AlloCiné
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Votre avis sur Vengeance ?
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Certaines scènes ont la supra classe... et d'autres sont maladroites voir ridicules... Vengeance, c'est ça tout le long. T'as le cul entre deux chaises. Parfois tu ricannes parce que y'a des passages un peu lourdingues et autant tu ravales ce que tu penses par des scènes bien rythmées et in your face. Hallyday, c'est pareil. Il joue pas trop mal, soit il joue mal. Par contre un détail... Le sang dans ce film, chui pas fan... On dirait de la terre batue, c'est sponso Roland Garros ? xD En même temps c'est le premier To que je vois.
Globalement : c'est regardable et parfois jouissif mais dispensable...
Globalement : c'est regardable et parfois jouissif mais dispensable...
Nous voici face à un film très inégale, Johnnie To a beaucoup travaillé le style, mais en a délaissé les idées morales et les dialogues, qui sont trop souvent inutiles et très peu travaillés.Johnny Hallyday est un peu fantomatique et parait à plusieurs reprises absent dans l'intrigue bien qu'il possède le rôle principal! Pour ce qui est de la réalisation et l'esthétique rien est laissé au hasard, c'est beau, ça brille et il y a de belles couleurs.
critique complete
http://le-7eme-art.over-blog.com/article-31899618.html
critique complete
http://le-7eme-art.over-blog.com/article-31899618.html
Un thriller asiatique qui a des allures de navet avec son scénario qui manque de crédibilité en étant un peu trop fantaisiste tout en parvenant quand même à apporter une touche comique réussie.
Quant à Johnny Hallyday, ce n'est pas dans ce rôle qu'il montre pouvoir être un bon acteur.
Quant à Johnny Hallyday, ce n'est pas dans ce rôle qu'il montre pouvoir être un bon acteur.
Beau film concernant la mise en scène avec des idées scénaristiques qui ont permis à Johnnie To de s'éclater! Le gunfight ne reprenant que lorsque les nuages ne sont plus devant la lune ; l'enquête des trois tueurs mise en parallèle avec le meurtre de la famille de Francis Costello... Johnnie To nous livre ici un bel hommage au samouraï de Melville. Ce qui m'a un peu déçu ce sont certains dialogues comme: "ça veut dire quoi se venger?". Le personnage perd certes la mémoire mais pas le langage. Sinon, je dirais que Johnnie Halliday ne joue pas très bien dans les premières scènes (surtout la scène de l'hôpital en fait). C'était peut être le temps qui m'était nécessaire pour m'habituer à lui et rentrer dans le film après tout. Un bon Johnnie To mais pas du niveau de "the mission" et "fulltime killer".
A aujourd'hui, LE meilleur film avec Johnny Hallyday. On dit toujours que c'est son meilleur après chaque film car il exprime un peu plus chaque fois tout son talent. Ici, il est parfait : sobre, tranquille, posé (on le sent dans ses gestes) mais aussi déterminé dans sa vengeance (d'où le titre du fil) qu'il a promis à sa fille (Sylvie Testud, admirable, qu'on rencontre brièvement), tué elle et sa fille par des tueurs à gages.
Ici, il n'y a pas de suspense, on connaît le scénario jusqu'au bout du couteau.
Ici, ce qui est mémorable, c'est le talent incontestable de Monsieur Hallyday ! Surtout lorsqu'il joue son rôle de paumé solitaire, amnésique. Séquence mémorable à coup sûr, et inaltérable de la part de notre rockeur national. Ensuite, c'est de la part du réalisateur (Johnnie To) d'instaurer une atmosphère glaçante à la Michael Mann : rythme lent à chaque séquence reliant à merveille les acteurs (Johnny en tête), d'abord pris en plans larges puis ressérés en gros plans.
Johnnie To s'inspire aussi de Jean Pierre Melville pour les plans/séquences longs et filmiques. Ne pas oublier non plus, les séquences de fusillades/bagarres merveilleusement filmées.
La musique, bien calme, ressucite l'âme du film pour donner une envergure spéciale, l'aura que dégage, en partie, la réalisation.
Il y a du culte dans l'air.
PS : Vengeance fut tourné intégralement à Hong-Kong. Johnny se retrouvant seul, il put peaufiner son rôle, le même que celui à la ville.
Vengeance fut présenté pour le 62ème Festival de Cannes (2009) mais ne reçut aucune récompense.
J'en profite pour dire que Johnny est réapparu sur scène avec Mathieu Chedid (le fils de Louis. M pour les intimes y paraît...) sur la scène de Montpellier le week end passé (4 et 5 décembre 2010). Monsieur Hallyday et M vont collaborer ensemble pour un nouvel album. Improbable, non ?, entre un pur chanteur de rock et un variété "man" ? Et Johnny a l'intention de remonter sur scène (Bercy à Paris) et de faire une ultime tournée (en 2012) à 69 ans !!! Si tu y arrives, chapeau ! Surtout que tu es là depuis un certain temps... sur les devants de la scène depuis 1955 (Les diaboliques côté cinéma) et 1957 (Golf Drouot côté chant).
Pour revenir à Vengeance, un film à ne manquer sous aucun prétexte ! Surtout pour les cinéphiles. Avis pour les âmes sensibles.
Spectateurs, attention aux balles perdues...
Ici, il n'y a pas de suspense, on connaît le scénario jusqu'au bout du couteau.
Ici, ce qui est mémorable, c'est le talent incontestable de Monsieur Hallyday ! Surtout lorsqu'il joue son rôle de paumé solitaire, amnésique. Séquence mémorable à coup sûr, et inaltérable de la part de notre rockeur national. Ensuite, c'est de la part du réalisateur (Johnnie To) d'instaurer une atmosphère glaçante à la Michael Mann : rythme lent à chaque séquence reliant à merveille les acteurs (Johnny en tête), d'abord pris en plans larges puis ressérés en gros plans.
Johnnie To s'inspire aussi de Jean Pierre Melville pour les plans/séquences longs et filmiques. Ne pas oublier non plus, les séquences de fusillades/bagarres merveilleusement filmées.
La musique, bien calme, ressucite l'âme du film pour donner une envergure spéciale, l'aura que dégage, en partie, la réalisation.
Il y a du culte dans l'air.
PS : Vengeance fut tourné intégralement à Hong-Kong. Johnny se retrouvant seul, il put peaufiner son rôle, le même que celui à la ville.
Vengeance fut présenté pour le 62ème Festival de Cannes (2009) mais ne reçut aucune récompense.
J'en profite pour dire que Johnny est réapparu sur scène avec Mathieu Chedid (le fils de Louis. M pour les intimes y paraît...) sur la scène de Montpellier le week end passé (4 et 5 décembre 2010). Monsieur Hallyday et M vont collaborer ensemble pour un nouvel album. Improbable, non ?, entre un pur chanteur de rock et un variété "man" ? Et Johnny a l'intention de remonter sur scène (Bercy à Paris) et de faire une ultime tournée (en 2012) à 69 ans !!! Si tu y arrives, chapeau ! Surtout que tu es là depuis un certain temps... sur les devants de la scène depuis 1955 (Les diaboliques côté cinéma) et 1957 (Golf Drouot côté chant).
Pour revenir à Vengeance, un film à ne manquer sous aucun prétexte ! Surtout pour les cinéphiles. Avis pour les âmes sensibles.
Spectateurs, attention aux balles perdues...
Depuis sa découverte tardive en France avec le polar The Mission, chaque nouveau film de Johnnie To est attendu comme un petit évènement par un cercle de fans toujours plus nombreux.
Avec les années, cet esthète a prouvé qu’il savait manier les codes du film d’action avec une efficacité redoutable jusqu’à atteindre une sorte d’épure dont P.T.U. est un des aboutissements.
Vengeance comporte donc tout ce qui fait le charme des réalisations du cinéaste Hongkongais.
Des gunfights virtuoses et très chorégraphiés.
L’un, poétique et abstrait, dans un sous-bois au clair de lune.
L’autre, âpre et brutal, dans une décharge où d’énormes ballots de papiers servent de boucliers mobiles aux tueurs.
On retrouve aussi la fascination du réalisateur pour les cages d’escalier et son attrait pour la cuisine et les bons petits plats que se mitonnent des tueurs plutôt portés sur la viande saignante.
Alors d’où vient la sensation que ce nouvel opus à moins de saveur qu’à l’accoutumée ?
La réponse se trouve sans doute dans la prestation indigeste de « l’idole des moins jeunes » dont le jeu - bien dissimulé derrière de grosses lunettes de soleil Optic 2000 – oscille entre absence et inexpressivité. Carence que le réalisateur tente de dissimuler derrière les pertes de mémoire de son héros vengeur et par un hommage un peu trop appuyé à quelques classiques du cinéma policier.
Au final, Vengeance pourrait se résumer à une mauvaise blague :
Johnnie et Johnny sont dans le même bateau. Jo-Jo saborde le rafiot mais To-To parvient à le maintenir à flot.
Ce qui, dans de telles circonstances, n’est pas un mince exploit !
Avec les années, cet esthète a prouvé qu’il savait manier les codes du film d’action avec une efficacité redoutable jusqu’à atteindre une sorte d’épure dont P.T.U. est un des aboutissements.
Vengeance comporte donc tout ce qui fait le charme des réalisations du cinéaste Hongkongais.
Des gunfights virtuoses et très chorégraphiés.
L’un, poétique et abstrait, dans un sous-bois au clair de lune.
L’autre, âpre et brutal, dans une décharge où d’énormes ballots de papiers servent de boucliers mobiles aux tueurs.
On retrouve aussi la fascination du réalisateur pour les cages d’escalier et son attrait pour la cuisine et les bons petits plats que se mitonnent des tueurs plutôt portés sur la viande saignante.
Alors d’où vient la sensation que ce nouvel opus à moins de saveur qu’à l’accoutumée ?
La réponse se trouve sans doute dans la prestation indigeste de « l’idole des moins jeunes » dont le jeu - bien dissimulé derrière de grosses lunettes de soleil Optic 2000 – oscille entre absence et inexpressivité. Carence que le réalisateur tente de dissimuler derrière les pertes de mémoire de son héros vengeur et par un hommage un peu trop appuyé à quelques classiques du cinéma policier.
Au final, Vengeance pourrait se résumer à une mauvaise blague :
Johnnie et Johnny sont dans le même bateau. Jo-Jo saborde le rafiot mais To-To parvient à le maintenir à flot.
Ce qui, dans de telles circonstances, n’est pas un mince exploit !
Fodscraft
Johnnie To continue d'explorer le film de gangster à sa manière, c'est-à-dire magistralement. Il utilise toutes les facettes du mythe du "bon" gangster. Toujours des invraisemblances, mais qu'importe pour Monsieur To (et pour nous), car ce qui compte c'est la corrélation entre l'image et l'idée.
Johnny Hallyday a su être utilisé à sa juste mesure par le réalisateur.
Sans être son meilleur film, Vengeance est une nouvelle brique dans son monument cinématographique.
Johnny Hallyday a su être utilisé à sa juste mesure par le réalisateur.
Sans être son meilleur film, Vengeance est une nouvelle brique dans son monument cinématographique.
Christoblog
J'aime bien Johnnie To. Son dyptique Election 1 et 2, vu il y a deux ans, était vraiment excellent et faisait penser au meilleur Scorsese par son ampleur dramatique, la complexité de ses personnages et l'intensité de sa dramaturgie.
Vengeance commence bien, par une séquence assez caractéristique du style de To : parfaitement maitrisée, maniant l'ellipse superbement. Quand notre Johnny à nous arrive, c'est à dire juste après, ca se gâte. Oh, ce n'est pas qu'il est spécialement mauvais, mais comment dire : on croit à son personnage comme on croirait à Danny Boon dans un biopic de Sartre. Et son accent n'arrange rien. L'intrigue se développe ensuite filandreusement : l'ex tueur à gage venu à Macao venger sa fille perd peu à peu la mémoire, progressivement il ne sait plus qui il doit tuer, ni pourquoi. En soi, le sujet est intrigant, et même peut-être passionant. Le problème c'est que les quelques mimiques de Johnny (moue satisfaite en cuisinant les pâtes, digne de la palette de Don Camillo) casse la magie. Le film aurait été bien plus fort avec un acteur du cru, c'est sûr.
To paraît lui même peu inspiré, sombrant par moment dans un maniérisme pompier sans intérêt, nous ménageant des scènes ridicules (la désignation des tueurs par quelques mots piqués dans le journal, la séance de tir sur le vélo). On a même droit à un passage ridiculement new age dans lequel Johnny en immersion dans la mer, et sous la pleine lune, voit tous les morts venir le saluer. Tristement Johnny devient meilleur lorsque son personnage perd sa mémoire : n'y voyez pas malice de ma part.
Les gun fights sont filmés poussivement, sans imagination, comme du sous John Woo. Bref, vous pouvez passer votre chemin et éviter cette première déception cannoise.
D'autres critiques ici : http://chris666.blogs.allocine.fr/
Vengeance commence bien, par une séquence assez caractéristique du style de To : parfaitement maitrisée, maniant l'ellipse superbement. Quand notre Johnny à nous arrive, c'est à dire juste après, ca se gâte. Oh, ce n'est pas qu'il est spécialement mauvais, mais comment dire : on croit à son personnage comme on croirait à Danny Boon dans un biopic de Sartre. Et son accent n'arrange rien. L'intrigue se développe ensuite filandreusement : l'ex tueur à gage venu à Macao venger sa fille perd peu à peu la mémoire, progressivement il ne sait plus qui il doit tuer, ni pourquoi. En soi, le sujet est intrigant, et même peut-être passionant. Le problème c'est que les quelques mimiques de Johnny (moue satisfaite en cuisinant les pâtes, digne de la palette de Don Camillo) casse la magie. Le film aurait été bien plus fort avec un acteur du cru, c'est sûr.
To paraît lui même peu inspiré, sombrant par moment dans un maniérisme pompier sans intérêt, nous ménageant des scènes ridicules (la désignation des tueurs par quelques mots piqués dans le journal, la séance de tir sur le vélo). On a même droit à un passage ridiculement new age dans lequel Johnny en immersion dans la mer, et sous la pleine lune, voit tous les morts venir le saluer. Tristement Johnny devient meilleur lorsque son personnage perd sa mémoire : n'y voyez pas malice de ma part.
Les gun fights sont filmés poussivement, sans imagination, comme du sous John Woo. Bref, vous pouvez passer votre chemin et éviter cette première déception cannoise.
D'autres critiques ici : http://chris666.blogs.allocine.fr/
Johnnie To a su être formidable ; critique goulue et acerbe de l'obscurantisme médiatique dans "Breaking News", référence ultime à Sergio Leone dans le splendide "Exilé", comédie mineure à la Capra dans "Sparrow" ou dyptique crépusculaire sur le lien entre la mafia et la politique ("Election" et "Election 2"). Toujours dans le renouvellement identitaire sur une base pourtant identique (amitié, western urbain, quiproquos mafieux), Johnnie To a su confectionner parmi les plus belles fusillades que le cinéma ait pu nous offrir ; des ballets à part entière, coulés dans de splendides ralentis aux relans de fin du monde qui attestent de la virtuosité technique de son metteur en scène. Cette fois (et il y a bien là encore deux ou trois gunfights anthologiques), Johnnie s'accompagne de Johnny. Et l'on ne sait pas trop pourquoi ; à part, évidemment, pour vendre plus facilement un film qui n'en avait pourtant pas vraiment besoin. Mais cette fois, on ne reconnaît pas la patte de Johnnie To. Son acteur, définitivement Out, la voix rauque et le visage buriné, aussi ridicule en français comme en anglais, coule d'emblée toute la crédibilité du film. Sa mono-expressivité et sa démarche pathétique dans un costume pas plus probable que celui d'un super-héros donnent à "Vengeance" le bon goût du nanar involontaire. La minceur anorexique du script (Johnnie To n'est pas connu pour sa densité scénaristique!) et l'enfilade de séquences à mourir de rire, sorties du fin fond des années 70, nous font vraiment demander si c'est bien Johnnie To qui tient la caméra. Vilain Johnny, qui tue en mandarin, en anglais et en français, ça met des gerbes de sang partout. Il fait peur aux civils le Johnny, parce qu'il veut venger sa fifille que tous les méchants mafieux ont tué. Salauds! Johnny il va dégainer plus vite que son ombre, il va faire des morts, et ça c'est pas bien, faut pas, parce que la vengeance, il paraît que si c'est un plat qui se mange froid, ça n'aboutit à rien. La violence ne résoud
Vengeance est polar... je dirai mêm mieux un western chinois. L'action part très vite et... ça s'éternise en longueur. Johnny Hallyday joue le premier rôle avec un regard de Johnny.
Abarai
Virtuose de la caméra, Johnny To nous dévoile avec Vengeance un film aigre douce. Passé la surprise de voir Johnny Halliday crever l'écran, on se retrouve devant un film au scénario trop convenu. Certaines choses auraient méritées plus d'attention, ou arrivent comme par hasard au meilleur moment (qui a parlé d'amnésie ?). Mais certaines fusillades sont très réussies, comme celle se déroulant sous la lueur ténébreuse de la lune. Les décors sont aussi travaillés et visuellement intéressants. La violence innonde parfois trop l'image, qui se met alors à briller telle une peinture à la gouache (le sang fait effectivement penser à de la peinture). Mais le résultat est tout de même là, ni extraordinaire, ni juste passable. Un bon film, nous prouvant que Johnny Halliday, est aussi capable de jouer, comme il faut.
Un film efficace et divertissant. La mise en scène ne lésine pas sur certains clichés avec ralentis à n'en plus finir et Johnny Hallyday sans être un grand acteur arrive à nous convaincre dans ce rôle ou le côté humain est très présent. A voir pour les fans.
Un très bon polar noir comme on en voit plus beaucoup. Johnny Hallyday et Johnnie To signent à deux une très belle performance.
On va pas se mentir, ça fait un petit moment que j’avais entendu parler de ce film et qu’il fallait que je le voie. Bah oui, Johnny Halliday dans un sombre thriller Hong-kongais qui tape la baston avec des chinois, ça peut en effet valoir son pesant de cacahuètes. Mais là où le film surprend c’est que c’est vraiment un truc sérieux (j’avais un doute) et Johnny est criant de vérité. J’en viendrais presque à dire qu’il est meilleur acteur que chanteur (hihi) d’ailleurs. Passons sur ça, allons droit au but. L’histoire du film est finalement assez banale, sans réelles surprises, plutôt linéaire. Mais, car il y a un mais. C’est bien foutu. Et c’est agréable à regarder. De beaux plans, de bons acteurs, d’honnêtes scènes de fight, que demande le peuple ? On tient donc là un bon film, original (il fallait oser associer Johnny et l’insupportable Sylvie Testud), qui vaut le détour l’instant d’une soirée. Vraiment pas mal.
L'histoire n'est pas très originale et les dialogues "peut mieux faire" mais globalement le film passe bien. Vengeance n'est pas encore "le film" qui révélera Johnny Hallyday au cinema.
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