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    The Irishman
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    489 critiques spectateurs

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    Francisco F.
    Francisco F.

    3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 décembre 2019
    Habituellement plutôt fan des films de Scorsese j'ai été très déçu par celui-ci et ne m'explique pas le concert de louanges à son endroit. Le film est très long et il ne se passe vraiment pas grand chose. Mais le plus gros problème c'est le décalage entre l'age des personnages principaux et celui des acteurs qui les interprètent. De Niro et Pacino ont 25 ans de trop. Et le traitement numérique en vue de les rajeunir ne convainc que partiellement. Leur démarche et leur gestuelle de vieillards n'ont en revanche quant à eux pas été retouchés, ce qui jure considérablement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 décembre 2019
    Avec "The Irishman", Scorsese signe l'un des meilleurs films de 2019 (si ce n'est le meilleur) ! La réalisation est menée à la perfection et que dire de la distribution : De Niro, Pacino, Pesci, Keitel, etc. Le rythme relativement lent du film est ce qui fait sa force. On respire, on apprécie les dialogues et ce qu'on voit à l'écran. Ça fait du bien ! Et quel immense plaisir de revoir ces Légendes du cinéma se donner la réplique une fois encore. Un film à voir absolument si vous n'êtes pas indifférent au cinéma de Scorsese !
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    60 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Martin Scorsese signe une œuvre lugubre de presque 3h30 de film qui aurait tout de même méritée une sortie dans les salles obscures. Pourquoi cette intérêt de Martin Scorsese pour Netflix ? Va savoir. Son nouveau chef-d’œuvre est un film de mafieux crépusculaire qui fait le bilan de tout un pan de son cinéma, celui qui a fait de lui une icône, et dans lequel on retrouve son regard sur le monde du crime, sa fascination pour les gangsters et les chromes de toute une mythologie américaine. On peut aisément remarquer les nombreuses références aux " Affranchis " ou à la trilogie des " Parrains " subtilement incrustés avec soin dans " The Irishman ". C'est la marque de fabrique du cinéaste. Robert De Niro est parfait dans son rôle d'un gangster qui sacrifie sa vie de famille pour se consacré à un travaille méprisable. Al Pacino est tout aussi remarquable et drôle en politicien véreux. Un grand Scorsese qui bénéficie d'une somptueuse reconstitution, qui use d'effets-visuelles de rajeunissement d'acteurs de bonne facture, et qui nous donne une leçon sur le sens de la vie, comment la vivre avant que la mort finisse par nous emporter. Ce polar est une immersion sanglante de l'univers des gangsters où douleurs, vieillesses et regrets se percutent avec une main de maître. Grandiose et bouleversant.
    killxx
    killxx

    10 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    J'admire Monsieur Scorsese, j'ai foncé tête baissée dans l'univers de ce film souhaitant de tout cœur prendre la baffe intégrale que garantissait toutes les critiques ! Mais là, malheureusement cela n'a pas été le cas. J'ai attendu 3h30 pour voir cette étincelle, cette scène ce dialogue qui allait rendre culte mon expérience... mais rien. Je reconnais la performances des acteurs, la mise en scène impeccable, mais pour le reste je crois tout simplement que l'histoire ne m'a pas du tout intéressée ...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2019
    Le cinéma de Martin Scorsese a toujours su s’emparer de la durée comme d’une ressource dramatique à part entière, si bien que bon nombre de ses long-métrages dépassent, du point de vue de leur durée, l’entendement. Déjà Silence entendait souffrir à l’unisson de ses missionnaires martyrs en suivant, pendant deux heures et quarante minutes, leur éprouvante quête teintée d’espérances et de cruelles désillusions. Avec The Irishman, Scorsese va plus loin encore, dépasse les trois heures trente minutes, pour mettre en scène l’odyssée individuelle d’un homme plutôt médiocre au sein d’une fresque historique plus vaste, soit une plongée de près de soixante-dix ans dans l’Histoire des États-Unis. Ce jeu d’interdépendance entre la grande échelle – Frank Sheeran et ses acolytes – et la petite – l’Histoire d’un pays – ne respecte cependant pas la réciprocité des échanges ; car si nos mafieux vieillissent et se perdent, le pays continue d’avancer, au risque de balayer d’un revers de main leurs bien insignifiants destins. Le choix d’une construction en flashbacks transforme les récits enchâssés en flux d’images, de sons et d’actions qui reviennent à la mémoire du personnage principal à mesure qu’il se remémore le passé. La mémoire apparaît comme ce long couloir d’hôpital ou de maison de retraite, donnant accès à une série de portes tantôt fermées tantôt entrouvertes et qu’il suffit de franchir pour se raboucher à des fragments d’existences. Et ce qu’il y a de paradoxal et, en ce sens, de fort pertinent, c’est de penser la durée comme une lassitude aux yeux d’hommes et de femmes insouciants et certains du temps qu’il leur reste – notons à ce titre la récurrence du motif de la cigarette et des perturbations qu’elle occasionne au sein du groupe –, puis comme une source-vive à laquelle venir boire lorsque la mort règne partout, à laquelle mêler ses larmes d’amertume et de regrets. Comme Silence, The Irishman s’achève en confession. Dans une confession indirecte, hypocrite, pied-de-nez aux attentes des générations antérieures, soucieuses de lever le voile et révéler les mystères qui continuent d'entourer l'Histoire. Preuve que la petite, très petite histoire de Franck, capitalise sur le grand mystère d'une machine dont les rouages restent inconnus. Et si Frank refuse de renseigner les agents de police, c'est parce qu'il tient à garder allumés les derniers feux d'une mythologie humaine qui risque de s'éteindre avec lui. Le film tout entier lui sert de confession, de testament cinématographique, à cette nuance près que ce livre d’images en mouvement est le fruit d’une vie intérieure : motivée par la parole, la réminiscence reste l’apanage d’un esprit loyal et éthique qui ne saurait servir de balance. Même devant Dieu. Pas un mot. Ce jusqu’au-boutisme constitue le coup d’éclat du film : les personnages – assez médiocres au demeurant – persistent à construire les bases de leur existence sur un sol mouvant qui peut à tout moment de disloquer. Trois heures et trente minutes pour mettre en scène des repas copieux, des bastonnades, de longs échanges verbaux où s’exhibent rapports hiérarchiques et sens de la famille (selon la définition mafieuse du terme). Trois heures et trente minutes pour mettre en scène un temps aujourd’hui révolu, temps auquel Martin Scorsese a voué l’essentiel de sa carrière et qui semble s’en aller avec lui et ses fidèles acteurs. Une durée extraordinaire, hors des normes en usage dans les productions actuelles, pour un testament dont l’imperfection n’a d’égal que les destins qu’il représente.
    MEHDI F.
    MEHDI F.

    9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2019
    Oh mais quel film. Il est très long et pourtant j'ai déjà envie de le revoir. C'est super de revoir ces 3 monstres du cinéma. Concernant la polémique autour d'Anne Paquin , il faut vraiment ne rien avoir compris au film (ou ne pas l'avoir vu)pour reprocher à Martin Scorsese de ne lui avoir donner qu'une réplique . Toute la grandeur du personnage se trouve juste justement dans ce mutisme. Un très bon moment mais qui sonne malheureusement comme un adieu.
    Pierru M
    Pierru M

    21 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Trop long et trop lent. Je suis un grand fan de Scorcese donc il a le droit le rater un film. Très belle musique cependant.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2020
    Ce n’est pas mon Scorsese préféré, mais il est tout de même de très bonne qualité. Malgré sa longueur (3h30), il se doit d’être vu pour ceux qui aime ce réalisateur ou les films de mafieux. Personnellement, je me serai bien passé de la dernière partie qui casse le mythe du gangster, mais je ne vous en dirais pas plus pour ne pas vous spoil. L’histoire est passionnante. Le récit est captivant et on ne voit pas le temps passer. C’est sobre mais efficace. On revient sur un toucher cinématographique qui s’oublie. Je resterai toujours fan de ce style « old school » qui nous rapporte à un âge d’or pour ce genre de film. Rien n’est laissé au hasard dans le déroulé et c’est un plaisir. J’avoue tout de même qu’il faut bien suivre car par moments les explications sont succinctes. Mais on ne va pas se mentir, l’une des choses qu’on attend le plus est le casting de rêve. Le retour du duo qui a fait tant de merveille : Robert De Niro et Joe Pesci. Leur prestation est géniale. Ils sont faits dans un moule unique qui s’est cassé depuis. Cerise sur le gâteau, on aura la première apparition de Al Pacino dans une réalisation de Scorsese. Avec ces trois-là j’étais ailleurs, plongé dans la vie folle de Frank Sheeran. Par contre je suis moins fan de l’effet rajeunissement qui ne m’a pas convaincu.

    THE IRISHMAN est une réussite et ce n’est pas pour rien qu’il relance le début sur la crise du cinéma avec les plateformes de streaming.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 décembre 2019
    Trop long, vraiment, pénible ! Pour moi on n'est vraiment pas obligé de le regarder, malgré d'immenses acteurs ! En plus les répliques de de Niro quasiment inaudible & incompréhensible ! Pénible
    jlc A.
    jlc A.

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Déçu par ce film long et ennuyeux au scénario très pauvre ou rien ne se passe. De Niro avec son visage inexpressif ferraille et referaille aveuglement à tour de bras sans se poser de questions. Difficile d’éprouver quoique ce soit pour ce personnage qui se comporte comme un robot. Seul Al Pacino dans le rôle de Hoffa est vivant. Le grand Scorcese avec cette distribution de grands acteurs a complètement raté son coup. Il aurait du voir et revoir "Il était une fois en Amérique" pour nourrir son inspiration. Dommage.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Nous le sentions un peu solennel avec « Silence », mais Martin Scorsese confirme sa grande forme avec ce nouveau bijou, pourtant proche du nouveau-né, dans le bon sens du terme. Martin Scorsese arrive à un âge où il commence réellement à faire face à son passé, sa carrière en tant que cinéaste, mais en profite également pour faire le point sur toute l’industrie qui lui a permis tant de succès et de réconfort. Sur un arrière-plan mafieux qui ne parle sans doute plus aux grands producteurs de nos jours, il trouve le réconfort d’exploiter son art comme il le souhaite et avec la manière dont un « Roma » a su convaincre par son élan artistique et dramatique. Ici, le regret semble s’emparer de la toile de fond, notamment autour d’un personnage dont on appréhende les paroles comme un mythe. Mais finalement, est-il si important de trouver une conclusion ou une réponse à tout cela ? Scorsese nous invite à voir plus loin, à laisser la porte ouverte et c’est bien dans ces mots qu’il saura captiver son public.

    Nous avons à faire à un style presque anti-Scorsesien en abordant le récit avec des flash-backs à flot et avec un rythme quasi-immobile. Et c’est pourtant là que réside la force du film. La longueur justifie toutes ces époques que l’on traverse. On prend le temps de nous immerger dans les affaires mafieuses, de politique et des syndicats pour bien nous alpaguer dans un final que l’on découvre au même moment que la communauté de bad guys qui est brossée. Nous suivons donc essentiellement un Frank Sheeran (Robert De Niro) au bout de son parcours et au carrefour de la confession, comme s’il y avait quelque chose à se faire pardonner. En tutoyant les grands du « milieu », que ce soit Russell Bufalino (Joe Pesci) ou Angelo Bruno (Harvey Keitel), nous comprenons petit à petit où l’œuvre souhaite déboucher, mais sans en connaître la délicieuse manœuvre qui se profile. Frank est toujours au second plan et reste un intermédiaire redoutable. Il est un bouc émissaire du chaos, mais ne s’en vante pas, car il comprend sa place dans l’œuvre, tout comme le réalisateur connaît la sienne dans le cinéma.

    Impossible de dissocier les deux, lorsque l’on saisit la portée du metteur en scène, en matière de générosité. On fait rapidement un contraste avec ce temps qui ronge Frank dans sa zone de confort et qui abandonne une partie de lui-même au milieu de son ascension, au milieu de la réponse sur son existence ou son degré d’implication dans un monde qu’il ne peut contrôler. Oui, il s’agit bien d’un jeu de pouvoir, mais qui est réellement en position de diriger et qui serait en position de négocier ? On pense immédiatement à Bufalino, patient et attentif, contrairement à Jimmy Hoffa (Al Pacino), pourtant à la tête d’un syndicat ravageur. Ce dernier est toujours présent lorsqu’il s’agit d’influencer son entourage et on découvre que son empathie ou sa cruauté n’est pas son atout premier. Ce sont sur les multiples détails qui nous conduisent fatidiquement au dénouement qu’on prendra pleinement conscience de sa place dans cet univers, car de toute évidence, il vit dans le fantasme. Le tour de force prend ainsi le spectateur qui aura pris le temps de grandir et de s’alimenter auprès d’hommes capricieux, mais qui ne manque pas de manières pour s’imposer.

    « The Irishman » ne sonne pourtant pas comme le glas prétendu et attendu. Aussi surprenant soit-il, il reste encore des pistes à explorer pour Scorsese et sa troupe de comédiens charismatiques et captivants. En usant habilement d’une narration statique, mais fluide, on ne se perd jamais dans les débats. On nous a invités à une excursion ludique et impitoyable, où la loi et les hommes se confondent. Le film d’époque a également permis au réalisateur, depuis de nombreuses années, d’éviter d’être pollué par les contraintes du contemporain, celui qui demande toujours de se raccrocher au présent et de le contextualiser. Il en apprécie les nouveautés techniques, mais il y voit surtout de l’avenir derrière cette démarche et brosse ce qui lui reste pour sa postérité, sans forcément renoncer au requiem qui guette ce monument du cinéma jusqu’à sa prochaine apparition.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Frank Sheeran (1920-2003) a raconté sa vie dans un livre intitulé « J’ai tué Jimmy Hoffa » dans lequel il revendique l’assassinat en 1975 du chef des Teamsters américains. Le titre original de ces mémoires est moins tonitruant : « I Heard You Paint Houses ». Telles auraient été les premiers mots adressés par Hoffa à Sheeran. Il s’agissait moins de saluer ses talents de peintre en bâtiment que d’évoquer à demi mots sa profession de tueurs à gages, l’expression renvoyant au sang de ses victimes giclant sur les murs des maisons où elles étaient exécutées.

    Un Irlandais devenu italien. Le sujet est posé. Il est de ceux que Scorsese affectionne, qui constitua déjà la toile de fond de quelques uns de ses plus grands films : "Les Affranchis", "Casino", "Les Infiltrés". Il opte pour un titre différent de celui, trop elliptique, du livre qu’il adapte : ce sera The Irishman, qui donne la vedette à Robert De Niro, son acteur fétiche, même s’il partage l’affiche avec deux autres acteurs d’anthologie, Al Pacino (qui n’avait jamais tourné avec Scorsese) et Joe Pesci (un fidèle de la première heure), sans oublier Harvey Keitel qui tenait un rôle dans le tout premier film de Scorsese tourné en….1967.

    Petits meurtres entre amis. Autant dire qu’on est entre vieilles connaissances septuagénaires. Autant dire que "The Irishman" a des airs intemporels de testament. Martin Scorsese aurait pu signer le même film, avec les mêmes personnages, le même scénario, il y a vingt ou trente ans, à l’époque glorieuse des "Affranchis" ou de "Casino" – qui, lui, comptait une figure féminine (ah ! Sharon Stone !) dont hélas "The Irishman" est dépourvu.

    Le maestro prend son temps. "The Irishman" dure plus de trois heures et avance à un rythme de corbillard. Scorsese veut bien qu’on l’enterre ; mais la cérémonie se fera au tempo qu’il aura décidé ; et le tempo n’est pas prestissimo. Du coup, on s’ennuie un peu. La première heure est languissante, qui met en place un procédé qui mélange trois temporalités (les confessions de Sheeran racontées en flashback depuis une maison de retraite, une virée automobile en 1975 des couples Sheeran et Buffalino, la vie proprement dite de Sheeran depuis la fin de la Seconde guerre mondiale), dont on peine à comprendre l’architecture. Tout s’accélère avec l’entrée en scène de Jimmy Hoffa, campé par un Al Pacino toujours aussi ébouriffant, quels que soient les toupets qui le coiffent.

    Martin Scorsese fait des infidélités aux salles obscures en sortant son film sur Netflix. Le procédé, venant d’un des monstres sacrés du septième art, peut surprendre. Scorsese sur Netflix ? Et puis quoi encore ? Gracq publié en poche ? Chostakovitch en replay sur NRJ ? Soulages exposé aux Quatre Temps ?

    Le problème de cette modalité de diffusion est qu’elle m’a privé du recueillement et de la concentration que la salle impose. Devant un (petit) écran d’ordinateur, distrait par toutes les sollicitations de la vie quotidienne, je ne me suis pas plongé dans le film. J’en ai saucissonné le visionnage en trois épisodes. J’ai du coup eu l’impression de regarder une mauvaise mini-série. L’aurais je vu en salles trois heures de rang, je me serais peut-être forgé une toute autre opinion.
    Olivier C.
    Olivier C.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    3h26 de grand cinéma. Martin Scorcese nous livre ici une oeuvre magistrale avec surement la dernière confrontation de ces géants du grand écran que sont Robert de Niro, Al Pacino et Joe Pecci. L'émotion m'a étreint jusqu'à la dernière minute (la fin est sublime) Je recommande ce chef d'oeuvre + + +
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2019
    Il est génial mon film preferer De Martin scorsese.
    Les acteurs sont magique c’est génial de les retrouver.
    chris R
    chris R

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Pourtant grand fan de ce genre de film, grand fan également des ces grands acteurs, j ai trouvé le film tres tres long et ennuyeux, et les acteurs ne donnent pas la pleine mesure de leur talent à cause de ce scénario se déroulant sur plusieurs décennies
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