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Un visiteur
4,5
Publiée le 12 mars 2010
sublime !!! même si l'esthétisme prime sur le rythme du scénario, ce film est magnifique! Des plans, des couleurs, une décoration, des costumes extraordinaires. Et mention spéciale à Colin Firth qui est d'une justesse parfaite.
Très mauvaise idée qu'a eu Tom Ford d'avoir adapté au grand écran le roman de Christopher Isherwood: il s'agit de l'exemple même du film inutile bien pensant et pseudo intellectuel qui laisse un sentiment de gâchis. PS: mention spéciale à l'aura lumineuse qui apparait toutes les 5 minutes. PS(2): Tom s'il te plait retourne vite à ton vrai métier.
On peut peut être y trouver quelque longueur, certes. Mais cela n'enlève rien à la beauté du film. C'est une histoire simple mais qui est interprétée avec beaucoup de profondeur et de talents. C'est peut être un film trop esthétique mais pourquoi le cinéma ne se consacrerait qu'au moche? Il est comparé à une magazine de mode filmé, mais la vraie mode se trouve dans les critiques. Dès qu'un film a une excellente photographie et des effets visuels trop prononcés, on l'accuse de vouloir faire primer l'esthétisme et d'être vide. Dans ce cas là, c'est faux. De plus, il est rare d'entendre une aussi belle musique dans un film. Elle magnifique du début à la fin.
J'avais hésité....mais j'ai bien fait le meilleur film du mois pour ma part...n'y allez pas fatigué vous risqueriez de vous endormir car le film est lent plein de douceur ; les acteurs sont superbe...l'histoire semble banale mais la réalisation est splendide.
AMAZING !!! Un film dont l'esthétisme peut rebuter mais il sert le sujet. Un film d'une sensualité surprenante (le jeux des couleurs, les regards). Tom, je t'adore
J'y suis allez par curiosité sans rien connaitre de l'histoire en espérant y voir un bon film, mais c'est très déçu que je tombe sur cette histoire gay qui m'a rapidement gonflé, le personnage principal est fatigant, on le suit tout le film dans son espèce de depression, ses souvenirs et sa nouvelle relation avec un étudiant...bref étalé sur 1h45 ce film est rapidement un supplice, vraiment pas mon genre de film
Poussé par la critique dithyrambique et une certaine curiosité, je suis allé voir ce film. Rien à dire au niveau de l'image, T. Ford faisant ce qu'on est en droit d'attendre d'un styliste c'est à dire une belle image avec des costumes soignée mais un sens parfois absent et sans grandes idées. L'histoire est celle d'un homme qui a perdu un être cher, qu'il soit homo ne change rien, le chagrin est universel. T. Ford filme des êtres sophistiqués qui sont parfois pathétiques (J. Moore, superbe) mais aussi parfois touchant et jamais manichéens. C. Firth livre une prestation tout en retenue, pas du tout spectaculaire mais incroyablement authentique. N. Houlter, le jeune garçon un peu pataud de "Pour un garçon" a bien grandi et son talent est toujours là. Si la fin m'a considérablement déçu, le reste m'a bien plu même si la mise en scène est un peu trop superficielle. D'autres critiques sur
un très beau film qui à mon goût frôle la perfection cinématographique. Loin des stéréotypes constatés dès qu'il s'agit de parler d'homosexualité. Le film est délicat, touchant et romantique. Le charme des US années 60, le jeu des acteurs et la réalisation en font un film à recommander.
Autant je ne peux pas dire que je sois déçu de ce film, autant je ne peux pas dire que j'ai vraiment su l'apprécier. Je le trouve un peu surfait. L'univers graphique est beau, Colin Firth est bon mais je trouve que tout y est un peu trop... Quelques clichés et bon, je dois dire que j'ai trouvé la chute presque trop facile. A voir tout de même.
Joli film sur l'homosexualité, presque une ode sur le désespoir d'être de cette minorité et de constater que sans l'autre on est seul; parfaitement jouer tout en nuance. Possible que la scène sur le trône n'était ni indispensable à la crédibilité de l'histoire ni à son déroulement..
A Single Man fait partie de cette catégorie finalement rare des authentiques supplices cinématographiques. Quel genre de film peut vous faire regretter amèrement d'être arrivé en avance et d'avoir trouvé une confortable place au milieu de la rangée ? Un quart d'heure après un départ pied au plancher avec un homme gris qui découvre décontenancé une tranche de pain de mie dans son freezer, on maudit les bienheureux assis à droite et à gauche et qui interdisent toute retraite vers les issues de secours. Je suis fait comme un rat... Une heure quarante plus tard, le cinéphile optimiste pourra aisément constater les dégâts d'un récit qui ferait passer une boîte de Prozac pour un tube de Smarties. Le deuil et le suicide sont soi-disant les thèmes porteurs de cette idiote synthèse de la dernière journée d'un homme qui a perdu l'amour de sa vie. Mis à part pour le côté sinistrose, on ne sait pas trop ce que ces thèmes font dans le coin d'ailleurs. Prévisible et redoutée, la fin fera hurler de rire le cynique, le candide ayant capitulé depuis longtemps. Et quand un vide sidéral scénaristique se transforme en trip communautariste, limite gay-tto, on regrette amèrement la joie naïve que l'on a bien souvent en aller au cinéma, en songeant aux milles merveilles que l'on va peut-être découvrir ce soir. La curiosité est un vilain défaut, je viens de l'apprendre à mes dépens... L'esthétisme soi-disant salué se limite à des plans langoureux sur des corps nus de jeunes éphèbes aux physiques d'Apollon et leurs yeux pleins de désir à l'idée d'apprendre tant de choses de cet homme gris qui n'aime pas le pain congelé, mais beaucoup plus les petits étudiants avec leur pulls en mohair. Simplement consternant... Et épouvantablement déprimant... On peut arrêter de filer des caméras au premier people venu ?
Le film suit la même esthétique des publicités qui le précédent. Les décors léchés, les acteurs-mannequins habillés haute-couture, la plaine lune sanguinolante sont autant d'éléments qui évoquent un parfum raffiné et cher. Pourtant, il reste une simple odeur d'eau de cologne, reliquat kitsch et vieilli qui brise la tentative esthétique du film. On aurait préféré une flagrance plus subtile, teintée de rugosités et d'évocations chaudes et sensibles.