Derniers Avis : Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence - Page 8

C'est pas du tout la catastrophe annoncée par les critiques qui sont doute se lassent vite des "gros" films à succès et leurs suites . La seule différence c'est qu'il peut être moins abouti que les trois précédents .
L'histoire moins complexe se suit sans aucun déplaisir et par contre c'est un réel de retrouver ces pirates là avec Johnny Deep en tête ! . On peut être un peu moins fan du personnage vite hystérique de Pénélope Cruz qui encore une fois n'est pas très convaincante en ancienne conquête de J.Sparrow !
Un film qui se laisse voir sans déplaisir donc sans pour autant retrouver les péripéties qui faisaient la force de la trilogie .

Plus que jamais alambiquée, l'intrigue du quatrième volet de cette saga Disney produit un sentiment de lassitude devant tant de détours inutiles pour atteindre un but mal défini. Johnny Depp et Geoffrey Rush se livrent à un concours de cabotinage fastidieux, l'humour devient franchement laborieux, et l'apparition de Pénélope Cruz en ancien amour de jeunesse de Jack ne suffit pas à compenser la défection de Keira Knightley. Bref, on s'ennuie ferme jusqu'à l'arrivée des sirènes assez réussies; et notamment d'Astrid Berges-Frisbey qui ondule de la nageoire de la plus touchante manière. Passé ce moment de grâce, reprennent des péripéties fatigantes qui pourraient continuer jusqu'à la fin des temps si les producteurs n'avaient pas décidé d'arrêter le film au bout de 2 heures 20 pour notre plus grand soulagement. Malheureusement, le cinquième volet poussera encore plus loin la lassitude de voir s'allonger la saga.

Gore Verbinski quitte le navire et laisse sa place à Rob Marshall qui met en scène ce quatrième opus. Nous sommes bien loin de la réussite des trois premiers films. Le scenario n'apporte pas grand chose à travers des péripéties un peu trop gratuites, ses beaux décors manque d'inspirations et ce film manque cruellement de souffle épique. La distribution est correct. Le talentueux Johnny Depp est encore convaincant dans la peau du capitaine Jack Sparrow. Cependant, Ian McShane semble effacé dans son rôle de Barbe Noire et n'offre pas à " Pirates des Caraïbes 4 " un grand méchant à l'histoire. La mise en scène est paresseuse et le film enchaine jusqu'à la fin les scènes d'actions qui n'ont rien d'innovantes. Un épisode décevant et une franchise qui commence a essoufflée.

Ce 4ème volet est loin d'être le navet annoncé et décrié partout. Il se laisse correctement voir et divertit toujours. Évidemment nous sommes loin de l'effet de découverte du tout premier Pirates des Caraïbes, mais dire que c'est un ratage, ce n'est pas très objectif. Point positif, on en a enfin terminé avec l'horripilant Orlando Bloom qui a toujours le chic pour rendre plat n'importe quel personnage. Finies également les tergiversations et manoeuvres d'Elisabeth, et place à de nouveaux personnages. Si ce 4ème film avait également repris les mêmes, nul doute que cela aurait véritablement tourné à l'overdose.

Quatre ans après Jusqu’au bout du monde, Jack Sparrow est de retour. Le scénario est toujours du tandem Ted Elliot/Terry Rossio, mais Rob Marshall prend la suite de Gore Verbinski à la réalisation.
Ce changement de réalisateur fait perdre à la franchise ce côté légèrement glauque qu’elle avait depuis ses débuts. C’est peut-être anecdotique, mais c’est clairement visible que Jack a une nouvelle perruque (plus blonde) et une couche de fond de teint supplémentaire ; ce n’est pas bon signe.
L’histoire démarre sur de nouvelles bases. spoiler: En effet, de nombreux personnages des premiers films n’apparaissent pas dans ce quatrième épisode, alors qu’ils étaient bien vivants à la fin du troisième film, notamment l’équipage « habituel » (Pintel, Raguetti, Marty, Cotton, etc.).
Un autre aspect du problème est la difficulté du film à s’insérer dans l’univers de la franchise. On peut juger que le mythique Barbe Noire est trop important pour apparaitre comme un cheveu sur la soupe sans qu’il soit fait mention de son existence dans ne serait-ce que le troisième film (qui représente la lutte entre le monde de la piraterie et ceux du bon côté de la loi). Il fait également bien pâle figure à côté de Davy Jones, ou même de Barbossa dans sa version squelette, malgré les efforts de Ian MacShane, son interprète.
spoiler: Pour remplacer le couple Turner, les scénaristes ont imaginé une romance entre un missionnaire et une sirène. C’est encore plus mièvre que l’original. Ce missionnaire freine également le potentiel terreur de Barbe Noire, qui n’est qu’un toutou obéissant à sa fille.

Certaines scènes sont inutiles spoiler: (le cirque de Jack avant de sauter dans la cascade)
; la fin est expédiée spoiler: (par les espagnols, qui font de la figuration dans le film)
et sans queue ni tête.
Il n’y a pas d’abordage, pas de pillage, peu de duels les cascades font pâle figure ; on apprécie cependant l’ajout du Queen Anne’s Revenge, le vaisseau de Barbe Noire. Les créatures mythiques sont décevantes spoiler: , surtout les zombies de l’équipage de Barbe Noire (que font-ils dans l’histoire ? Pourquoi toujours des zombies ? Comment sont-ils devenus zombies ?)
.
Ce film n’a pas la saveur habituelle des Pirates des Caraïbes.

Je ne dirai pas que ce film est moins bon que les autres, graphiquement il est génial, mais il a quelque chose de différent par rapport à la "triologie". Je valide ✔

le scénario de la fontaine de jouvence m'a beaucoup plu. C'est un film vraiment bien réalisé . il est très axé aventure. bref, un bon gros film de pirates.

Gore Verbinski étant allé au bout de la trilogie qui lui a été confiée, c’est Rob Marshall qui a relevé le flambeau pour trouver en la fontaine de jouvence la nouvelle convoitise de Jack Sparrow évoquée à la fin de l’aventure précédente. Cette nouvelle aventure marque aussi le retour aux choses un peu plus terre à terre, davantage palpables, même si on reste dans l’exploitation des légendes. En l’occurrence, cette légende connue de tous et pas seulement des pirates, est convoitée par tous ceux en quête de rajeunissement. Pour exemple, les espagnols sont aussi sur le coup, mais ce n’est finalement pas développé, et ça en est presque regrettable, car ça aurait permis de changer un peu de la rivalité entre la Marine Royale et les pirates dont nous avons été témoins privilégiés au cours de la trilogie de départ. Conséquence ou pas, cela donne l’épisode le plus court jusque-là : 2h20 tout de même ! Mais il est aussi le moins spectaculaire. Toujours est-il que je le préfère aux deux épisodes précédents pour son côté un peu plus essentiel, un tantinet plus terre à terre. La petite touche fantastique n’a pas été laissée de côté pour autant, même si elle est un peu moins présente. Mais lorsqu’elle est mise en scène, ça rend bien à l’écran. Tout comme Verbinski, Orlando Bloom et Keira Knightley ont quitté le navire, préférant voguer chacun de leur côté vers de nouveaux projets. C’est également le cas avec l’absence remarquée de Pintel et de Ragetti. Même si nous les aimions bien tous et que nous regrettons presque de ne pas les voir à nouveau de la partie, cela a permis d’intégrer de nouveaux personnages tous aussi marquants les uns que les autres ! D’où le fait que je disais que nous regrettions "presque" de ne pas revoir ceux qui sont partis. Oui presque, parce qu'ils manquent à l'appel, quand même. Avant que les nouvelle têtes n'arrivent, le spectateur est d’abord très vite rassuré par une fracassante entrée en matière de Johnny Depp littéralement habité par ce rôle qui décidément lui va si bien. Puis les nouveaux personnages font un par un leur entrée en scène, comblant ainsi le vide laissé par ceux qui sont partis. Penelope Cruz débarque la première avec un personnage inattendu, prenant la place laissée vacante par Keira Knightley. Cette dernière avait fière allure, Penelope Cruz réussit à l’égaler. De plus, elle donne parfaitement la réplique à Johnny Depp, ce qui nous donne quelques scènes cocasses. Ensuite, ce sont les gueules qui montent à bord. Le capitaine Davy Jones n’est plus, et on se dit que Jack Sparrow peut régner en maître sur les océans. Seulement voilà : il n’a plus le Black Pearl, chapardé par le fourbe capitaine Barbossa. Une nouvelle confrontation entre les deux pirates devrait donc avoir lieu. Oui et non. Car un troisième larron s’invite à la fête : le célèbre capitaine Barbe Noire, ce pirate que l’inquiétante réputation précède bien avant que la proue de son navire (le Queen Ann’s Revenge) ne soit visible à l’horizon. Certes nous avons plaisir de retrouver Barbossa pour de nouvelles banderilles humoristiques avec Sparrow, car on n’imagine guère de ne plus les voir ensemble tant ils fonctionnent comme un vieux couple. Mais on s’émerveillera devant la majestuosité du bâtiment de Barbe Noire, qui n’a d’égal que le charisme de Ian McShane, superbe d’assurance et de détermination quoi qu’il en coûte, n’ayant aucun respect pour la vie exceptée la sienne. En effet, il incarne avec brio un capitaine que rien n’effraie, peu enclin aux sentiments, poussé par une quête qui devrait lui permettre de prolonger son règne sur les mers. Le maquillage et les costumes finissent de compléter parfaitement l’illusion, et on peut en dire autant à propos de Keith Richards dans la peau de papa Sparrow, pourtant peu présent. Peu présent certes, mais il trouve le moyen d’en imposer ! Malgré l’arrivée de nouveaux personnages, nous n’avons pas perdu tout le monde : monsieur Gibbs, le fidèle second de Sparrow est de la partie aussi, pour notre plus grand plaisir. Tout n’est pas pour autant parfait : les émotions sont un peu moins présentes, et l’absence des deux trublions Pintel et Ragetti se fait cruellement sentir. Au moins, ils amenaient un peu de de fun, d’originalité, enfin de ce que vous voudrez dans le genre, bien qu’ils soient totalement idiots. Ben oui, il faut se rendre à l'évidence : on aimait ces deux abrutis ! On sent même comme un gros creux de perplexité lorsque le prénom est donné à la sirène… enfin c’est indigne pour un film de cet acabit. Cependant les mythes portés à l’écran ont été revisités pour les entremêler étroitement. Il en ressort une scène plutôt bien faite, laquelle se termine de façon explosive et non moins spectaculaire. Le tout est accompagné d’une bande originale toujours aussi plaisante, mais pas suffisamment renouvelée. La photographie est également intéressante, tandis que la réalisation de Rob Marshall est plus classique que celle à laquelle Gore Verbinski nous avait habitués. C’est dommage, le film se serait bonifié s’il avait pris la peine de travailler un peu plus ses mouvements de caméra. Quoiqu’il en soit, entre les costumes, les bois qui craquent, les imposantes voilures, les personnages qui marquent les esprits, et j’en passe, "Pirates des Caraïbes" continue à nous faire voyager au gré de ses épisodes dans des décors à chaque fois différents. "La fontaine de jouvence" n’échappe pas à la règle ; et au fond, qui de mieux que de nous faire visiter dans une ambiance surannée ces superbes décors par des gens qui nous sont sympathiques… et moins sympathiques ? N’est-ce pas là le principal ?

Malgré une trilogie qui se refermait de la meilleure des manières, Pirates des Caraïbes voit assez vite une suite lui tomber dessus, ici réalisé par Rob Marshall en remplacement de Gore Verbinski pour évoquer une fontaine qui prolongerait la vie.

Dommage que Disney n'est pas attendu un peu pour continuer cette saga, on ressent qu'ils n'ont pas vraiment bien pris le temps pour en donner une direction convaincante. Ici on frôle souvent la caricature et surtout le scénario est assez décevant, multipliant les sous-intrigues guère intéressantes et des péripéties décevantes (notamment l'histoire de la jambe en bois), contenant aussi quelques passages incohérents voire ridicules, à l'image d'un soit disant terrible et invincible Black Pearl (selon la trilogie) qui ici devient facilement prenable.

De plus, on peut regretter une régression du personnage de Jack Sparrow, qui révélait de nouvelles facettes lors de chacun des films précédents, là on rentre dans la caricature. Les personnages autour de lui sont aussi décevants, notamment les nouveaux avec un méchant bien moins réussi que le Barbossa du premier film ou Davy Jones des suivants, alors que la présence féminine d'Angelica Teach n'apporte là aussi pas grand chose, malgré la beauté de Penelope Cruz. La sauce ne prend jamais réellement, les relations entre eux sont survolée et on se retrouve avant tout avec une oeuvre frustrante, au potentiel rarement exploité...

Tout n'est pas non plus à jeter, et Rob Marshall propose un minimum d'immersion dans son film, avec une aventure tout de même plutôt intéressante et quelques séquences plutôt bien foutues. Les personnages déjà présent dans la trilogie sont toujours un minimum attachant, tandis qu'on retrouve parfois la sensation et le parfum d'aventure et exotique présent dans la trilogie, et c'est toujours un plaisir. Bien que parfois à la limite du sur-jeu, les acteurs sont plutôt bons, malgré des personnages parfois mal écrits.

Une oeuvre tout simplement décevante où pas grand chose ne marche, ce qui est frustrant lorsqu'on observe le réel potentiel de cet univers. Ici, les failles d'écriture et de mise en scène sont trop grandes pour être comblées par le parfum d'aventure qui fait parfois son effet.

Sans être un très grand film, cela reste un bon divertissement avec de l'action et de l'humour dans lequel on ne s'ennuie pas. Un seul bémol, la musique omniprésente finit par être casse-tête et pénible.

Ce quatrième opus m’a déçu comme tous les autres, mais pas autant que je ne l’aurais pensé. En quelque sorte, j’ai aussi été déçu par le manque de déception… Keira Knightley et Orlando Bloom ne sont plus de la fête, mais à part ça, tout est resté intact. Les scènes d’action sont toujours aussi pompeuses, tandis que Johnny Depp et Geoffrey Rush se livrent à un petit concours dans la catégorie « C’est moi qui surjoue le plus ». Ça vaut vraiment pas plus de deux étoiles tout ça.

Cet opus est très inégal. On a quelques scènes excellentes mais malheureusement il y'a beaucoup de longueur et c'est bien dommage. Sans Orlando Bloom et Keira Knightlay on se sent perdu.Bref film moyen et c'est bien dommage

Cette fois, c'est le naufrage (oui, c'était facile, désolé). Les personnages sont tous nullissimes, Jack Sparrow n'est plus que l'ombre de lui-même, Barbe-noire est un méchant tout pourri, mais la palme revient à l'ex de Sparrow alias le perso incarné par Penélope Cruz (j'ai oublié son nom): en fait, je n'ai rien compris à ce personnage, tout ce qu'elle dit ou fait n'a aucun sens. Ha,j'allais oublier spoiler: l'histoire d'amour entre le prêtre et la sirène
, mais là je n'en dit pas plus, c'est à se taper la tête contre un mur. Le film est chiant et ne surprend jamais si ce n'est par sa nullité. J’aurai bien dit qu'il faut arrêter le massacre, mais un cinquième épisode a déjà été tourné...

Malgré un très bon Johnny Depp, l'absence de Orlando Bloom et de Keira Knightler se fait vraiment trop ressentir. Je n'ai pas vraiment été touché par Penelope Cruz (même si j'en aurai rêvé). Même la 3D est ratée et ça part dans tout les sens, d'ailleurs l'histoire avec la sirène ne sert à rien. Le changement de direction a vraiment abaisser cette saga, les deux premiers furent vraiment bon, le 3 ème s'essouffle et là c'est mauvais. Très mauvais.

La routine s'est désormais installée chez "Pirates des Caraïbes", Gore Verbinski l'a senti et a donc cédé sa place à Rob Marshall !
Une fois de plus, et la saga n'a pas encore dit son dernier mot, Jack Sparrow et ses acolytes tentent de mener à bien leur quête en évitant la mort de justesse à un nombre incalculable de reprises. Ce quatrième opus qui nous présente une nouvelle aventure fantastique parsemée de batailles navales et de combats d'épées sous la même et répétitive trame narratrice, n'aura cette fois-ci pas les outils pour nous surprendre véritablement. Nous présenter un gang de sirènes tout en joignant une nouvelle vedette à son casting (bienvenue Penélope), ne suffira pas à apporter le quota de nouveauté à son spectateur. "Pirates des Caraïbes" commence à tourner en rond, cet épisode marque une rupture après la belle trilogie de Gore Verbinski, et le style n'en devient plus aussi attrayant qu’auparavant.