Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CNews
par La rédaction
The Irishman est un petit bijou servi par un trio d’acteurs au sommet de leur art.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
La durée fleuve, épouse un dessein qui prend peu à peu tout son sens jusqu’à un dernier acte inédit dans l’œuvre du metteur en scène. Martin Scorsese observe et étudie le temps, celui qui passe et celui qui reste. […] Le film se double alors d’une émotion bouleversante, accentuée par plusieurs considérations : l'adieu définitif à un genre, à un pan de notre cinéphilie, la fin d’une Histoire sublime.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
The Irishman est une oeuvre fleuve sur le crime organisé et une oeuvre testamentaire pour Martin Scorsese. Une fresque terrassante sur le temps qui passe (insaisissable) et la mélancolie qui nous envahit lorsqu'on comprend qu'il nous a échappés. Pacino domine le duo émouvant De Niro-Pesci.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
La vérité, c’est que Scorsese est au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Martin Scorsese signe un nouveau chef-d’œuvre, aux airs de Requiem, orchestré avec une maestria sans égale.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec cette fresque intense et crépusculaire, le cinéaste désacralise la pègre et montre les ravages du temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Scorsese veut regarder la mort en face, celle de ses personnages, de ses proches, la sienne. Le cours de l’histoire a voulu que The Irishman, film magnifique, qui ne connaîtra qu’à peine la consécration de la projection en salle, soit aussi l’un des symptômes de l’agonie du cinéma, l’art qui a sauvé l’enfant asthmatique de Little Italy.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film de gangsters pharaonique et majestueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Alexandre Poncet
[...] une vraie proposition alternative aux modèles de superproductions actuels, doublée d’une volonté de cristalliser une dernière fois l’hypocrisie d’une Amérique bâtie sur de l’argent détourné, des élections vraisemblablement truquées [...], des crises internationales fabriquées en interne [...] et des cadavres effacés par dizaines de milliers.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Foisonnant et génialement mis en scène, The Irishman s'inscrit dans la lignée des meilleurs films mafieux de Scorsese : Mean Streets, Les Affranchis ou Casino.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Nostalgique sans oublier une bonne dose de suspense et un casting épatant : avec The Irishman, Scorsese sort le grand jeu.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
The Irishman est une fresque riche et captivante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Roque
Avec ce fleuve de 3h30, mais qui passe vite, jamais ennuyeux, par son intimité crépusculaire et une forme d’élégance, Scorsese livre probablement un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Michel Cieutat
La narration, articulée autour de nombreux flash-back, retient constamment l’attention, non seulement par l’intérêt que nous portons à ses personnages hors du commun, mais surtout grâce à l’ancrage socio-historique des années soixante et soixante-dix, très justement reconstituées.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Scorsese s’en tient obstinément au prisme étroit de la trajectoire sans panache de son personnage. Cette trajectoire ne construit rien, ne mène nulle part : elle est une désintégration. Si The Irishman fascine tant, c’est parce qu’il trouve là, justement, son ampleur.
Critikat.com
par Corentin Lê
En dépit des flashbacks enchevêtrés qui fragmentent le récit en un mille-feuille digne des plus grands barnums scorsesiens, la mise en scène de ces souvenirs tumultueux fait preuve d'une raideur sciemment adoptée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Bref, The Irishman mérite d'être vu. Doit être vu, même. Mais n'en déplaise aux gardiens du temple, ce n'est pas le monument annoncé.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Nul éloge viriliste et complaisant de la camaraderie ici, tant tout le film avance à l’énergie d’une lucidité douloureuse mais toujours canaille. Si la violence a toujours été le principe de régénération de la mise en scène de Scorsese, elle concerne ici la mort au travail, le délitement des corps, la fatigue de toute chose. (...) [Le film] ne pouvait qu’être une splendide réflexion sur les acteurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Scorsese cloue le cercueil du film de mafia sans flamboyance mais avec une émotivité qui crève littéralement le coeur.
GQ
par Alexandre Lazerges
Mais à part ces réels moments de grâce, on s’ennuie un peu, c'est trop long, comme un téléfilm en fait. Dommage…
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Geek
par Felix Gouty
The Irishman réunit – peut-être pour la dernière fois – des légendes du cinéma américain mais peine à ravir même leurs plus grands fans.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Camille Nevers
On suit avec une attention relative un film, au mauvais sens du terme, «littéraire», parcouru comme on tourne sans passion les pages d’un recueil, visualisant paragraphes, chapitres, numéro de pages et table des matières, peu captivés par le récit, le style, qui échoue à se sortir de cet alignement récitatif, de son bonhomme de chemin de trahison annoncée, sans dérailler à quelques sinuosités près [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
The Irishman est un petit bijou servi par un trio d’acteurs au sommet de leur art.
Culturopoing.com
La durée fleuve, épouse un dessein qui prend peu à peu tout son sens jusqu’à un dernier acte inédit dans l’œuvre du metteur en scène. Martin Scorsese observe et étudie le temps, celui qui passe et celui qui reste. […] Le film se double alors d’une émotion bouleversante, accentuée par plusieurs considérations : l'adieu définitif à un genre, à un pan de notre cinéphilie, la fin d’une Histoire sublime.
Ecran Large
The Irishman est une oeuvre fleuve sur le crime organisé et une oeuvre testamentaire pour Martin Scorsese. Une fresque terrassante sur le temps qui passe (insaisissable) et la mélancolie qui nous envahit lorsqu'on comprend qu'il nous a échappés. Pacino domine le duo émouvant De Niro-Pesci.
L'Obs
La vérité, c’est que Scorsese est au sommet de son art.
La Septième Obsession
Martin Scorsese signe un nouveau chef-d’œuvre, aux airs de Requiem, orchestré avec une maestria sans égale.
La Voix du Nord
Bouleversant.
Le Figaro
Avec cette fresque intense et crépusculaire, le cinéaste désacralise la pègre et montre les ravages du temps.
Le Monde
Scorsese veut regarder la mort en face, celle de ses personnages, de ses proches, la sienne. Le cours de l’histoire a voulu que The Irishman, film magnifique, qui ne connaîtra qu’à peine la consécration de la projection en salle, soit aussi l’un des symptômes de l’agonie du cinéma, l’art qui a sauvé l’enfant asthmatique de Little Italy.
Le Parisien
Un film de gangsters pharaonique et majestueux.
Mad Movies
[...] une vraie proposition alternative aux modèles de superproductions actuels, doublée d’une volonté de cristalliser une dernière fois l’hypocrisie d’une Amérique bâtie sur de l’argent détourné, des élections vraisemblablement truquées [...], des crises internationales fabriquées en interne [...] et des cadavres effacés par dizaines de milliers.
Marianne
Foisonnant et génialement mis en scène, The Irishman s'inscrit dans la lignée des meilleurs films mafieux de Scorsese : Mean Streets, Les Affranchis ou Casino.
Rolling Stone
Nostalgique sans oublier une bonne dose de suspense et un casting épatant : avec The Irishman, Scorsese sort le grand jeu.
Télérama
The Irishman est une fresque riche et captivante.
aVoir-aLire.com
Avec ce fleuve de 3h30, mais qui passe vite, jamais ennuyeux, par son intimité crépusculaire et une forme d’élégance, Scorsese livre probablement un de ses meilleurs films.
Bande à part
La narration, articulée autour de nombreux flash-back, retient constamment l’attention, non seulement par l’intérêt que nous portons à ses personnages hors du commun, mais surtout grâce à l’ancrage socio-historique des années soixante et soixante-dix, très justement reconstituées.
Cahiers du Cinéma
Scorsese s’en tient obstinément au prisme étroit de la trajectoire sans panache de son personnage. Cette trajectoire ne construit rien, ne mène nulle part : elle est une désintégration. Si The Irishman fascine tant, c’est parce qu’il trouve là, justement, son ampleur.
Critikat.com
En dépit des flashbacks enchevêtrés qui fragmentent le récit en un mille-feuille digne des plus grands barnums scorsesiens, la mise en scène de ces souvenirs tumultueux fait preuve d'une raideur sciemment adoptée.
L'Express
Bref, The Irishman mérite d'être vu. Doit être vu, même. Mais n'en déplaise aux gardiens du temple, ce n'est pas le monument annoncé.
Les Inrockuptibles
Nul éloge viriliste et complaisant de la camaraderie ici, tant tout le film avance à l’énergie d’une lucidité douloureuse mais toujours canaille. Si la violence a toujours été le principe de régénération de la mise en scène de Scorsese, elle concerne ici la mort au travail, le délitement des corps, la fatigue de toute chose. (...) [Le film] ne pouvait qu’être une splendide réflexion sur les acteurs (...).
CinemaTeaser
Scorsese cloue le cercueil du film de mafia sans flamboyance mais avec une émotivité qui crève littéralement le coeur.
GQ
Mais à part ces réels moments de grâce, on s’ennuie un peu, c'est trop long, comme un téléfilm en fait. Dommage…
Le Journal du Geek
The Irishman réunit – peut-être pour la dernière fois – des légendes du cinéma américain mais peine à ravir même leurs plus grands fans.
Libération
On suit avec une attention relative un film, au mauvais sens du terme, «littéraire», parcouru comme on tourne sans passion les pages d’un recueil, visualisant paragraphes, chapitres, numéro de pages et table des matières, peu captivés par le récit, le style, qui échoue à se sortir de cet alignement récitatif, de son bonhomme de chemin de trahison annoncée, sans dérailler à quelques sinuosités près [...].