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"Biutiful" est une fable qui dit les désordres de notre époque avec un sens éblouissant de la transcendance. Iñarritu est un styliste et sa caméra, un pinceau.
Puissant mélodrame mâtiné de fantastique, "Biutiful" dresse un constat social douloureux et communique une urgence d'aimer à travers les destinées individuelles de personnages en proie à des émotions extrêmes. Un chef d'oeuvre porté par l'interprétation de l'immense Javier Bardem.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
(...) Iñarritu s'affranchit de son scénariste habituel, Guillermo Arriaga, renonce aux films-puzzles et se concentre cette fois sur le destin d'un seul homme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le réalisateur mexicain a deux atouts dans sa manche: Javier Bardem et le fantastique. Le premier porte le film sur ses épaules avec une gravité déchirante. Le second sort Biutiful de son carcan social et éclabousse le film d'une étrange beauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Comme souvent chez Inarritu, l'histoire en fait trop dans le genre misère, et son scénario dans le genre bouclé (...) Avec "Biutiful", il revient à son meilleur sans abandonner ses défauts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Moins labyrinthique que ses précédentes oeuvres (" Amour chiennes ", " 21 grammes "...), mais d'une puissance émotionnelle bouleversante, " Biutiful " puise sa force dans la présence sidérante de Bardem. Quant au titre, il faut avoir bu le film jusqu'à la dernière goutte de malheur pour le savourer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Il y a quelque chose ici qui résiste, et c'est la première fois, au déluge de l'épaisse tambouille d'Inarritu. Ce quelque chose c'est quelqu'un, c'est Javier Bardem, qui a remporté cette année à Cannes un prix d'interprétation amplement mérité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le cinéaste mexicain fait suinter à grosses gouttes son propos social, sans s'encombrer de subtilités ou de prudence. On hésite quelque peu avant de juger le parti pris : à trop jouer dans le compassionnel, ne vire-t-on pas dans le misérabilisme ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Fini les intrigues croisées, bienvenue au portrait sans queue ni tête d'un père espagnol qui exploite les immigrés de Barcelone pour entretenir ses deux enfants et leur mère junkie. (...) Inarritu plonge Javier Bardem sous une montagne de souffrance glauque (...)
La critique complète est disponible sur le site Metro
Mieux vaut s'armer d'une sacrée dose d'optimisme avant d'aller voir le quatrième film d'Iñarritu (...), fable désenchantée à la symbolique appuyée sur notre époque en voie de déshumanisation.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
CONTRE : Un mélo qui prétend que l'horreur du monde est accessoire au regard de sa propre douleur, on ne voit pas ce qu'il y a de "biutiful" là-dedans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bardem a les épaules pour maintenir héroïquement le cap, mais ce côté sampling et le forçage de tous les braquets (même la banalité indé des riffs de guitare apparaît chez Inárritu comme un procédé de terreur) pèsent d'autant plus que le film prend tout son temps (2 h 17) pour dire si peu.
Il fallait la virtuosité discrète d'un Javier Bardem, impérial, pour se sortir d'un tel rôle. La virtuosité formelle d'Inárritu, elle, est moins subtile ; elle ne fait qu'enfoncer le clou de ce mélo sur la paternité au dolorisme de bazar qui s'apitoie beaucoup trop sur lui-même. Mortifère !
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
(...) ce film râpeux, mélancolique, triste aussi et absolument magnifique.
Le Journal du Dimanche
"Biutiful" est une fable qui dit les désordres de notre époque avec un sens éblouissant de la transcendance. Iñarritu est un styliste et sa caméra, un pinceau.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Télérama
POUR : La beauté du film vient de sa fièvre, de son emportement.
Brazil
"Biutiful" va vous ouvrir les yeux. Ce n'est pas beau à voir, mais ô combien si rare.
Excessif
Javier Bardem époustouflant.
Filmsactu
Puissant mélodrame mâtiné de fantastique, "Biutiful" dresse un constat social douloureux et communique une urgence d'aimer à travers les destinées individuelles de personnages en proie à des émotions extrêmes. Un chef d'oeuvre porté par l'interprétation de l'immense Javier Bardem.
La Croix
(...) "Biutiful" est une oeuvre bouleversante et percutante.
Le Figaroscope
(...) Sans pathos, emporté par ce sens tragique de la vie mais non dénué d'espérance.
Le Monde
Une belle ambition défaite par la prodigalité de son réalisateur.
Le Parisien
(...) Iñarritu s'affranchit de son scénariste habituel, Guillermo Arriaga, renonce aux films-puzzles et se concentre cette fois sur le destin d'un seul homme.
Marianne
C'est beaucoup, parfois même trop. Mais le film irradie pourtant de la "biutiful" lumière d'une faible espérance.
Ouest France
(...) Gonzales Inarritu met en place un drame humain poignant.
Positif
(...) Biutiful confirme Alejandro González Inárritu comme un cinéaste de la tension, de l'introspection et de l'émotion (...).
Première
Le réalisateur mexicain a deux atouts dans sa manche: Javier Bardem et le fantastique. Le premier porte le film sur ses épaules avec une gravité déchirante. Le second sort Biutiful de son carcan social et éclabousse le film d'une étrange beauté.
L'Express
Voir la critique sur le site L'Express.fr
Libération
Comme souvent chez Inarritu, l'histoire en fait trop dans le genre misère, et son scénario dans le genre bouclé (...) Avec "Biutiful", il revient à son meilleur sans abandonner ses défauts.
Paris Match
Moins labyrinthique que ses précédentes oeuvres (" Amour chiennes ", " 21 grammes "...), mais d'une puissance émotionnelle bouleversante, " Biutiful " puise sa force dans la présence sidérante de Bardem. Quant au titre, il faut avoir bu le film jusqu'à la dernière goutte de malheur pour le savourer.
20 Minutes
Trop d'émotions tue l'émotion dans ce mélo qui souffre de l'absence de Guillermo Arriaga, scénariste des précédents Inarritu.
Chronic'art.com
Il y a quelque chose ici qui résiste, et c'est la première fois, au déluge de l'épaisse tambouille d'Inarritu. Ce quelque chose c'est quelqu'un, c'est Javier Bardem, qui a remporté cette année à Cannes un prix d'interprétation amplement mérité.
Critikat.com
Le cinéaste mexicain fait suinter à grosses gouttes son propos social, sans s'encombrer de subtilités ou de prudence. On hésite quelque peu avant de juger le parti pris : à trop jouer dans le compassionnel, ne vire-t-on pas dans le misérabilisme ?
Metro
Fini les intrigues croisées, bienvenue au portrait sans queue ni tête d'un père espagnol qui exploite les immigrés de Barcelone pour entretenir ses deux enfants et leur mère junkie. (...) Inarritu plonge Javier Bardem sous une montagne de souffrance glauque (...)
Télé 7 Jours
Mieux vaut s'armer d'une sacrée dose d'optimisme avant d'aller voir le quatrième film d'Iñarritu (...), fable désenchantée à la symbolique appuyée sur notre époque en voie de déshumanisation.
Télérama
CONTRE : Un mélo qui prétend que l'horreur du monde est accessoire au regard de sa propre douleur, on ne voit pas ce qu'il y a de "biutiful" là-dedans.
Cahiers du Cinéma
Bardem a les épaules pour maintenir héroïquement le cap, mais ce côté sampling et le forçage de tous les braquets (même la banalité indé des riffs de guitare apparaît chez Inárritu comme un procédé de terreur) pèsent d'autant plus que le film prend tout son temps (2 h 17) pour dire si peu.
Les Inrockuptibles
On n'a rien contre les chemins de croix, mais on voit plus l'enluminure qui cache le vide que l'illumination dans celui d'un Bardem s'affaissant.
TéléCinéObs
Il fallait la virtuosité discrète d'un Javier Bardem, impérial, pour se sortir d'un tel rôle. La virtuosité formelle d'Inárritu, elle, est moins subtile ; elle ne fait qu'enfoncer le clou de ce mélo sur la paternité au dolorisme de bazar qui s'apitoie beaucoup trop sur lui-même. Mortifère !