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Avec les histoires vraies comme celle-ci, il est toujours délicat et inconfortable de se dire que non, ce n'est pas possible, cela ne peut arriver dans la ‘vraie vie'. Et pourtant si ! (...) Le casting impeccable donne de beaux moments.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Il manque sans doute un brin de folie à Tony Goldwyn pour emballer ce film judiciaire solide, mais, au fond, peu inspiré. C'est grâce à ses acteurs, tous parfaits, que "Conviction" tient.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Bien que conventionnel dans sa facture et plombé par quelques facilités dommageables (...), "Conviction" emporte heureusement l'adhésion grâce aux comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
On pourrait ergoter sans fin sur les faiblesses de Conviction, mais le film a, aussi, les qualités de ses défauts : une humilité qui étouffe sporadiquement les bouffées de pompiérisme et qui du coup maintient l'ensemble au niveau du peuple.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Trop conventionnel, trop sage et un peu trop larmoyant, "Conviction" a plus les allures d'un téléfilm à gros budget balisé pour nous faire pleurer... Mais il n'en reste pas moins très agréable à regarder, grâce notamment à son jeu d'acteurs particulièrement brillant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Ne comptant que sur son histoire, le réalisateur ne fait pas attention à grand chose d'autre : ni à la construction tout en flash-back mal fichus, ni aux personnages secondaires, ni aux détails concrets, qu'ils soient matériels, historiques, ou simplement d'ambiance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Seul le toujours excellent Sam Rockwell, dans le rôle du frangin white trash, bouscule un peu le ronron de ce (télé)film auquel ne manque que le débat façon "Dossiers de l'écran" sur les erreurs judiciaires.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
A vouloir se borner à narrer l'histoire telle qu'elle est réellement advenue, le cinéma oublie sa dimension métaphorique, sa propension à raconter plus que l'expérience humaine individuelle et sa capacité de conviction. Ironique pour un film qui en avait la prétention.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
Tony Goldwyn, un ancien acteur (...), a fait la part belle aux comédiens en leur offrant une quantité de rôles fouillés.
Brazil
Avec les histoires vraies comme celle-ci, il est toujours délicat et inconfortable de se dire que non, ce n'est pas possible, cela ne peut arriver dans la ‘vraie vie'. Et pourtant si ! (...) Le casting impeccable donne de beaux moments.
Charlie Hebdo
Il manque sans doute un brin de folie à Tony Goldwyn pour emballer ce film judiciaire solide, mais, au fond, peu inspiré. C'est grâce à ses acteurs, tous parfaits, que "Conviction" tient.
Excessif
Bien que conventionnel dans sa facture et plombé par quelques facilités dommageables (...), "Conviction" emporte heureusement l'adhésion grâce aux comédiens.
L'Express
Le film se regarde sans déplaisir, mais sans passion non plus à cause d'une mise en scène impersonnelle.
La Croix
(...) ce film touche par la force de son récit.
Le Figaroscope
Vaut surtout pour l'interprétation des comédiens.
Positif
Bien qu'efficace, la mise en scène reste téléguidée, la musique de piano trémolo annonçant jusqu'aux changements de lieux.
Télérama
Mise en scène un brin tire-larmes, mais beau duo d'acteurs (...).
Chronic'art.com
On pourrait ergoter sans fin sur les faiblesses de Conviction, mais le film a, aussi, les qualités de ses défauts : une humilité qui étouffe sporadiquement les bouffées de pompiérisme et qui du coup maintient l'ensemble au niveau du peuple.
Filmsactu
Trop conventionnel, trop sage et un peu trop larmoyant, "Conviction" a plus les allures d'un téléfilm à gros budget balisé pour nous faire pleurer... Mais il n'en reste pas moins très agréable à regarder, grâce notamment à son jeu d'acteurs particulièrement brillant.
Le Monde
Ne comptant que sur son histoire, le réalisateur ne fait pas attention à grand chose d'autre : ni à la construction tout en flash-back mal fichus, ni aux personnages secondaires, ni aux détails concrets, qu'ils soient matériels, historiques, ou simplement d'ambiance.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Seul le toujours excellent Sam Rockwell, dans le rôle du frangin white trash, bouscule un peu le ronron de ce (télé)film auquel ne manque que le débat façon "Dossiers de l'écran" sur les erreurs judiciaires.
Critikat.com
A vouloir se borner à narrer l'histoire telle qu'elle est réellement advenue, le cinéma oublie sa dimension métaphorique, sa propension à raconter plus que l'expérience humaine individuelle et sa capacité de conviction. Ironique pour un film qui en avait la prétention.