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Votre avis sur Defendor ?
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Ayant bien aimé Kick-Ass et Super dans le même genre, je me suis donc attardé sur ce film et au final je ne suis pas déçu, ce Defendor est plutôt génial, l'histoire est à la fois marquante et bourrée d'humour (ses gadgets, son petit acolyte....), sans pour autant ridiculiser ce personnage interprété par un Woody Harrelson qui y en est pour beaucoup, sans trop en faire non plus.
gimliamideselfes
Mouais, les américains se sont rendus compte qu'il y avait trop de films de supers héros, alors du coup ils tentent de renouveler le genre avec des films comme Kick Ass, Super ou Defender qui sont censés se passer dans la "réalité" ou un mec enfile un costume pour combattre le crime.
Mais le problème de ces films c'est qu'ils ne vont pas plus loin que leur pitch de départ. Ils ne portent ni le fun ni une réflexion particulière. Juste des films qui occupent plus ou moins les yeux.
Après Defendor joue la carte du drame, ce qui est plutôt original là où Super jouait la carte de la comédie noire et Kick ass le Teen Movie. Et je dois dire que si la mise en scène de Defendor n'est pas aussi dégueulasse que celle de Super (qui était une abomination), je préfère Super, parce que quelque part je préfère les personnages fous aussi mais dans exubérance.
Ici Harrelson est lui aussi pas très bien dans sa tête, mais si on excepte quelques petits trucs ça ne sert à rien, c'est plus pour justifier qu'il se balade en super héros qu'autre chose.
Après ce que j'ai bien aimé c'est sa relation avec la prostituée (super mignonne qui plus est). Mais encore une fois c'est tout de même très convenu.
De même que la fin.
Je dirai que c'est un film moyen, avec de bonnes idées mais pas complètement abouties qui font que ça reste moyen et que ça ne décolle jamais vraiment. C'est dommage.
Mais bon je ne vais pas dire que j'ai passé un mauvais moment, mais le film n'aurait pas dû rester aussi superficiel.
Mais le problème de ces films c'est qu'ils ne vont pas plus loin que leur pitch de départ. Ils ne portent ni le fun ni une réflexion particulière. Juste des films qui occupent plus ou moins les yeux.
Après Defendor joue la carte du drame, ce qui est plutôt original là où Super jouait la carte de la comédie noire et Kick ass le Teen Movie. Et je dois dire que si la mise en scène de Defendor n'est pas aussi dégueulasse que celle de Super (qui était une abomination), je préfère Super, parce que quelque part je préfère les personnages fous aussi mais dans exubérance.
Ici Harrelson est lui aussi pas très bien dans sa tête, mais si on excepte quelques petits trucs ça ne sert à rien, c'est plus pour justifier qu'il se balade en super héros qu'autre chose.
Après ce que j'ai bien aimé c'est sa relation avec la prostituée (super mignonne qui plus est). Mais encore une fois c'est tout de même très convenu.
De même que la fin.
Je dirai que c'est un film moyen, avec de bonnes idées mais pas complètement abouties qui font que ça reste moyen et que ça ne décolle jamais vraiment. C'est dommage.
Mais bon je ne vais pas dire que j'ai passé un mauvais moment, mais le film n'aurait pas dû rester aussi superficiel.
Très bon moment passé devant ce film intéressant. La vie d'un homme retardé qui devient un super héros la nuit pas si retardé... On arrive à prendre part à l'histoire et s'accrocher au Defendor ! A voir pour les fans de comics et kick-ass.
J'ai un un véritable coup de coeur pour ce film ! Je m'attendais à une parodie et... Pas du tout . Une comédie très fine et très touchante ou l'humour et le drame sont tous les deux de mises. Woody Harrelson est tout bonnement extraordinaire dans son rôle de defendor, toutes les émotions passent comme une lettre à la poste grâce à son talent indéniable. Cette réalisation est une petite perle méconnue...
Une belle surprise que ce film. Pas vraiment une comédie voir même pas du tout (sauf que parfois le personnage principal est un peu dingue !). Un "idiot" décide de combattre le crime et la misère dans des quartiers malfamés, en se prenant pour un super héros. Une atmosphère curieuse se dégage du film. La fin est particulièrement poignante.
Le texte d'annone me paraissait vraiment bien, du même genre que Kick Ass ( que j'ai adoré), mais tout le long j'ai attendu un réveil qui ne m'est jamais venu, de l'action très très fade, un héros gentillet mais voila quoi, j'attendais beaucoup mieux ...
Qu'il soit un tueur en série taré, un chasseur de primes arrogant ou un attardé mental persuadé d'être un super-héros, Woody Harrelson est impeccable. En plus, faut avouer qu'il a un sacré capital sympathie, ce qui est très utile dans ce cas. Le film mêle comédie et drame avec brio sans jamais tomber dans le pathétique. Une belle réussite.
RedArrow
Décidément, les films de vrais super-héros sont plutôt réussis même si Defendor l'est un peu moins que Kick-ass et Super. Plus proche de ce dernier par son côté indé et dramatique, ce premier film de l'acteur Peter Stebbings trouve sa force dans son excellent casting: Woody Harrelson rend très vite attachant ce héros un peu autiste qui a conservé son âme d'enfant, sa relation avec Kat Dennings est très touchante. Les seconds rôles ne sont pas en reste: Elias Koteas en flic ripou dont les affrontements avec Defendor sont très drôles et virent à l'absurde, Michael Kelly parfait en meilleur ami ou Sandrah Oh en psychologue qui, comme le spectateur, s'attache de plus en plus à ce justicier.
S'il n'y a rien de vraiment innovant côté scénario et que la bande originale ne donne pas l'impression d'être à la hauteur, Defendor sait faire naître l'empathie grâce à l'écriture de ses personnages et des comédiens qui les incarnent.
S'il n'y a rien de vraiment innovant côté scénario et que la bande originale ne donne pas l'impression d'être à la hauteur, Defendor sait faire naître l'empathie grâce à l'écriture de ses personnages et des comédiens qui les incarnent.
Un film original et touchant sur un super héros simple d'esprit incarné par Woody Harrelson qui veut détruire un certain Capitaine Industrie. Drôle mais situé dans un environnement réaliste, ce film se se suit à travers le héros naïf qui veut combattre les criminels comme les supers-héros dans les comics.
Un mec est persuadé d'être un super héros et cherche à mettre fin aux actes des malfras ? ... Je prends ! Réalisé par l'acteur-réalisateur Peter Stebbings, un homme du nom de Arthur Poppington (Woody Harrelson), avec une case en moins, se fait passer pour Defendor et décide de s'en prendre aux "méchants" qui représentent, pour lui, une menace pour la ville. Malgré un casting correct (Woody Harrelson, Sandra Oh et Kat Dennings), j'ai eu du mal à rentrer dans ce film beaucoup trop simplet. Si le scénario est plutôt bon, on s'ennuie trop, les dialogues sont pauvres et l'action est bidesque. J'ai définitivement pas accroché avec ce film, Defendor est à ranger au rayon des navets.
Voilà une agréable surprise qu’est Defendor, réalisation de Peter Stebbings qui débute pour l’occasion en la matière ; ce coup d’essai est donc des plus réussi, et l’on regrette que le long-métrage souffre d’une popularité inexistante, du fait d’une absence complète de marketing, publicités et autres sorties cinéma. Une perle rare donc, qui met en scène la fabuleux Woody Harrelson dans un rôle des plus singuliers, à savoir le fameux Defendor ; de son vrai nom Arthur Poppington, le protagoniste s’avère être en effet un homme plutôt simplet (avec une case en moins pour ainsi dire) et qui aime à se transformer en super-héros, afin de combattre le crime et le mystérieux Captain Industrie. Scénaristiquement parlant, Defendor n’est pas des plus recherché, avec notamment une morale ambiante manichéenne ; pourtant l’ensemble est des plus satisfaisant grâce aux tribulations d’Arthur, dont la situation mêle avec aisance une note d’humour bienvenue, et le caractère dramatique de son état (lui jouant dès lors bien des tours). Il va bien entendu sans dire que l’interprétation de Woody Harrelson abonde en ce sens, l’acteur confirmant encore une fois son talent dans le genre des personnages aux penchants nuancés. Par ailleurs diverses figures viennent agrémenter l’univers du preux Justicier, développant alors un semblant d’intrigue cohérent ; la relation s’établissant de même entre Arthur et Katrina est des plus justes, signifiant encore plus notre attachement à ces quelques individus atypiques. Une histoire peu complexe donc, mais en tout point originale et attractive ; de plus, Defendor arbore une BO des plus adéquate quant à son contenu, celle-ci accentuant avec brio le côté décalé de l’œuvre. Un ton décalé certes, mais il est à rappeler que le film ne s’écarte jamais trop du drame latent, comme le démontrera son final émouvant ; une conclusion parfaite de ce fait, tandis que l’on félicitera à nouveau Peter Stebbings pour ce film unique en son genre, le tout porté par un Woody Harrelson encore et toujours excellent.
Inutile de comparer Defendor à un Super ou Kick-Ass car ça n'a rien à voir, ce film est sage, et c'est justement son plus gros défaut. Certes Woody Harrelson est touchant dans son rôle de super-héros mais Peter Stebbings cherche justement trop à nous apitoyer en nous montrant à quel point il est innocent et gentil et blabla... Pendant 1h40 le réalisateur tire sur la corde sensible et livre des tas de scènes un peu trop mièvres à mon goût (surtout la fin). En ressort un film pas vraiment génial ni très original, qui se regarde mais aussitôt oublié. On a vu mieux.
Un film, que je qualifierais d’humaniste et d’intéressant en même temps.
En effet, un homme même simple d’esprit peut nous montrer à tous que l’espoir est possible.
Par sa lutte vaillante contre le crime, il rallie des gens à lui. Son handicape peut ainsi être une force et influer sur le cours des choses.
En effet, un homme même simple d’esprit peut nous montrer à tous que l’espoir est possible.
Par sa lutte vaillante contre le crime, il rallie des gens à lui. Son handicape peut ainsi être une force et influer sur le cours des choses.
si c'est pas terrible, mais c'est pas nul non plus, de bons acteurs sauvent la partie
Voilà un joli premier film que j'aurais aimé découvrir sur grand écran mais qui n'est pas sorti au cinéma en France. Sans doute d'abord à cause de son cousin Kick Ass qui a pris toute la place disponible pour les vrais faux super-héros.
Du premier film, Defendor a le culot, la personnalité, les tripes. Les défauts aussi, comme cette fin trop mélo à mon goût. On y redécouvre un acteur doucement et tendrement loufoque, Woody Harrelson, qui se montre plus attendrissant qu’hilarant.
De son célèbre cousin de genre, Defendor ne garde que le costume approximatif et les gadgets bricolés. Bien loin du cocktail délirant de sérieux et d'auto-dérision de Kick Ass, nous sommes ramenés ici au sérieux et au manichéisme de la définition enfantine du bien et du mal. La drogue c'est mal, écrire c'est bien et surtout, surtout, il ne faut pas tuer les mamans.
Du premier film, Defendor a le culot, la personnalité, les tripes. Les défauts aussi, comme cette fin trop mélo à mon goût. On y redécouvre un acteur doucement et tendrement loufoque, Woody Harrelson, qui se montre plus attendrissant qu’hilarant.
De son célèbre cousin de genre, Defendor ne garde que le costume approximatif et les gadgets bricolés. Bien loin du cocktail délirant de sérieux et d'auto-dérision de Kick Ass, nous sommes ramenés ici au sérieux et au manichéisme de la définition enfantine du bien et du mal. La drogue c'est mal, écrire c'est bien et surtout, surtout, il ne faut pas tuer les mamans.
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