Avis : Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence - Page 4

Un excellent pirates des caraïbes comme les 3 autres, Depp toujours aussi frappé, Cruz ultra sex et Rush toujours parfait, une nouvelle aventure qui se démarque des volet précédent, ça fait du bien de changer un peu !

Une énorme déception. J'ai bien aimé la trilogie, mais la c'est l'épisode de trop. Rob Marshall remplace Gore Verbinski à la réalisation et je n'ai pas accroché l'histoire. C'est long et l'humour ne marche pas. On ne retrouve pas l'ambiance des précédents films. Johnny Depp en fait beaucoup trop et le reste du casting déçoit : Penélope Cruz, Geoffrey Rush, Ian McShane manque de charisme dans le rôle du méchant Barbe Noire, Kevin McNally, Sam Claflin et Astrid Bergès-Frisbey.

Nous sommes désormais sous franchise, il y donc un cahier des charges pour assurer le nombre de rebondissements, de fois où les gens vont sourire....que ça perd du charme.
PLV : on cherche à se distraire mais l'effet de surprise du premier s'estompe.

Walt Disney & Jerry Bruckheimer (le producteur) continuent de faire fructifier leur poule aux oeufs d'or avec ce quatrième opus des aventures de Jack Sparrow. Après La Malédiction du Black Pearl (2003), Le Secret du Coffre Maudit (2006) & Jusqu'au Bout du Monde (2007), tous les trois réalisés par Gore Verbinski (Rango - 2011), c'est au tour de Rob Marshall (Mémoires d'une geisha - 2006) de prendre la relève, toujours en compagnie de Johnny Depp, Geoffrey Rush, Kevin McNally & Keith Richards, ajoutez à cela, quelques nouvelles têtes comme Penélope Cruz, Ian McShane et la frenchy Astrid Berges-Frisbey. La Fontaine de Jouvence (2011) est librement inspiré du roman "Sur des mers plus ignorées" de Tim Powers (publié en 1988), mis à part cette information, le film en lui-même n'a rien d'original, tant au niveau de sa structure qu'au niveau de son intrigue et de ses personnages. 140 minutes où tout s'enchaînent à un rythme impressionnant, beaucoup de dialogues, de l'action et de l'aventure digne de n'importe quel blockbuster estival (la recette reste la même), une amourette des plus ridicule (entre un homme d'église courageux et une sirène naïve et fragile), sans oublier les sous-intrigues, bref l'ensemble fini rapidement par devenir lassant (vue la durée excessive du film, il fallait s'en douter). Signalons aussi des décors assez fade (les reconstitution en studio sont flagrante), quant à la 3D relief, sans surprise, elle est clairement d'aucune utilité, puisque le film a été (en partie) tourné 3D relief (seules quelques séquences bénéficient donc réellement de cet apport). Au final, on obtient un divertissement sans grande originalité, l'ensemble étant rapidement prévisible, seul le plaisir de retrouver Johnny Depp dans la peau de Jack Sparrow reste intact. Cependant on craint le pire si Disney confirme le souhait de mettre en route un cinquième et sixième opus.

Avec un teaser déroutant mais follement jouissif, on se disait que le quatrième volet des aventures de Jack Sparrow serait encore un excellent divertissement et nous en mettrait plein les mirettes.
Mais sortit de la salle, l'ambiance est toute autre.
Sur cet épisode, plus que ses précédents, on sent l'inévitable enlisement de la licence, chaque volet étant plus médiocre que son prédécesseur, les scénaristes étant incapable de réellement se renouveler, chaque acteur récurrent ayant déjà fait le tour de son personnage.
Pour camoufler tout ceci aux yeux des spectateurs, on nous fout de la 3D (ça nous fait une belle jambe), des explosions, des effets spéciaux et du surnaturel, combats de capes et d'épées, un semblant de retournements de situation, où chaque pirate a l'habitude de retourner sa veste.
La mise en scène de Rob Marshall est anonyme, identique pour tout blockbuster américain (limite Michael Bay).
Le casting déçoit : Depp fait du Depp, Rush fait du Rush, Ian McShane joue le méchant caricatural de l'histoire, et Cruz joue la belle plante de service (elle le vaux bien), sinon le pseudo-couple missionnaire-sirène rappelle furieusement le "couple" Bloom-Knightley de la trilogie.
Enfin, le scénario est un vaste pompage éhonté d'Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989 et pas une ride), ce qui laisse goût assez amer dans la bouche.
Seule certitude : il ne faudra pas compter sur moi pour aller voir la suite...

Encore un épisode et Johnny Depp va finir en jupe à dentelles. Faute d’un scénario faisant vivre une histoire et des personnages, les producteurs misent tout sur les effets spéciaux et la caricature livrée par un Johnny Depp de moins en moins fidèle à ses idéaux cinématographiques de départ. Il est vrai que pendant qu’il joue fardé, son pirate d’opérette il n’a pas à se poser la question de savoir comment il va aborder les rôles de la cinquantaine qui vont l’obliger à revoir un jeu jusqu’alors basé sur une image de post adolescent éternel. Mais Johnny devra apprendre que tout finit par arriver même aux stars de cinéma. Il aura le temps d’ici là d’enchaîner le Pirate des Caraïbes 5 . Même si les paysages sont parfois sublimes (trop peut-être ?) on est loin de la magie des films avec Errol Flynn et Tyrone Power. Il est vrai qu’à l’époque les spectateurs ne réclamaient pas un combat toutes les deux minutes ce qui laissait le temps de donner une bonne consistance psychologique aux personnages périphériques. Ah, j’oubliai, Penelope Cruz a toujours d’aussi jolis petits seins !

Un opus pas franchement réjouissant, à part le retour de Jack Sparrow, Penelope plutôt crédible en pirate et la scène des sirènes qui est superbe. Et la musique avec l'ajout de guitares (Rodrigo y Gabriela) est très classe.
Pour le reste, peu de batailles, des scènes de sabres molles, une impression de déjà-vu tout le long et le remplacement de Will/Elisabeth par un couple encore plus niais : Syrena/Pasteur.. non mais franchement! Vraiment pas à la hauteur des opus précédents.

Fan des trois premiers volets, j’avais hâte de voir le quatrième. Et apercevoir autant de monde dans la salle me rassurait. "Ça va être bien" je me suis dit. Mais quand le générique de fin a commencé à défiler ma déception a été grande. C’était d’une grande nullité que j’avais l’impression d’avoir perdu mon temps. Le scénario manque de génie et de fantaisie que les précédents. On ne retrouve pas la panache et l’énergie des personnages que l’on connaît. On a l’impression que les scénaristes manquent d’inspiration car ils tournent en rond. Franchement, cette fois, le film est nul du début à la fin.

Les producteurs déroulent, tout comme Johnny Depp, au risque de se caricaturer et de lasser... c'est un gentil divertissement, débarrassé des 2 acteurs agaçants des 3 premiers mais c'est toujours trop long!

Me voila réconcilié à nouveau avec Jack Sparrow , après ses 2 dernières et désastreuses aventures aux effets spéciaux multiples et aux scénarios nullissimes , cette fois pas trop d'effets spéciaux et plus de place aux acteurs pour nous divertir à nouveau.La palme du charme et de la beauté à la sublimissime Pénélope Cruz très en verve dans son premier goldbuster et piquante à souhait et cocorico aussi pour la jolie sirène Française découverte dans" la fille du puisatier" .

Encore un volet très agréable. Il sort un peu du fil rouge des précédents épisodes et "abandonne" les gros monstres visqueux mais garde ses éléments surnaturels tout de même. Depp est toujours aussi bon dans le rôle et Penelope Cruz est également parfaite. Petit bémol sur les doublages français qui sont assez inégaux je trouve. Mais bon, c'est rythmé, drôle et divertissant et c'est bien ça qu'on veut en allant voir "Pirates des Caraïbes"!!!

Bonne aventure et bonne comédie de pirates. Je ne suis pas convaincu par l'introduction du capitaine Barbe Noire ni même des sirènes mais... Pourquoi pas, après tout. Une suite semble prévue, en espérant le retour des acteurs qui ont fait la première trilogie (O. Bloom et K. Knighley).

Et bien oui : on retrouve Jack Sparrow avec toujours la même impatience et, au final, avec toujours le même plaisir. Même si nombre de scènes possèdent des soucis de fignolage qui les rendent un peu abruptes (écriture hasardeuse sur les chutes ou hoquettante sur le lancement (je passerais les incohérences^^)... voir le contraire !), même si J. Sparrow, toujours très drôle, mais l'on sent qu'il n'y croit plus vraiment, s'est un peu assagi sur les conseils et sans doute après les déclarations des grandes pontes de chez Disney. Mais oui, le plaisir est bien là : un film de pirate à l'ancienne, pimenté de fantaisie, juste ce qu'il faut, un vrai souffle épique, un humour qui nous ravit( (enfin pas à 100% pour ma part, par rapport aux autres épisodes)) (les mimiques inimitables du capitaine, ses commentaires piquant... mais on oublie la scène du plongeon extrêmement brouillon...), des aventures qui vont à 200 km/h et nous emportent sans problème, de nouveaux personnages que l'on a envie de découvrir (la love story un peu niaise qui trouvera son âme au final, Barbe Noire, sa fille, les zombies et surtout les sirènes), une musique aux élans harmoniques exceptionnels (Zimme reste pour moi le plus grand musicien du 7ème art), un scénario qui développe de multiples routes (même si la voix espagnole méritait mieux que deux apparitions dont une sur le fil du rasoir) et un R. Marshall qui reprend dignement le flambeau (la construction visuelle de ses scènes est impeccable). Au-delà de l'excitation du pitch, même si le fond du scénario est maigrelet, ce "Pirates" tient pour moi toutes ses promesses :" rire", évasion, détente, spectacle spectaculaire ; un film qui tient la route sans pour autant être le meilleur de la saga. Un scénario qui à quand même perdu dans sa complexité et qui amène le tout à l'apprécier plutot comme un simple divertissement de base (sans parler de la présibilité de certains moments...). Pourquoi, si l'on a vu les précédents et que l'on veut clore (enfin pour le moment je pense (vu le succè que remporte la saga)) la saga actuelle

Exit les mièvreries du couple Will Turner et Elizabeth : Jack Sparrow occupe à nouveau le centre des débats pour notre plus grand bonheur. Humour et action sont au programme. Même s'il y a quelques facilités, le film fonctionne et le spectacle ne déçoit pas !

Gore Verbinski étant allé au bout de la trilogie qui lui a été confiée, c’est Rob Marshall qui a relevé le flambeau pour trouver en la fontaine de jouvence la nouvelle convoitise de Jack Sparrow évoquée à la fin de l’aventure précédente. Cette nouvelle aventure marque aussi le retour aux choses un peu plus terre à terre, davantage palpables, même si on reste dans l’exploitation des légendes. En l’occurrence, cette légende connue de tous et pas seulement des pirates, est convoitée par tous ceux en quête de rajeunissement. Pour exemple, les espagnols sont aussi sur le coup, mais ce n’est finalement pas développé, et ça en est presque regrettable, car ça aurait permis de changer un peu de la rivalité entre la Marine Royale et les pirates dont nous avons été témoins privilégiés au cours de la trilogie de départ. Conséquence ou pas, cela donne l’épisode le plus court jusque-là : 2h20 tout de même ! Mais il est aussi le moins spectaculaire. Toujours est-il que je le préfère aux deux épisodes précédents pour son côté un peu plus essentiel, un tantinet plus terre à terre. La petite touche fantastique n’a pas été laissée de côté pour autant, même si elle est un peu moins présente. Mais lorsqu’elle est mise en scène, ça rend bien à l’écran. Tout comme Verbinski, Orlando Bloom et Keira Knightley ont quitté le navire, préférant voguer chacun de leur côté vers de nouveaux projets. C’est également le cas avec l’absence remarquée de Pintel et de Ragetti. Même si nous les aimions bien tous et que nous regrettons presque de ne pas les voir à nouveau de la partie, cela a permis d’intégrer de nouveaux personnages tous aussi marquants les uns que les autres ! D’où le fait que je disais que nous regrettions "presque" de ne pas revoir ceux qui sont partis. Oui presque, parce qu'ils manquent à l'appel, quand même. Avant que les nouvelle têtes n'arrivent, le spectateur est d’abord très vite rassuré par une fracassante entrée en matière de Johnny Depp littéralement habité par ce rôle qui décidément lui va si bien. Puis les nouveaux personnages font un par un leur entrée en scène, comblant ainsi le vide laissé par ceux qui sont partis. Penelope Cruz débarque la première avec un personnage inattendu, prenant la place laissée vacante par Keira Knightley. Cette dernière avait fière allure, Penelope Cruz réussit à l’égaler. De plus, elle donne parfaitement la réplique à Johnny Depp, ce qui nous donne quelques scènes cocasses. Ensuite, ce sont les gueules qui montent à bord. Le capitaine Davy Jones n’est plus, et on se dit que Jack Sparrow peut régner en maître sur les océans. Seulement voilà : il n’a plus le Black Pearl, chapardé par le fourbe capitaine Barbossa. Une nouvelle confrontation entre les deux pirates devrait donc avoir lieu. Oui et non. Car un troisième larron s’invite à la fête : le célèbre capitaine Barbe Noire, ce pirate que l’inquiétante réputation précède bien avant que la proue de son navire (le Queen Ann’s Revenge) ne soit visible à l’horizon. Certes nous avons plaisir de retrouver Barbossa pour de nouvelles banderilles humoristiques avec Sparrow, car on n’imagine guère de ne plus les voir ensemble tant ils fonctionnent comme un vieux couple. Mais on s’émerveillera devant la majestuosité du bâtiment de Barbe Noire, qui n’a d’égal que le charisme de Ian McShane, superbe d’assurance et de détermination quoi qu’il en coûte, n’ayant aucun respect pour la vie exceptée la sienne. En effet, il incarne avec brio un capitaine que rien n’effraie, peu enclin aux sentiments, poussé par une quête qui devrait lui permettre de prolonger son règne sur les mers. Le maquillage et les costumes finissent de compléter parfaitement l’illusion, et on peut en dire autant à propos de Keith Richards dans la peau de papa Sparrow, pourtant peu présent. Peu présent certes, mais il trouve le moyen d’en imposer ! Malgré l’arrivée de nouveaux personnages, nous n’avons pas perdu tout le monde : monsieur Gibbs, le fidèle second de Sparrow est de la partie aussi, pour notre plus grand plaisir. Tout n’est pas pour autant parfait : les émotions sont un peu moins présentes, et l’absence des deux trublions Pintel et Ragetti se fait cruellement sentir. Au moins, ils amenaient un peu de de fun, d’originalité, enfin de ce que vous voudrez dans le genre, bien qu’ils soient totalement idiots. Ben oui, il faut se rendre à l'évidence : on aimait ces deux abrutis ! On sent même comme un gros creux de perplexité lorsque le prénom est donné à la sirène… enfin c’est indigne pour un film de cet acabit. Cependant les mythes portés à l’écran ont été revisités pour les entremêler étroitement. Il en ressort une scène plutôt bien faite, laquelle se termine de façon explosive et non moins spectaculaire. Le tout est accompagné d’une bande originale toujours aussi plaisante, mais pas suffisamment renouvelée. La photographie est également intéressante, tandis que la réalisation de Rob Marshall est plus classique que celle à laquelle Gore Verbinski nous avait habitués. C’est dommage, le film se serait bonifié s’il avait pris la peine de travailler un peu plus ses mouvements de caméra. Quoiqu’il en soit, entre les costumes, les bois qui craquent, les imposantes voilures, les personnages qui marquent les esprits, et j’en passe, "Pirates des Caraïbes" continue à nous faire voyager au gré de ses épisodes dans des décors à chaque fois différents. "La fontaine de jouvence" n’échappe pas à la règle ; et au fond, qui de mieux que de nous faire visiter dans une ambiance surannée ces superbes décors par des gens qui nous sont sympathiques… et moins sympathiques ? N’est-ce pas là le principal ?