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On est dans le présent de la passion, qui se dilate autant vers le passé proche que le futur improbable. (...) Un film acide, plus qu'acidulé, et courageux, à bien des égards.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ça commence par la fin n'est pas exempt de certains défauts (cadrages hasardeux, lumière pas toujours avantageuse) mais c'est un film viscéral qui vaut le détour. Une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Cette peinture du désordre amoureux touche par sa fragilité sensible, son impudeur délicate, l'élégance de sa mise en scène intimiste magnifiée par deux interprètes en parfaite symbiose.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Cette volonté de battre les cartes et les séquences en désordre risque de dérouter sérieusement le spectateur mais (...) ce film a quelque chose de profondément émouvant et troublant dans ses maladresses. Il y a passionnément du vrai là-dedans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Refrain connu, les histoires d'amour finissent mal en général. Confiez-en une à un couple d'acteurs, unis dans la vraie vie, Michaël Cohen et Emmanuelle Béart, et ils vous pondent une espèce de film catastrophe (...) où la passion amoureuse se transforme en une guerre des sexes bourrée de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Michaël Cohen (...) met en scène avec un peu trop de lourdeur cet amour impossible. (...) Le scénario, plus que de tourner en rond, est souvent assez maladroit. (...) Emmanuelle Béart, fragile, à vif, a beau tout donner, il lui est ardu de sauver le premier film de celui dont elle partage la vie.
On ne se réjouit pas de démolir cette " histoire d'amour dans le désordre ", où (ils) semblent jouer leur vie... Mais sa sincérité n'a d'égale que sa maladresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un homme et une femme se déchirent sous nos yeux. Soit. Mais quand l'écran se transforme en trou de serrure et met en scène une illustration du Kama-sutra pour peep-show de stars et une passion hystérique vociférante, le sentiment d'assister à un spectacle exclusivement destiné à ceux qui l'ont orchestré débouche sur un embarras sans nom.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
On est dans le présent de la passion, qui se dilate autant vers le passé proche que le futur improbable. (...) Un film acide, plus qu'acidulé, et courageux, à bien des égards.
Excessif
Ça commence par la fin n'est pas exempt de certains défauts (cadrages hasardeux, lumière pas toujours avantageuse) mais c'est un film viscéral qui vaut le détour. Une bonne surprise.
Télé 7 Jours
Cette peinture du désordre amoureux touche par sa fragilité sensible, son impudeur délicate, l'élégance de sa mise en scène intimiste magnifiée par deux interprètes en parfaite symbiose.
Le Parisien
Cette volonté de battre les cartes et les séquences en désordre risque de dérouter sérieusement le spectateur mais (...) ce film a quelque chose de profondément émouvant et troublant dans ses maladresses. Il y a passionnément du vrai là-dedans.
Brazil
(...)Et nous, spectateurs, tenus à distance d'une histoire vachement banale et sans saveur.
Le Figaroscope
Refrain connu, les histoires d'amour finissent mal en général. Confiez-en une à un couple d'acteurs, unis dans la vraie vie, Michaël Cohen et Emmanuelle Béart, et ils vous pondent une espèce de film catastrophe (...) où la passion amoureuse se transforme en une guerre des sexes bourrée de clichés.
Le Point
Voir le site du Point
Les Inrockuptibles
Michaël Cohen (...) met en scène avec un peu trop de lourdeur cet amour impossible. (...) Le scénario, plus que de tourner en rond, est souvent assez maladroit. (...) Emmanuelle Béart, fragile, à vif, a beau tout donner, il lui est ardu de sauver le premier film de celui dont elle partage la vie.
Ouest France
Malgré la vraie passion que le couple peut y mettre (...) on est plus agacé qu'ému et troublé par ce mélodrame emprisonné dans un formalisme extrême.
Télérama
On ne se réjouit pas de démolir cette " histoire d'amour dans le désordre ", où (ils) semblent jouer leur vie... Mais sa sincérité n'a d'égale que sa maladresse.
Cahiers du Cinéma
Trop chaud ? Non, trop nul.
Critikat.com
La liste est longue des choix les plus énervants dans ce premier film de l'acteur Michaël Cohen, adaptation de son éponyme premier roman.
Le Monde
Manque d'invention du scénario et de la mise en scène.
Positif
Même ceux qui admirent le talent d'Emmanuelle Béart (...) n'éprouveront devant ce fâcheux spectacle qu'ennui et gêne.
TéléCinéObs
Un homme et une femme se déchirent sous nos yeux. Soit. Mais quand l'écran se transforme en trou de serrure et met en scène une illustration du Kama-sutra pour peep-show de stars et une passion hystérique vociférante, le sentiment d'assister à un spectacle exclusivement destiné à ceux qui l'ont orchestré débouche sur un embarras sans nom.