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Fan2contes
63 abonnés
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5,0
Publiée le 29 avril 2012
AAAAAAAAAh! Et bien voilà!!Ce quatrième volet est beaucoup mieux que le troisième. Bon ,je préfère quand même le premier, mais j'ai bien très bien accroché. L'histoire est beaucoup moins compliquée que le troisième. Et puis, on voit des pirates. L'acteur qui joue Barbe noire est très bon ( on le voit aussi dans Deadwood, et les piliers de la terre, qui sont deux très bonnes séries, où il jour très bien) . Il me fait presque oublier le troisième, que j'ai trouvé vraiment mauvais. 17,5/20
Comme la fin du troisième épisode nous l'avait laissé deviner, ces aventures nous emmènent à la poursuite de la fontaine de jouvence. Si l'on est content de retrouver ce cabot de Jack Sparrow (Capitaine, pardon), ce quatrième opus semble plus laborieux que les précédents. Peut être est-ce à cause du départ de Gore Verbinski, ou encore celui d'Orlando Bloom et Keira Knightley qui, bien qu'assez fades, faisaient partie intégrante de l'identité des PoC. Toujours est-il que quelque chose manque : Penélope Cruz s'intègre mal à l'univers, et le sympathique Barbe Noire n'arrive pas à la cheville de Davy Jones.
Alors pourquoi 3,5 ?
Parce que malgré ses défauts, le film se regarde sans déplaisir ni ennui, nous entraînant des rues de Londres à la jungle d'une île gardée par de redoutables sirènes. Johnny Depp, de plus en plus mécanique, semble fatigué de tout cela mais assure un one man show peu original mais somme toute assez sympathique, à l'image du film.
En général, quand on décide de faire une suite à un franchise mondialement connue comme Pirates des Caraïbes, on essaye de le justifier en essayant de faire mieux que le précédent ou en apportant au moins une dose d’originalité. Ici, Disney ne tente même pas de cacher ses intentions commerciales pour ce quatrième opus, c'est assez culotté et les fans sont donc pris pour des pigeons . Le film n'est quand même pas loin du désastre totale, le scénario est inintéressant, c'est un histoire d'aventure tout à fait banale, manquant cruellement d'inspiration tout comme la réalisation de Rob Marshall. En fait il manque de tout dans ce quatrième épisode, l'action n'est pas au rendez vous, il s'agit juste que quelques combats à l'épée vu des centaines de fois dans ce genre de films, même Jack Sparrow n'est plus marrant et Johnny Depp cabotine pendant plus de 2h. En fait ça ressemble à une pâle copie d'un des trois premiers épisodes de la franchise, tout ce qui faisait le charme et l’originalité de celle-ci est parti, c'est navrant.
Juste une énorme deception ! Étant fan des 3 premiers volets, je n'ai même pas réussie à accroché plus de 10 minutes ! Il se passe rien, un part un foutu combat de sirėne VS Pirates qui n'a pas grand intêret. En plus d'être chiant, Jonny Depp pert tout son charisme et son humour qui étaient omniprésentes dans les précédents. Un film sans grands intérêts.
Alors ce quatrième épisode n'a pas de lien vraiment direct avec les dernier épisodes (comme l'étaient le deuxième et troisième). Même le Black Pearl n'est plus vraiment au centre de l'histoire mais juste au second plan. Niveau personnages, Penelope Cruz, bien que sublime, incarne un personnage vraiment flou. Pas aussi catastrophique que prévu mais on sent que la corde s'use assez vite !
Mais quel daube ! c'est quoi ce nouveau réalisateur ?! on dirait jurassic park 3 qui est pas terrible vu que c'est un nouveau réalisateur ! A ne pas voir pour les fans des précédents ! Et vu que le 5 sera le même réalisateur que cette nullité je ne le regardait pas au ciné !
Rob Marshall trébuche sur une saga ne demandant qu’à être rebootée en un sens. Pas évident de développer une nouvelle thématique alors que le héros gobe littéralement l’écran du divertissement. Si les studios Walt Disney détiennent les moyens nécessaires pour restaurer l’aventure maritime, où les pirates y sont globalement attachants, des échecs sont à prévoir à l’image du naufrage qui aurait pu être éviter. Le réalisateur a démontré une coordination remarquable dans sa comédie musicale « Chicago » et a proposé une lecture intéressante d’une romance dans « Mémoires d'une geisha ». Son palmarès n’est pas à déplaire, bien qu’il sorte un « Nine » trop recyclé et trop peu engagés pour satisfaire le niveau d’une série B correcte. Alors à qui doit-on reprocher le mal qui frappe stratégiquement cet épisode ?
Tout d’abord, la rupture flagrante avec les précédents volets est surprenante, voire insultant. Johnny Depp revient dans la peau du capitaine Sparrow et Geoffrey Rush dans celle d’Hector Barbossa. Hormis ces deux-là et quelques autres protagonistes transparents au possible, le film ne se repose pas sur ses acquis ou feint de les utiliser pour rebondir. Les pitreries de Jack sont revisitées et surprennent moins. Et l’apport de Penélope Cruz en une Angelica suffisante ne rattrape pas le tir. Elle sert surtout de faire-valoir au héros et ne laisse jamais la flamme romantique se consommer. On préfère tourner à la ringardise afin d’épater la galerie, mais le sentiment qui en résulte s’apparente plus à de l’incompréhension. Une dépense technologique de ce niveau aurait pu prendre plus de risque au lieu de s’engouffrer dans une paresse déconcertante…
On notera une trame bien inspirée du roman de Tim Powers, à savoir « Sur des mers plus ignorées » (1988). Jack usurpe quelque part le rôle du héros, ce qui enlève une touche d’originalité dont la saga avait le secret. Il sert notamment à introduire le légendaire et monstrueux Edward Teach, dit Barbe Noire, où Ian McShane lui prête ses traits. Son passé illumine, mais sa présence à l’écran persuade du contraire. La direction de ce type de méchant, dont on aurait aimé voir, au moins, rivaliser avec Davy Jones, est de mauvais goût. Bien entendu, on prend la peine d’installer une tension derrière, un prétexte qui nous permettrait d’accepter ce voyage peu entrainant. Oui, le vide ou encore le reflet d’un blockbuster, trop bien respectueux du cahier des charges pour pouvoir assumer pleinement un divertissement de qualité. Une machine que l’on connait que trop bien et que le dernier venu ne saurait être dupé. La dualité entre le burlesque et l’épique ne trouve pas la bonne dose, bien qu’il y ait des égarements qui nous rappelleront tout de même que tout n’est pas perdu.
La saga perd du charme avec la venue d’un quatrième volet bien maladroit. « Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence » lance une nouvelle trilogie mais s’apparente davantage à une excursion archéologique dont Indiana Jones maîtrise plutôt qu’à une virée sur les mers du monde. Après avoir élargi les horizons, l’intrigue cloisonne son étau sur les bénéfices de la fontaine de Jouvence, mais le message derrière ne reflète en rien une morale révoltante. On espère croire à ce changement de flambeau, à cette renaissance qui mérite son indépendance. Mais pour l’heure, cet opus synonyme de paresse doit retravailler sa démarche à l’avenir !
Ce 4e volet est tellement fade et insipide que j'estime qu'il fasse arrêter cette saga qui se porte bien mal au point. En effet, avec un 2e volet moyen, un 3e nul et un 4e légèrement au dessus, Jack Sparrow s'essouffle. Pourtant, on regarde avec l'espoir de ne pas voir une énième copie du précédent, mais c'est raté voire pis. Nous ne sommes que dans du pur produit réchauffé et au micro-onde.... Avec des seconds rôles aussi charismatiques qu'une dent jaunie de Depp et un Sparrow énervant, on se demande pourquoi avoir ressuscité cette saga si ce n'est pour une poignée de dollars. Et ce n'est pas ce scénario ridicule qui me donnera tort... Hormis, quelques scènes sympathiques, j'ai atteint l'overdose et je ne suis pas prêt de revoir un pirate. Sauf pour quelques dollars de plus....
Pas bon du tout. C’est toujours dommage et même énervant de se dire que ce genre de films bénéficient de budgets énormes alors que d’autres, avec de telles sommes, pourraient faire au moins vingt films biens. Mais bon, c’est le cinéma actuel… J’espère néanmoins que les chiffres actuels d’Hollywood vont faire réfléchir certains décideurs…
On dit souvent que le succès et la qualité d'une franchise sont principalement dus au réalisateur qui s'en charge. Certaines fois c'est le cas, d'autres non. Ici, oui. Alors que le départ de Gore Verbinski a été un véritable coup dur pour la franchise Pirates des Caraïbes, c'est à Rob Marshall qu'incombe la tâche de le remplacer. Et bien, c'est à demi raté. Marshall copie le style de Verbinski et ne parvient jamais à installer un véritable rythme et une esthétique propre et personnelle. La mise en scène est soporifique, les combats sont lents, le scénario mou et les scènes de batailles navales qui avaient autrefois faits la renommée de la saga ne sont plus présentes, alors que les effets-spéciaux semblent avoir baissé de qualité. Certains plans de caméra restent toute fois plutôt jolis. Le tout est décevant et on ne retiendra de ce La Fontaine de Jouvence que les prestations de Johnny Depp et Geoffrey Rush, alors qu'Orlando Bloom et Keira Knightley ont été remplacés par Sam Claflin et Pénélope Cruz, qui ne parviennent pas une seconde à atteindre leur talent.
Quatre ans après sa dernière apparition cinématographique, le Capitaine Jack Sparrow (Johnny Depp) revient pour de nouvelles aventures et dans ce sens là, le film remplit bien son rôle mais comme bien souvent dans cette saga, les longueurs sont beaucoup trop nombreuses et plombent l’ambiance du film, alors qu’un film plus condensé serait beaucoup plus intense et prenant. Sinon Johnny Depp toujours aussi excellent dans son rôle de pirate, fdèle à lui même, les autres acteurs s’en tirent très bien même si personne ne peut lui voler la vedette. Pour moi, le premier volet restera inégalé !
Un bon divertissement, à n'en pas douter ! Johnn Depp est toujours aussi efficace, tout comme Penlope Cruzz qui fait une entrée réjouissante dans la série
A force de faire des suites pour exploiter au maximum le filon, on finit par se casser les dents. C'était ce qui était arrivé avec le 3ème opus. "Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence" se devait donc de relever le piètre niveau de celui-ci. Pour ceci, exit Orlando Bloom et Keira Knightley, et bonjour à pleins de nouveaux acteurs. Pari risqué, à demi-réussi. En effet, alors que l'on perd un couple, charismatique, qu'on aimait suivre, mais qui avait fait son temps et ne devenait plus indispensable, on récupère une autre histoire d'amour, entre une sirène et un prêtre, ridicule, risible et sans intérêt. A l'image des deux acteurs de ce couple, l'ensemble des nouveaux personnages introduits n'est pas convaincant et tombe vite dans l'oubli, le charisme et la beauté de Penélope Cruz ne parvenant pas à sauver ce nouveau casting du naufrage. Niveau réalisation, il n'y a pas grand chose à redire, c'est de nouveau plus que très correct. Côté scénario, on revient (enfin!) à quelque chose de plus simple, qui ne part pas dans tous les sens, et plus centré sur le personnage de Jack Sparrow, toujours campé par l'excellent Johnny Deep, mais une histoire du coup beaucoup plus prévisible et sans surprises. De nouvelles situations plutôt cocasses nous redonnent le sourire, et les paysages naturels sont toujours magnifiques. Au final, même si cet épisode est plus abouti que le 3ème de la saga, il ne parvient malgré tout pas à la cheville des deux premiers opus.