Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 20 mars 2011
Il faut reconnaître un grand travail d'orfèvre dans ça commence par la fin, une ambiance très précise, qui balance entre grand amour, hystérie, vie intérieure... Un rôle qui convient parfaitement à Emmanuelle Béart, une image et un montage complètement en phase avec l'histoire, mais, mais encore faut-il être touché par ce genre d'histoire
Poussant le drame hors de ses limites, ce film ressemble à un film trop personnel pour toucher le public. ll n'y a dans cette "passion" que tristesse et peine. A aucun moment les deux protagonistes ne semblent être heureux, rien ne fait ressentir un soupçon de plaisir à être ensemble. C'est sombre, limite obscène et sans grand intérêt ... la salle se vide au fur et à mesure et ce n'est pas étonnant, car au final on s'ennuie profondémment dans cette lente destruction qu'ils se sont programmés ... Seul note d'espoir, qui n'en est peut-être pas une pour eux, cette dernière phrase "ne me quitte plus jamais" ...
Un film romantique , très parisien, qui décrit les affres de la passion amoureuse.J'ai trouvé ce film pleins d'émotions , bien joué, mention spéciale à michael cohen, magnifique en amant torturé.Un bon film.
Ces deux là s'aiment, ça se voit, tellement que l'actrice principale en devient mauvaise, dénuée de toute émotion, se caricaturant elle-même à chaque prise de tête, de bec, réconciliation et scène de sexe. Elle est très belle la scène d'amour torride, c'est vrai, et oui, ils s'aiment. Mais qu'a voulu nous montrer ou démontrer Mikaël Cohen ? bon acteur au demeurant. Qu'il aime et trouve sa femme actrice très jolie, sexy, sensuelle, séductrice et complètement nympho ? qu'elle est un peu tout ça dans la vie.... personne n'en doute. Emmanuelle Béart a dit lors d'une interview qu'elle pensait que certains réalisateurs étaient venus la chercher pour de mauvaises raisons (faire la pute, la bonne, le fantasme de l'homme etc.) mais ce n'est pas dans ce film qu'elle prouvera qu'elle est capable de jouer autre chose que ce qu'elle représente. Dans ce film c'est elle, ou des gros morceaux en tous les cas, ils sont mignons mais quitte à s'auto congratuler amoureusement autant garder la vidéo pour soi et la remettre quand la libido se perd.... le spectateur n'en a que faire de leur histoire.
Je crois que c'est le genre de film que l'on aime ou que l'on aime pas. Il suffit de voir les critiques qu'il a reçues. Il est vrai qu'il contient des imperfections sur le plan de la mise en scène et de la réalisation mais globalement Michael Cohen et Emmanuelle Béart nous offre un spectacle d'assez bonne facture. Les amours tumultueuses ou tueuses, le tumulte de l'amour, la passion, la déchirure, l'Histoire d'Amour qui n'est jamais simple, qui peut torturer alors que l'histoire pourrait être la plus belle, même si pour certains c'est porteurs de clichés le film est assez bien construit autour de ces thèmes. Je n'ai pas été complètement emballé mais j'ai apprécié.
J'aurais pu noter un peu plus pour la réalisation en elle-même...pas de problème visiblement, Cohen peut refaire d'autres films, on voit qu'il est doué. (Ce qui est valable pour son jeu d'acteur aussi). Mais pour le reste, et bien que j'aime en principe les personnages torturés...on est dans le trop! Au lieu d'être juste écorchée vive...Béart à un rôle où l'on n'est pas loin de la dingue. (Ce qui du coup, ne la rend pas attachante). De plus, par moment, elle joue carrément mal. Bref, à un certain stade, on a juste envie de leur dire d'aller se faire soigner et d'arrêter de faire chier pour rien ! Il y a aussi une difficulté à suivre la chronologie des flash-backs : peu de repères, on se demande à chaque fois "Bon, on est quand là ?". Donc...on s'ennuie, on n'accroche pas, on ne s'identifie pas...
Jusqu'où peut pousser l'amour, entre ces deux êtres, tout aussi fêlés, l'un que l'autre ?! Cette histoire a, par contre, du mal à nous convaincre. De plus, Emmanuelle Béart me semble être mal choisie pour incarner une femme fatale, ne la trouvant pas très belle. Et le comble, à la fin, lorsque Gabrielle veut partir, une scène qui dure 10 secondes à l'écran, et pendant ce temps, le jour s'est levé ; il est très rapide !!
Un film étrange et déroutant. Un grand respect pour Michael Cohen, son auteur, qui a eu le courage de se mettre à l'écran avec son épouse dans la vraie vie, dans une histoire d'amour pas banale. J'ai du respect pour ces artistes qui osent ainsi créer des oeuvres intimes et sincères. Alors oui, le résultat m'a dérouté, il y a de très beaux moments, mais c'est très décousu, on va en avant, en arrière... difficile de se raccrocher à une histoire, c'est une succession de moments de passions et de désamour. Beaucoup de moments surprenants, passionnés, des acteurs filmés au plus près, des regards intenses, de la passion, mais au final... j'ai eu du mal à m'accrocher à ce film et à être ému.
La distance entre l'amour et la haine ne dépend que d'un pas.. Ce film nous raconte la complexité de l'amour à son extrême, la peur de l'amour et l'aliénation qu'il entraîne! J'ai aimé voir ce couple de merdeux compliqués, s'aimer à s'en user!
Quelle prétention que ce film écrit (quand je pense qu il y a un livre) réalisé (si on peut parler de réalisation) et interprété, avec un amateurisme que je n ai pas vu depuis un moment cette année, par le mari d'Emmanuelle Beart (égale à elle même)
La déconstruction du récit n a aucun sens et utilité !!
Les dialogues sont tellement ridicule que ca m a fait rire (je ne pense pas que c était l effet escompté) Le couple est fatiguant (comme emmanuelle en interview) de bêtise et on a de la peine pour eux si ca se passe de la même manière dans leur vie puisqu'apparament il y aurait un peu d auto-fiction !!
Bref passez votre chemin !! Quel naufrage, j ai perdu 1H30 de ma vie !!
un bon film à mater si vous êtes une apprentie cougar; il y a de l'amour, de la débauche et des scènes un peu limites; mr Cohen joue très profond et la Béart attend qu'on la "libère" (de son coeur en Hiver): "toi tu as froid mais moi je gèle!"
Narcissique, oui, pas super bien interprêté aussi, mais on reste dans le vrai et ce doit pas être super facile à jouer, reste le puzzle pas désagréable à mater, si ce n'est qu'il manque quelques scènes clés.
Pour apprécier ce film, je pense qu'il faut être sensible à l'importance du détail, au mince fil qui tient une émotion aussi forte que la passion amoureuse en équilibre entre deux personnes, et alors c'est passionnant justement. Sinon on ne verra pas pourquoi ils font tant de chichis, parce qu'on n'est pas nous-mêmes du genre à en faire dans la vie de tous les jours. Ce que je ne comprends pas bien, c'est pourquoi cette dernière catégorie de personnes s'entête toujours à aller voir des films censés justement filmer des "détails" pour révéler une vérité délicate à exprimer, pour ensuite dire qu'ils sont "lents" ou "ennuyeux" ou encore "intellectuels"... C'est toujours les mêmes critiques! Vous pensiez qu'il allait se passer quoi ? Pour ceux qui s'attendent juste à voir des filles à poil plus jeune comme l'exprime si délicatement MOST83 ou une nouvelle gue-guerre entre des américains gentils et des arabes (ou des russes ou ce que vous voulez) méchants ou un truc du genre, n'y allez pas évidemment! Comment vous choisissez vos films quand vous allez au ciné ? je ne comprends pas. bref A conseiller pour les gens qui se sentent capables de ressentir la force d'un échange entre deux personnes dans des non-dits ou des regards. Moi personnellement ça m'a bouleversé de pouvoir voir exprimés cinématographiquement des sentiments aussi intimes.
L'affiche résume bien le film : une enfilade de clichés. A chaque plan on se dit : il va pas oser. Ben si, il ose. En prime, des dialogues ridicules à en devenir drôles. Reste que c'est triste de regarder Emmanuelle Béart sans émotions.
emmanuelle !!!! comment peux tu te rabaisser a faire de tel navet avec le talent que tu as ce film est insipide,fatiguant et epuisant par sa lenteur,heureusement que l on ne se lasse pas de te regarder cela evite de sortir avant la fin du film.