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kaedeotori
5 abonnés
130 critiques
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0,5
Publiée le 29 mai 2014
C'est un film en dehors du contexte réel et c'est ce qui est dérangeant parce que tout laisse à croire que l'histoire se passe dans le monde réel, ensuite on comprend pas de suite , c'est violent, rien ne laisse à soupçonner l'intrique, là je sais pas comment on peut apprécier en vrai ...
Devenu un peu quitch avec plein de couleur et de lumière et plein de musique speed, ça reste un très bon film avec un excellent casting, et un scénario très bien écrit, même s'il est long et lent à démarrer une fois installé l'action et la tension grimpent crescendo, le quitch aussi faut le dire, mais vu l'époque c'est normale, en tout cas tout se tient très bien et c'est un plaisir de regarder ce film.
Un trés bon film des années 90, on y sent bien la touche. Des rôles trés bien portés, des idées originales, pas de longueurs. Une ambiance un peu étonnante mais en phase avec le film. Un bon moment.
chef d'oeuvre d'un moment précit, innovant, rock, réalisé par la formidable k bigelow, le film vieillit a cause de son concept mais reste une date indélébile
Sur un scénario de James Cameron, Kathrin Bigelow réalise un thriller nerveux, violent et haletant, donnant une vision apocalyptique de Los Angeles à la veille du Nouvel An 1999.
Lenny est un trafiquant de vidéos, et pas n'importe quelles vidéos, des vidéos souvenirs que l'on insère dans des casques afin de revivre en live n'importe quelle situations vécues par un individu. Film beaucoup trop long , et long à démarrer, on passe pas mal de temps à s'ennuyer, et a regarder des passages inutiles. Au début on dirait un documentaire te on se demande si vraiment il va se passer queluechose, puis finalement on reste sur notre faim.
Une cyber-fiction efficace où l'ambiance post-apocalyptique de la fin du XXeme siècle est résolument bien retranscrite à travers une nouvelle forme de divertissement technologique qui permet à chacun de pouvoir s'insérer pour quelques minutes dans la vie d'une autre personne . Le scénario est signé James Cameron, Kathryn Bigelow se charge de la réalisation et Peter Gabriel comme à son habitude, compose une B.O. emblématique . Bon film !
Un bon thriller de science fiction réalisé par Kathryn Bigelow. Écrit et produit par James Cameron. On se retrouve dans un Los Angeles à l'aube de l'an 2000 ou la violence règne avec ses gangs, ses putes et ses flics ripoux. Le scénario est original, il brouille bien les pistes et multiplie les retournements de situation. La caméra subjective est très bien utilisée et nous plonge dans la peau de l'un des personnages lors des clips vidéos. Avec une belle brochette d'acteurs : Ralph Fiennes, Angela Bassett, Juliette Lewis, Tom Sizemore, Michael Wincott, Vincent D'Onofrio et William Fichtner.
Depuis “Démineurs”, Kathryn Bigelow a atteint une notoriété qui n’était pas acquise si on en juge par sa carrière relativement limitée de réalisatrice (9 films en 30 ans). A l’aube du deuxième millénaire aidée de son ex-mari James Cameron, spécialiste du film musclé d’anticipation, elle se lance dans l’aventure de « Strange Days » qui au-delà de prévoir un futur proche assez apocalyptique, concentre son propos sur la faculté offerte grâce au procédé SQUID de faire revivre à n’importe quel quidam les sensations ressenties par un autre lors de la réalisation d’un exploit. Une idée assez géniale qui permettrait de pouvoir se mettre en lieu et place d’un marathonien en train de battre son record ou d’un alpiniste domptant l’Evesrest . Ainsi chacun pourrait au cours de son existence goûter à tous les plaisirs et toutes les émotions. Une bonne manière de pouvoir démocratiser certains loisirs inaccessibles. Mais comme toujours c’est le glauque qui fait immédiatement recette et Lenny Nero (Ralph Fiennes) ex-flic reconverti l’a bien compris qui propose à une riche clientèle déjà repue de sensations fortes de s’offrir de l’adrénaline et du sexe à bon compte à partir de clips montés de toute pièces. Partant de cette idée de base aux moult possibilités scénaristiques, Bigelow nous offre une course poursuite haletante dans un Los Angeles qui peut-être vu comme une préfiguration de celui décrit par Ridley Scott dans son fameux « Blade Runner ». « Strange Days » n’a pas la froide poésie de « Blade Runner » inspirée par la photographie bleu acier de Jordan Cronenweth et la bande son aérienne de Vangelis qui laisse deviner une société où l’humain n’a plus vraiment sa place. Chez Bigelow le système n’a pas encore été jusqu’au bout de sa décadence pour passer à l’étape suivante où les machines régiraient les comportements quotidiens. C’est donc une image syncopée sur les rythmes endiablés de Deep Forest et de Shunk Anansie qui nous emmène dans les tréfonds d’une mégapole en fusion où les repères disparus conduisent l’homme vers une destinée que l’on pressent sombre. Bigelow marie à merveille le film d’anticipation avec le thriller pour notre plus grand plaisir même si quelques fois Ralph Fiennes semble un peu en sur régime au contraire d’une Juliette Lewis ou d’une Angela Bassett tout à fait raccord avec l’esprit de la vision allumée d’un James Cameron décidement très à l’aise dans la restranscription cinématographique de la science fiction. Une très belle réussite qui montrait la capacité de Kathryn Bigelow à s’affronter à des projets ambitieux.
J'ai peut-être jamais été autant déçu par un film. Soit disant d'anticipation, en tant que grand fan de roman et films traitant du sujet, je me lance : Nul nul et re-nul. Rien de bon. Seule bonne chose, l'idée du scénario spoiler: avec le casque à souvenir , et encore, terriblement incomplet.
L'acteur principal joue comme une quiche, les autres n'en parlons même pas. A part la black (bouuu...il a dit la black ;) et le flic qui ont un bon jeu d'acteur tous les autres sont bons aux ordures.
Aucune phrase qui donne à réfléchir, niveau d'interprétation est au premier degrés avec rien à creuser,spoiler: sauf peut-être les casques-souvenirs.
Les minutes passent...on attend...rien d'autre que des coups de fusil, des personnages sans aucun charisme qui peuvent se faire butter sans que sa nous gêne ni même que sa change le scénario. Prévisible à 15 km avec des méchants façon : Je vais te tuer mais avant je te dis la vérité avec ma gueule de mec qui va se faire descendre dans 5 secondes.
A la fin on se dit : Qu'est-ce qu'y s'est passer? Ok je regarde depuis 2 heures, mais j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps. Qu'ai je appris, il y a eu des coups de feu, ok, des dialogues sans niveau d’interprétation (exemple les phrases de morpheus dans matrix qui donnent à réfléchir), des scènes sans niveau d’interprétation (exemple les scènes de 2001 l'odyssée même sans dialogues qui nous poussent à la reflexion)..rien il n'y a rien...même en lisant les critiques positives, je ne perçois aucune réflexion derrière.
Je pense qu'il peu plaire pour celui qui à un coup de cœur, mais en terme de réflexion, cherchez pas y a rien à voir.
le passage de l'an 2000, l 'histoire et surprenante, un dealer de parties de vie d'une autre personne sur Cd , c'est du jamais vue et pourtant peut être que dans un futur proche ????? , encore une Juliette Lewis un peu barré, très bon film des année 90
excellent film sur le voyeurisme et le pouvoir de vivre quelque instant dans la peau d'un autre ou d'une autre personne grave à un dealer d'image pour ça par Juliette Lewis et bien déjantée. Seul critique, un peu long