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    Animal Kingdom
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    3,7
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    410 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Scénario : 4,5/5, jeu d'acteur : 4,5/5, mise en scène : 3,5/5, réalisation : 4/5. Très bon film a voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2012
    Une monstrueuse claque sur la répugnance de la nature humaine et la bêtise qui l'accompagne.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    37 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2022
    Très bon mélange entres drame et thriller avec de bons acteurs, une histoire touchante et prenante. Jolie BO aussi!
    this is my movies
    this is my movies

    700 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2016
    Voilà un film bien singulier venu d'Australie qui porte un regard nouveau sur le film de gangsters. Oui, car ici, on ne voit jamais les gangsters "au travail" mais plutôt dans leur vie de tous les jours. Quand l'un des frères meurt assassiné par la police, la vendetta s'enclenche et de là découle une suite d’événements tragiques. En voulant apporté un réalisme cru à cette fiction, le réal D. Michôd impose un style parfois agaçant mais aussi souvent pertinent, l'un n'étant pas incompatible avec l'autre mais il en résulte un film parfois poseur, au cours duquel le jeune réal se regarde filmer (magnifiquement certes, manquerait plus que ça) mais qui nous trousse aussi quelques séquences chocs qui vous remueront les tripes. Notamment le personnage de Pope, qui m'a filer la gerbe. C'est un film difficile d'accès, parfois âpre mais qui le rend bien, pratiquant l'ellipse avec bonheur afin de mieux laisser le spectateur dans l’expectative, rendant la prochaine séquence bien difficile à prévoir. Choc, réaliste (malgré quelques petites invraisemblances), beau et dur, avec quelques persos bien torturés et frappés. D'autres critiques sur
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    Bien qu’un poil lent à démarrer, « Animal Kingdom » est un drame social en provenance d’Australie très noir, à l’ambiance lourde et d’une constante tension, magnifiquement mise en scène par David Michôd et qui peut s’énorgueillir de la grande qualité de l’interprétation collégiale de sa distribution. Bonn surprise.
    cylon86
    cylon86

    2 510 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2011
    Pour son premier long-métrage, David Michôd signe un polar brut, sans concessions au style épuré. Le scénario est brillant et admirablement bien huilé jusqu'à la fin, diablement efficace. Mais ce qui frappe dans le film, ce sont les acteurs qui sont tous excellents du débutant James Frecheville au vétéran Guy Pearce en passant par Ben Mendelsohn, terrifiant et Sullivan Stempleton toujours sur la corde raide. Chaque acteur campe à merveille son personnage et la mise en scène de Michôd atteint parfois des sommets malgré un peu de longueurs.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2011
    Ce premier film d'un réalisateur australien quasi inconnu en dehors des antipodes est une formidable démonstration des possibles ravages de l'atavisme familial. Le jeune Joshua perd sa mère junkie qui a passé toute sa pauvre vie à éviter que son fils ne suive la trace de ses frères, petits malfrats de la banlieue de Melbourne. Le seul tort de Joshua sera le coup de fil bien naturel à sa grand-mère pour lui annoncer la mort subite de sa fille par overdose. Cet appel au secours va briser durablement sa vie d'adolescent, sa première petite amie périssant entre les mains assassines d'un de ses oncles psychopathes. Il faut dire un mot de cette grand-mère jouée de manière remarquable par Jacki Weaver, superbe actrice de télé australienne entrevue en 1973 dans le sublime et féérique "Panique à Hanging Rock"de peter Weir, dont on cerne assez mal la relation ambigüe qu'elle entretient avec sa marmaille, toute à la fois teintée d'un inceste pas franchement affirmé par le réalisateur et d'une volonté farouche de protéger ses fils des agressions policières et juridiques. Elle poursuit la lignée des mamas chefs de clan initiée par Margaret Wicherty dans "L'enfer est à lui" de Raoul Walsh (1949) et prolongée de la plus belle des manières par Shelley Winters dans "Bloody Mama" de Roger Corman (1970), sans oublier de citer Irene Dailey dans "Pas d'orchidée pour Miss Blandish" de Robert Aldrich (1970). La filiation est évidente et soyons sûrs que David Michod en écrivant son scénario a pensé aux œuvres de ses illustres prédécesseurs. La tonalité de l'ensemble est volontairement froide pour ne pas se laisser aller à la tentation du polar classique mais insister davantage sur le drame que vivent les deux adolescents pris dans cette tourmente qui va emporter tout sur elle. Les méthodes des flics de Melbourne sont particulièrement brutales avec à leur tête un Guy Pearce méconnaissable en lieutenant désarmé tentant en vain de faire témoigner le jeune homme contre sa famille pour briser ce clan meurtrier. Un film brutal et sans concession à ranger juste à côté des trois chefs d'œuvre cités plus haut.
    mlight
    mlight

    24 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2016
    Dès les premières secondes le réalisateur nous emmène avec lui dans son univers, car c'est bien ça qui m'a le plus convaincu dans ce film. La réalisation prend le dessus sur le scénario à mon sens, c'est la loi du plus fort et c'est dommage car tous les ingrédients étaient réunis, cadrages, musiques, jeux d'acteurs pour en faire un film qui aurait pu me glacer le sang. Je n'ai pas été assez brouillé pour que la fin me donne les frissons espérés, il reste tout de même pas mal du tout et à voir.
    maxime ...
    maxime ...

    240 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2018
    J'avais un souvenir très vivace de ce long métrage, il m'avais bien marqué la première fois ... Beaucoup moins cette fois-ci. Le début est pourtant remarquable, les vingt premières minutes sont époustouflantes, l’adrénaline ne m'a pas quitté jusqu'au spoiler: décès de Barry ( Joel Edgerton )
    . La suite est plus routinière et la sensation de " fabriquer " est un peu trop d'usage à mon gout. Les références de David Michod se font sentir, j'ai énormément pensé à The Yards de James Gray personnellement et aussi un peu aux Infiltrés de Martin Scorsese de part le personnage de Janine ( Jacki Weaver excellente ) qui m'a fait me remémoré quelques scènes avec Jack Nicholson. Dans son ensemble le film est efficace et intéressant mais manque de piquant, la gifle m'ai passé ...

    PS : Air Suply m'a par contre totalement pris de cours !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mai 2013
    Venu tout droit des terres australes, un polar sombre qui marque le public de par une lente descente aux enfers d’un jeune déshérité entrant dans le cercle fermé d’une famille criminelle de Melbourne, Animal Kingdom semble à merveille porter un titre des plus éloquents. La mort d’une mère rapproche un adolescent à l’aube de la maturité de sa famille, sa grand-mère et ses fils, tous criminels, du braquage au trafic de drogues. Le jeune Josh entre innocemment dans un univers mesquin, violent et sans pitié pour en ressortir, ou ne jamais plus en ressortir, bouleversé mais en ayant aussi perdu toute l’innocence de sa jeunesse. Un cinéaste australien, en la personne de David Michôd, est né. Un cinéaste qu’il s’agira de ne pas perdre de vue à l’avenir tant sa conception du polar, du film noir, semble originale, sans aucune mesure, dépendance, avec celui, usé jusqu’à la corde, que l’on nous sert depuis maintenant plus de dix ans.

    Ce qui frappe finalement outre mesure, c’est cette distanciation que prend le réalisateur face aux évènements qu’il décrit, tous quasiment dramatiques, alors que son film permet de côtoyer au plus proche, dans l’intimité, le destin d’une famille criminelle. Pour mieux établir le malaise, le cinéaste fait disparaître violemment le plus chérissable des frères, le plus fréquentable du moins, dès les premières encablures du film pour ne laisser place, finalement, qu’à la déchéance du plus fou de tous, le frère aîné, qui s’en l’être réellement, à l’écran du moins, lorgne très franchement du côté du sadique des chaumières, regards menaçants, faciès inquiétants à l’appui. Oui, si la mère, matriarcale, Jacki Weaver, met du temps à retrouver sa place de matrone, c’est bien parce que Michôd s’est appliqué à donner de l’ampleur à chacun des personnages, tous tourmentés d’une manière ou d’une autre, tous différents. Là est sans doute le vrai tour de force d’Animal Kingdom, la profondeur des personnages et leurs variétés. Le constat est le même du côté des forces policières, là où officie le formidable, comme souvent, Guy Pierce.

    Si l’Australie faisait office de vivier pour un cinéma puissant et prometteur, cet excellent film noir le démontre haut la main. Nul besoin de justification en regard au contexte, nul besoin d’éclairer les lanternes faiblardes de ceux qui pensent avoir tout vu, Michôd nous plonge sans préambule, aux côtés d’un jeune ado hagard qui préfère regarder les jeux télévisés que d’assister les ambulanciers qui viennent constater la mort de sa mère, dans les bas-fonds de la grande délinquance au pays de kangourous. L’univers dans lequel évolue la fange criminelle de la famille Cody n’a rien d’extraordinaire, sans richesses démesurées, sans surenchère, juste un univers insondable si proche du nôtre, des nôtres, qu’il en serait presque effrayant. Pour terminer sur une note inattendue, David Michôd, intelligemment, prend tout le monde à contre-pied alors qu’une fin possible, deux fins possible, étaient esquissées quelques minutes avant.

    Du bel ouvrage, sans pitié, froid, intelligent et sans fioritures trop souvent déplorables. Juste un récit dramatique narrer à un rythme plutôt lent qui privilégie les faciès hésitants, l’intensité des relations entre protagonistes dans une approche très intimiste de leur univers, avec comme mentionné, une distanciation nécessaires lors des évènements majeurs en vue d’éviter les mélodrames, le pathos. Que de bons acteurs australiens, des acteurs qui pour certains, auront déjà traversé l’océan Pacifique pour œuvrer à Hollywood. 17/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 mai 2011
    Personnages et situations - atmosphère - assez peu crédibles. Pas du tout convaincant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 février 2012
    11/20 C'est long mais long et en plus James Frecheville qu'il joue Josh Cody il doit une tension de 2. Bref mise à part la mére et le flic qui joue formidablement. Copie à revoir....
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    53 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2011
    Bien dans l'ensemble, très bonne interprétation mais vraiment trop de longueur ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 août 2012
    Ambiance bien lourde, histoire de famille très bien menée dans une misère sociale qui fait froid dans le dos... Très très bon!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 avril 2011
    dense, intense, original; un must have seen en cette année 2011
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