui a quelques effets et qui joue avec nos nerfs quant aux coupables... Pourquoi pas