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    The Irishman
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    3,9
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    484 critiques spectateurs

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    Philippe D
    Philippe D

    5 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2019
    Déjà culte et un trio d'acteurs à leur apogée, le septième art a ce niveau touche au sublime, merci Monsieur Scorsese.
    Pat S
    Pat S

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2019
    Exceptionnel ! un humour subtil et caustique, une musique et des bagnoles wahoo....des p'tits clins d'oeils au Parrain et autres. on ne voit pas les 3h20 passer !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    Soyons honnête : En fait ce qui me désole le plus c'est de devoir admettre que ce film ne mérite pas plus de 2 étoiles !

    Je suis un fan de Martin Scorsese depuis Mean Street, Taxi Driver et toute une série de chef-Oeuvre inoubliable et je ne m'attendais pas du tout à souffrir en reguardant Irishman !! Les sequences interminables, les travelling marcher completement ratés et même par moment la Photo de ce film m'on fait penser que jétais en présence d'un plagiat du grand maître .Et puis oyons franc: Compte tenu du scénario et du fond de l'histoire , ce film ennuyeux et filandreu aurait pu tenir dans un format « Court-métrage » de 11 minutes tellement la narration traîne le pied pendant heues.

    Le Grand Martin Scorsese s'essouffle peut-être ( ?? ) mais en tout cas j'espère qu'il aura l'occasion de nous faire vibrer dans un prochain film.

    Celui-ci je vais faire comme si je ne l'avais jamais vu...
    st Thomas
    st Thomas

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Bon sang que ce film sublime!
    On est prit dedans dès le début pour ne plus en sortir, les 3h30 passe en 1h00 heure et on en redemande encore!
    C'est avec un grand plaisir de retrouver Pacino/De Niro et avec un Pesci en Caïd
    Les deuxièmes et troisièmes rôles sont toujours aussi remarquables, tous les ingrédients Scorsesient sont là pour en faire un grand film et laisse une trace indélébile après son visionnage, sur l'irrémédiable/l'irréparable et ses causes dans le temps qui passe!
    À voir et à revoir
    Laurent J
    Laurent J

    1 abonné 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2019
    Quelle beauté quelle merveille de jeux... Ce film restera un chef d œuvre pour les amoureux du cinéma de Martin s. Un bon de 30 ans direct les affranchis. Le géni d acteurs l exactitude des décors bref plus de 3 hrs de pure bonheur qui a lui seul vaut un abonnement chez netflix. Un film qui marquera la fin d une époque là fin des géants que sont de n'ira Pacino et un Joe pisci surprenant de justesse. Superbe
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    La très mauvaise note est un peu exagérée, c'est pour tempérer tous les fanboys qui ont surnoté avant moi et qui m'ont fait perdre 3h30. Qu'est-ce qu'on s'ennuie fermement tout au long des 3h30. Non, pas moyen de s'attacher à Franck ou à Jimmy ni aux seconds rôles sous-exploités. La narration avec tiroirs et flashbacks dans tous les sens n'apporte rien, si ce n'est de l'ennui. Les ficelles narratives sont peut-être trop subtiles pour moi, si bien que je trouve le scénario complètement décousu. spoiler: Pourquoi Hoffa devient-il pestiféré tout d'un coup ? Parcequ'il est colérique ? Pourquoi son fils adoptif doit-il faire le taxi ? Pourquoi la fille de Franck lui en veut autant alors qu'elle connait son père et Hoffa, non ? C'est qui ces "ils" qui tuent Kennedy et veulent la fin de Hoffa?
    (...)
    J'ai trouvé tout cela plat au possible, la lenteur ne sert pas la tension narrative. Des procès aux assasinats, tout est fade. Pas de passion amoureuse non plus. Un cinéma d'un autre temps peut-être. Heureusement que je n'ai pas dépensé le moindre centime personnel pour le voir. Je préfère largement payer ma place de cinéma pour un bon film de super héros, plutôt.
    Redzing
    Redzing

    943 abonnés 4 305 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2019
    A 77 ans au compteur, Martin Scorcese semble ne rien avoir perdu de sa fougue et de son ambition. Il nous livre "The Irishman", fresque sur un travailleur américain qui, entre les années 50 et 70, se met au service de la mafia italienne, et du célèbre syndicaliste Jimmy Hoffa. Le film a joué sur le fait qu'il s'agit à sa sortie du plus gros budget pour une production Netflix, mais surtout sur le rajeunissement numérique de ses personnages. Car il réunit les prestigieux Robert De Niro, Joe Pesci, et Al Pacino, et les fait évoluer sur plusieurs décennies ! Attaquons tout de suite le cas de ce fameux rajeunissement : s'il pique parfois les yeux au premier abord (surtout pour De Niro), d'autant plus que la morphologie et la gestuelle des acteurs trahit leur âge réel, on s'y habitue assez vite. Et il serait dommage de s'arrêter à ces éléments, car le film est beaucoup plus profond. On y retrouve un style proche de "Goofdellas" et "Casino" : voix-off entraînante, montage dynamique et efficace, narration vertigineuse enchaînant les divers rebondissements et intrigues secondaires, etc. Toutefois, Scorcese semble vouloir ici davantage se poser. Par rapport à ses prédécesseurs, le film est plus long, plus lent, moins violent, et s'intéresse davantage à la fin de la vie de ses personnages qu'à son début. Il apporte ainsi une réflexion sur la vie de gangster, la loyauté, et l'ambition. Il en profite pour livrer une vision assez cinglante du fameux Jimmy Hoffa. A ce niveau, le trio d'acteur principal est excellent. Robert De Niro et Al Pacino semblent retrouver goût au jeu d'acteur après 20 ans d'errements discutables, surtout Pacino, incarnant un Hoffa charismatique, impulsif, et obsédé par le pouvoir. Par ailleurs, on retrouve avec grand plaisir Joe Pesci, devenu trop rare, et jouant un gangster aussi touchant qu'inquiétant. "The Irishman" est donc une très bonne surprise pour ceux qui craignaient de voir des acteurs vieillissants et un réalisateur fatigué.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    483 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2020
    Y aurait-il une fatalité chez les grands réalisateurs ? Sont-ils destinés à revisiter leurs plus grands travaux ? Comme pour se lancer le défi ultime : se mesurer à l'héritage qu'ils ont légué à la postérité. Mais pour y ajouter quoi ? Comme d'autres, en changeant son fusil d'épaule pour regarder le seul sujet inépuisable : le temps.
    Passer après Les Affranchis et Casino, modèles Béhémoth du film de mafieux ? Oui, c'est bien ça. Et vous savez quoi ? Martin Scorsese le fait sans tressaillir et ça marche. Pourquoi ? Justement parce que The Irishman n'est pas tant la suite de ces illustres ainés que leur antithèse absolue.
    Soyons clairs : plastiquement, le film est tout aussi élégant. Mais un trouble s'installe très vite. Que se passe-t-il ? Pourquoi le maestro choisit de mettre cette scène en valeur plutôt qu'une autre? Pourquoi étire-t-il ce dialogue à priori anodin ? Pourquoi cette mesure dans les performances de Robert De Niro et Joe Pesci ? Pourquoi ce "de-aging" étrange, qui retire des rides mais ne cherche pas à masquer les corps flétris de ces acteurs ? Plus que jamais, Martin Scorsese livre un film dont une seule vision ne suffira pas pour en extraire toute la richesse.
    Je pense qu'il s'agit d'une des œuvres les plus belles de son auteur. Formellement, c'est un aboutissement magistral. Tout ce qu'entreprend Scorsese en termes de cadrage ou de découpage, de choix de photographie ou de montage, converge vers cette donnée précieuse, le temps. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si le point de bascule du film se niche dans une dispute (géniale) au sujet d'un retard.
    Malgré la grande beauté de l'ensemble, l'heure n'est plus au panache mais au bilan. Le bilan de ces personnages, de ces hommes qui se sont condamnés trop jeunes et passent leurs vieux jours à ressasser leurs actes et leurs coûts.
    The Irishman est colossal et paradoxalement intimiste. On couvre une distance de plusieurs décennies, un temps politique éreinté par les scandales (Cuba, Castro, JFK et son frère Bobby, le Watergate), pourtant toute l'attention de Scorsese se polarise sur ces hommes à l'arrière-plan qui sont pourtant liés à l'avant-scène. Leurs conversations, leurs états d'âmes et leurs introspections. On dirait presque que The Irishman prend tout ce que Les Affranchis et Casino ont laissé de côté, tous ces moments d'une vie, au premier abord moins importants et pourtant tellement signifiants. Jusqu'à une dernière heure où tous les enjeux se révèlent. Une heure attentive, contemplative et funèbre. Terriblement belle et définitive. Bien plus dépouillée que la tragédie attendue, on est dans la conclusion testamentaire brute. Sans artifices ni trémolos, un constat sans appel et sans retour. C'est peu dire que voir de tels mythes s'offrir une dernière virée aussi ambitieuse et sincère. Al Pacino domine tout le casting, en devenant le cœur palpitant de cette fresque noire. Mais l'âme de The Irishman se niche bien dans la prestation de Robert De Niro, derrière ses yeux fatigués trahissant l'amertume qui se diffuse le long de ces 209 minutes. Puis évidemment, c'est un tel plaisir de revoir notre Joe Pesci, dont la magie tient à sa sobriété.
    Une immense méditation sur le temps, celui qui flétrit les corps pourtant jeunes et alourdit le poids des regrets, The Irishman est un chant du cygne merveilleux, dont les intonations de In the still of the Night résonnent longtemps après le visionnage.
    Un Scorsese définitif.
    moket
    moket

    446 abonnés 4 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2020
    Une chronique de la mafia pas aussi flamboyante que "les affranchis" et à la longueur un peu rebutante, même si on ne voit pas le temps passer. Mais quel casting ! Le destin de Frank Sheeran est un peu déconcertant : pas d'ascension fulgurante ni de chute spectaculaire, juste un type qui a passé sa vie à faire le sale boulot. Le film est très classe dans sa reconstitution de l'Amérique post-guerre mondiale et a quelque chose de touchant à montrer l'œuvre implacable du temps même sur ces grandes figures du crime organisé.
    Yves G.
    Yves G.

    1 305 abonnés 3 307 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2019
    Frank Sheeran (1920-2003) a raconté sa vie dans un livre intitulé « J’ai tué Jimmy Hoffa » dans lequel il revendique l’assassinat en 1975 du chef des Teamsters américains. Le titre original de ces mémoires est moins tonitruant : « I Heard You Paint Houses ». Telles auraient été les premiers mots adressés par Hoffa à Sheeran. Il s’agissait moins de saluer ses talents de peintre en bâtiment que d’évoquer à demi mots sa profession de tueurs à gages, l’expression renvoyant au sang de ses victimes giclant sur les murs des maisons où elles étaient exécutées.

    Un Irlandais devenu italien. Le sujet est posé. Il est de ceux que Scorsese affectionne, qui constitua déjà la toile de fond de quelques uns de ses plus grands films : "Les Affranchis", "Casino", "Les Infiltrés". Il opte pour un titre différent de celui, trop elliptique, du livre qu’il adapte : ce sera The Irishman, qui donne la vedette à Robert De Niro, son acteur fétiche, même s’il partage l’affiche avec deux autres acteurs d’anthologie, Al Pacino (qui n’avait jamais tourné avec Scorsese) et Joe Pesci (un fidèle de la première heure), sans oublier Harvey Keitel qui tenait un rôle dans le tout premier film de Scorsese tourné en….1967.

    Petits meurtres entre amis. Autant dire qu’on est entre vieilles connaissances septuagénaires. Autant dire que "The Irishman" a des airs intemporels de testament. Martin Scorsese aurait pu signer le même film, avec les mêmes personnages, le même scénario, il y a vingt ou trente ans, à l’époque glorieuse des "Affranchis" ou de "Casino" – qui, lui, comptait une figure féminine (ah ! Sharon Stone !) dont hélas "The Irishman" est dépourvu.

    Le maestro prend son temps. "The Irishman" dure plus de trois heures et avance à un rythme de corbillard. Scorsese veut bien qu’on l’enterre ; mais la cérémonie se fera au tempo qu’il aura décidé ; et le tempo n’est pas prestissimo. Du coup, on s’ennuie un peu. La première heure est languissante, qui met en place un procédé qui mélange trois temporalités (les confessions de Sheeran racontées en flashback depuis une maison de retraite, une virée automobile en 1975 des couples Sheeran et Buffalino, la vie proprement dite de Sheeran depuis la fin de la Seconde guerre mondiale), dont on peine à comprendre l’architecture. Tout s’accélère avec l’entrée en scène de Jimmy Hoffa, campé par un Al Pacino toujours aussi ébouriffant, quels que soient les toupets qui le coiffent.

    Martin Scorsese fait des infidélités aux salles obscures en sortant son film sur Netflix. Le procédé, venant d’un des monstres sacrés du septième art, peut surprendre. Scorsese sur Netflix ? Et puis quoi encore ? Gracq publié en poche ? Chostakovitch en replay sur NRJ ? Soulages exposé aux Quatre Temps ?

    Le problème de cette modalité de diffusion est qu’elle m’a privé du recueillement et de la concentration que la salle impose. Devant un (petit) écran d’ordinateur, distrait par toutes les sollicitations de la vie quotidienne, je ne me suis pas plongé dans le film. J’en ai saucissonné le visionnage en trois épisodes. J’ai du coup eu l’impression de regarder une mauvaise mini-série. L’aurais je vu en salles trois heures de rang, je me serais peut-être forgé une toute autre opinion.
     Kurosawa
    Kurosawa

    522 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2020
    Cela ressemblait à un projet maudit; "The Irishman" a finalement vu le jour grâce à une technologie enfin à la hauteur – selon les dires de Scorsese – et à l'appui de Netflix, puisqu'aucun studio n'a voulu produire ce magnifique chant du cygne. En reprenant ses acteurs fétiches, dont Joe Pesci sorti de sa retraite, et en signant une première collaboration avec Al Pacino, Scorsese rejoue ses meilleurs films de gangsters mais sur un mode mineur. Par "mode mineur", il ne faut pas penser qu'il y aurait un déficit d'ambition, mais plutôt l'abandon de la prédominance de la fiction et une volonté de moins appuyer la virtuosité de la mise en scène. Bien sûr que Scorsese garde son style, ses voix-off, ses montages parallèles et ses arrêts sur image mais il malaxe ces matériaux dans le sens où le curseur est légèrement déplacé, ajusté à une méditation inédite et bouleversante sur la mort. La voix est par exemple plus lente du fait du vieillissement des acteurs; le montage complexe est vertigineux pendant les deux tiers du film – puisqu'il faut quand même raconter une histoire, et celle-ci est dense, comme en attestent le nombre important de personnages et de revirements – mais finit par gagner en simplicité dans la conclusion; enfin, les arrêts sur image ont une dimension mortifère car en même temps qu'ils présentent un nouveau personnage, c'est aussi sa mort qui est indiquée à l'écran. Le film n'a donc pas la vitalité de "Casino" ou des "Affranchis" parce que l'histoire est déjà écrite : celle de Scorsese, dont la carrière est derrière lui, mais aussi celle de Franck Sheeran, qui n'a plus qu'à passer dans sa chaise roulante les derniers instants d'une vie de regrets, envahi par la honte de ne pouvoir avouer le meurtre de son ami Jimmy Hoffa. Ce dernier plan, l'un des plus beaux de l'oeuvre de Scorsese, résonne avec un autre, encore plus mélancolique, qui cadre de dos un Joseph Patrick Kennedy paralysé, en train de regarder inconscient le soleil déclinant. Dans un film qui aura sans cesse confronté la petite histoire à la grande et la soumission des gangsters aux politiques, enfin ces deux plans réconcilient deux personnages antagonistes, non dans un combat idéologique mais dans une mort certaine. Que ce rapprochement se fasse par une idée de mise en scène aussi simple et lumineuse déchire, il dit presque à lui seul la grande beauté de ce film qui compte parmi les plus importants d'un cinéaste définitivement immense.
    CH1218
    CH1218

    160 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Annoncé en 2008 déjà, le film voit enfin le jour, 11 ans après, sous la bannière de Netflix. Scorsese nous sert une nouvelle épopée mafieuse avec le brio qu’on lui connaît en nous contant la vie d’un syndicaliste, travaillant pour le compte du puissant syndicat professionnel des conducteurs routiers présidé par l’incontournable Jimmy Hoffa, qui entretient des rapports privilégiés avec la mafia. Dans la lignée des « Affranchis » (un pur chef d’œuvre) et de « Casino » (un très grand film), « the Irishman » est un long et passionnant métrage qui perd cependant de son accroche durant son dernier tiers, de par l’évidence de son dénouement qui se dessine. Comme l’histoire se passe sur plusieurs décennies, le réalisateur a eu recours au rajeunissement numérique de ses acteurs. Mais contrairement à sa mise en scène, cette pratique n’est pas totalement maîtrisée mais n’interfère nullement sur la qualité globale du film. Pour l’occasion, Joe Pesci est sorti de sa retraite et retrouve Robert De Niro et Harvey Keitel (participation décharnée) ainsi qu’Al Pacino pour ce qui est sa toute première apparition devant la caméra de Marty Scorsese. Après des années de disette, le jeu de ce dernier retrouve enfin de son éclat.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 décembre 2019
    Parfaitement soporifique
    Je l'ai regardé jusqu'à la fin, pour les acteurs.
    C'est une suite de séquences interminables, totalement inintéressantes pour la plupart.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    164 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2020
    The Irishman est peut-être le film ultime de Martin Scorsese.

    Le casting est au sommet. Scorsese reprend ses acteurs fétiches. Robert de Niro est impeccable en gangster vieillissant. Sa complicité avec Joe Pesci marche à la perfection (les deux acteurs ayant collaboré plus d'une fois, notamment sous la caméra de Scorsese). Al Pacino est tout bonnement génial. Il s'agit ironiquement de la première collaborateur entre l'acteur (l'acteur de films de mafia par excellence) et le réalisateur (le réalisateur de films de mafia par excellence). Le reste est de très haut niveau : Ray Romano, Bobby Cannavale, Anna Paquin, Stephen Graham, Harvey Keitel.
    Les technologies de rajeunissement sont plutôt convaincantes (particulièrement pour Joe Pesci, un peu moins pour de Niro, notamment ses yeux).

    L'intrigue est scorsesienne au possible. Toutes les thématiques sont là : les gangsters, l'amitié, la violence, les tempéraments impulsifs s'opposant aux tempéraments raisonnables. Les allers-retours dans le passé sont très cohérents. Les décors et la plongée dans le passé sont très convaincantes.
    Le film est en revanche extrêmement long. Je l'ai vu en plusieurs fois et ça ne m'a pas manqué (le voir d'une traite est un sacré marathon).

    C'est sans doute le plus scorsesien des films de Scorsese. Ce n'est pas le plus original ni le plus innovant (car du coup, tous les codes de sa filmographie sont présent), mais le réalisateur est clairement au sommet de son art. Dommage qu'il ne puisse être vu sur grand écran.
    RJED
    RJED

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    Quoi de neuf ? Que du vieux !
    Un casting raté, pour une histoire de plus sur la mafia, pas aidée par une narration laborieuse et des personnages sans relief...
    Malgré tout le respect et l'affection que je porte à Scorsese, The Irishman nous fait tourner en rond, au déambulateur.
    Déçu.
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