Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Homme dans le tourbillon des sentiments, qui ne maîtrise rien, qui ne voit rien, bref un spectateur de la vie, c'est tout cela que Lionel Baier filme avec son vrai regard de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
Lionel Baïer, dont le précédent film, (...), nous avait enchantés, revient sur le motif comme un peintre. Imposture et légitimité, identités sexuelles et glissements du désir, amour du cinéma et de l'histoire des arts tout entière, dans laquelle il continue de se frayer un chemin ductile.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Un autre homme revisite avec brio des thèmes qui sont chers à l'auteur : la double vie, l'imposture. C'est une étude sans concessions des mécanismes du désir, qu'il s'agisse de sexe ou de prétention journalistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) peinture sociale drôle et habile (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Eric Loret
(...) Aux contorsions hilanrantes des dialogues répond une superbe chorégraphie des corps, où l'on verra les acteurs assez maltraités et les cadres se composer sous nos yeux. (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Ce film en noir et blanc (...) redonne de belles couleurs au cinéma suisse. Avec adresse, Lionel Baier nous balance sa comédie à la figure comme une boule de neige helvétique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
(...) le troisième film de Lionel Baier déploie moins de roublardise qu'un protagoniste-critique et les réflérences visuelles à la Nouvelle Vague ne le laissaient craindre. (...)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
"la description légère d'un monde sans engagement, mu par un cynisme tranquille, même pas méchant. C'est peut être cela, au fond, qui rend ce film si curieux."
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Vincent Thabourey
Tonique, vive, parfois agaçante, cette déclinaite, [cette oeuvre] affiche un noir et blanc revigorant qui tance avec amusement le bon goût cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Didier Roth-Bettoni
Ce film d'apprentissage est souvent drôle, parfois cruel et toujours intelligent, notamment sur la notion de goût.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Baier filme toujours aussi bien les corps (...) la vision qu'a le cinéaste du monde de la presse est un peu bêtassonne (...) Bref, le fond pèche. La forme, elle, reste prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dvdrama
par Jean-Baptiste Guégan
Esthétisant dans sa démarche et son insistance, mais aussi trop dépendant d'une interprétation terne dont ne ressort que la formidable Natacha Koutchoumov, le dernier film de Lionel Baier ennuie.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
(...) "Branlette d'auteur ou bon film ?" On se pose pile la même question devant ce long-métrage en noir et blanc, parfois empêtré dans son maniérisme. (...)
L'Express
par Julien Welter
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Elle
Homme dans le tourbillon des sentiments, qui ne maîtrise rien, qui ne voit rien, bref un spectateur de la vie, c'est tout cela que Lionel Baier filme avec son vrai regard de cinéaste.
L'Humanité
Lionel Baïer, dont le précédent film, (...), nous avait enchantés, revient sur le motif comme un peintre. Imposture et légitimité, identités sexuelles et glissements du désir, amour du cinéma et de l'histoire des arts tout entière, dans laquelle il continue de se frayer un chemin ductile.
Le Monde
Un autre homme revisite avec brio des thèmes qui sont chers à l'auteur : la double vie, l'imposture. C'est une étude sans concessions des mécanismes du désir, qu'il s'agisse de sexe ou de prétention journalistique.
Les Inrockuptibles
(...) peinture sociale drôle et habile (...)
Libération
(...) Aux contorsions hilanrantes des dialogues répond une superbe chorégraphie des corps, où l'on verra les acteurs assez maltraités et les cadres se composer sous nos yeux. (...)
Paris Match
Ce film en noir et blanc (...) redonne de belles couleurs au cinéma suisse. Avec adresse, Lionel Baier nous balance sa comédie à la figure comme une boule de neige helvétique.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
(...) le troisième film de Lionel Baier déploie moins de roublardise qu'un protagoniste-critique et les réflérences visuelles à la Nouvelle Vague ne le laissaient craindre. (...)
Chronic'art.com
"la description légère d'un monde sans engagement, mu par un cynisme tranquille, même pas méchant. C'est peut être cela, au fond, qui rend ce film si curieux."
Positif
Tonique, vive, parfois agaçante, cette déclinaite, [cette oeuvre] affiche un noir et blanc revigorant qui tance avec amusement le bon goût cinématographique.
Première
Ce film d'apprentissage est souvent drôle, parfois cruel et toujours intelligent, notamment sur la notion de goût.
Télérama
Baier filme toujours aussi bien les corps (...) la vision qu'a le cinéaste du monde de la presse est un peu bêtassonne (...) Bref, le fond pèche. La forme, elle, reste prometteuse.
Dvdrama
Esthétisant dans sa démarche et son insistance, mais aussi trop dépendant d'une interprétation terne dont ne ressort que la formidable Natacha Koutchoumov, le dernier film de Lionel Baier ennuie.
TéléCinéObs
(...) "Branlette d'auteur ou bon film ?" On se pose pile la même question devant ce long-métrage en noir et blanc, parfois empêtré dans son maniérisme. (...)
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr