Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Ykarpathakis157
4 693 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 26 mai 2020
Le seul terme cinématographique que ce réalisateur ait jamais appris était extreme close up. Son style de réalisation de films consiste à enfoncer un appareil photo (caméra ?) dans le visage de chaque acteurs dans chaque scènes. Donc tout ce que nous voyons (ou voyons à peine) ce sont des nez, des parties de leurs yeux, des cheveux, un menton et peut-être une oreille. Eduardo Sanchez qui a fait ce film donne l'air de rester immobile et de filmer au ralenti. Il aurait pu faire tout ce film dans un placard. Pas une seule fois je n'ai vu un plan large ou même un arrière-plan dans aucune des scènes. Juste des gros plans de visages et rien que des visages. Il y a presque quelques plans larges à quelques reprises, mais ensuite le réalisateur les a mis hors de vue pour nous montrer des mauvaises herbes, des arbres ou tout autre objet. De plus, quelqu'un sait-il à quoi ressemblaient les fantômes dans ce film ? Parce que je n'en ai aucune idée. Tout ce que j'ai vu était des gros plans extrêmement flous de quelque chose de chauve et blanc. C'est ça, enfin je pense, je suppose et je ne suis toujours pas sûr. À moins que vous n'aimiez être totalement confus et extrêmement irrité, évitez ce film à tout prix...
Mauvais, filmé dans la pénombre avec des plans rapides et qui ne cesse de bouger, si bien qu'on arrive à peine à suivre ce qu'il se passe. Les effets sont ridicule et peu crédible, le manque de budget se fait clairement ressentir. Seventh Moon n'a pratiquement aucun réel scénario, n'est pas effrayant et ne brille donc pas par ses effet de surprise. On attends passablement que les 1h30 se termine et ce n'est pas des plus simple.
Ça aurait pu être intéressant franchement, surtout pour un film qui tourne autour de la mythologie cantonaise, tant qu’on est dans le mystère c’est assez prenant et la réalisation volontairement dégueulasse (Eduardo Sanchez reprend des éléments du found footage pour un point de vue extérieur) apporte une certaine plus value en terme d’immersion. Mais tout ça ne tient pas la longueur, le procédé finit par saouler, on ne comprend quasiment plus rien de ce qui se passe à l’écran et l’histoire est au final basique et tombe disgracieusement dans quelque chose de palpable alors qu’elle était destinée à rester dans cet espèce de climat brumeux. Après je trouve ça bien de s’occuper concrètement de la peur du couple face aux phénomènes mais pourquoi tout montrer ensuite et enchainer les grossièretés ? C’est du gâchis.
En Chine, il paraît qu'à la pleine lune du septième mois du calendrier lunaire, il y a une porte de l'Enfer qui se déverrouille permettant ainsi aux morts de venir faire un petit coucou aux vivants. Comme ils ne sortent pas très souvent, ces revenants (principalement constitués en meutes de 5-6 types nus, chauves et adeptes des bains de cendres) ont un très bon appétit et croquent tout ce qu'ils rencontrent lors de leur virée nocturne annuelle. Forcément, quand leur route croise celle d'un jeune couple en pleine lune de miel et égaré dans la campagne chinoise, ça les fait fortement saliver, ces bougres...
"Seventh Moon" déballe une intrigue désespérément navrante et poussive ne comptant que sur la délocalisation en Chine et l'exotisme des mythes orientaux pour faire la différence. Il en ressort tout de même deux ou trois bonnes choses grâce à une utilisation judicieuse de l'imagerie locale (les habitants cloîtrés, la secte, le repère) mais ces rares instants s'effacent très vite dans une bouillie visuelle sans nom. En effet, Eduardo Sánchez (un des co-auteurs du "Projet Blair Witch") s'est inexplicablement donné pour but de réaliser son film comme un malade de Parkinson en phase terminale après avoir ingurgité une dizaine de thermos de café. "Seventh Moon" se présente principalement en plans resserrés au plus près des personnages filmés caméra à l'épaule, un chaos visuel comme on en a rarement vu et qui ferait passer n'importe quel found-footage existant pour un Scorsese. De plus, comme le film se déroule à 99% de nuit, ça n'aide vraiment pas à rendre cette crise d'épilepsie cinématographique sur pattes très lisible.
Vous vous demandiez pourquoi on n'entendait plus parler des réalisateurs du "Projet Blair Witch" (la carrière de Daniel Myrick n'est pas bien glorieuse non plus), cette purge de "Septième Lune" est sans doute une des meilleures réponses possibles.
"7éme lune" est filmé quasiment tout le temps dans une nuit noire, il est donc très difficile de distinguer quoi que ce soit et c'est bien dommage. Après, je trouve le scénario assez incohérent. Bref, je n'ai pas aimé. Pourtant, le début est prometteur mais ça s'écroule très vite, le manque de "visibilité" (trop de sombre, tue le sombre) est vraiment le plus gros défaut de ce film.
Septième lune : Ce film est juste horrible dans le sens négatif malheureusement. C’est un des pires films que j’ai vu car la lecture du film est juste insupportable puisque il subit le même sort que Alien vs Predator 2 c'est-à-dire que il est tellement sombre que on voit rien, on comprend des fois pas ce qui se passe, ça gâche tous. Mais Alien vs Predator avait une mise en scène visible alors que la, c’est un cauchemar, un montage épileptique avec des zooms dans tous les sens et une camera épaule avec des cadrages hasardeux, enfin c’est juste inadmissible et incompréhensible pour le spectateur, a un moment, j’ai même pu regarder les films car les images sert a rien, j’ai fait que écouté et j’ai quand même regarde jusqu'à la fin car je n’arrête jamais un film mais ce film ne vaut pas la peine. Et en plus des fois, le réalisateur floute les arrières plans ce qui rend encore plus compréhensible l’action, je ne comprends pas du tous le choix du réalisateur, en plus il fait nuit pendant tous le film, donc c’est peut être pour accentué cette peur mais quand on voit rien, faut s’abstenir, surtout que c’est le réalisateur du Project Blair Witch donc on s’attendait a mieux. Et c’est dommage car le film a une ambiance sonore incroyable et maitrisé. Et le scénario quoique déjà vu aurait pu faire froid dans le dos mais c’est gâché aussi par des héros assez énervant a suive, surtout la fille qui engeule tous le temps sont marié, c’est lourd. Bon après pour les acteurs, dur de jugé leur prestation, on voit rien. Donc voila, du potentiel mais ce n’est pas la peine de regarde le film, on voit rien.
Réalisé par l'auteur du Projet Blair Witch, Seventh Moon n'est pas le nanar tant décrié ici. Ce n'est sûrement pas un film de zombie mais de fantômes, il serait intéressant de juger un film sur ces qualités ou défauts intrinsèques et non pas sur des sentiments de déception dûs à des attentes particulières. Le film est rythmé et entre dans le vif du sujet rapidement. L'histoire est sans surprise, il n'y a pas de révélation, de twist qui auraient surchargés le métrage. Eduardo Sanchez se concentre sur sa réalisation, les effets, l'angoisse et la relation du couple. Le problème c'est qu'en effet c'est assez long dans la démonstration, parfois même ennuyeux. Et puis, à l'image du found footage tel son Projet Blair Witch, Sanchez s'amuse à garder les artifices de ce genre ( caméra en mouvement, tremblements, gros plans, vision subjective... ) tant est si bien que le film devient franchement désagréable par instants. Cependant percent quelques fois des scènes tendues très réussies ( les gros plans dans la voiture où le couple en crise se dispute : ils permettent une tension remarquable aidés par le manque d'espace ). Dans l'ensemble, ce Seventh Moon reste un film de genre assez maîtrisé mais qui navigue difficilement par la faute d'un choix esthétique très discutable. 3/5
Petit film d'horreur sans prétention et sans budget, ça a le mérite de nous faire passer le temps assez vite. Après, c'est dans la lignée des films nippons, bien noir et peuplé de goules propre à leur culture et à leur sensibilité accrue au paranormal donc c'est pas pour tout le monde.A part une interprétation théâtral propre au contexte, il n'y a pas grand chose d'autre à retirer si ce n'est bon film à ceux qui tiendront jusqu'à la fin qui remonte le niveau.
Ne vous fiez pas à la jaquette du dvd qui montre direct le monstre, le film est tout son opposé, et heureusement d'ailleurs. Comme dans le projet blaitr wich, le réalisateur joue avec les codes du genre pour créer l'angoisse: la nuit, la nature, ne pas tout montrer, laisser la peur s'installer (grace aux sons en particulier). L'ambiance est vraiment très réussie, le film se voit par moment inovant alors que le sujet est vu et revu. Le seul bémol (important) est que ce n'est pas toujours bien filmé (la caméra bouge sans cesse: ce qui fonctionne très bien pour les créatures mais devient insupportable quand il ne se passe rien). La VF est également un peu dérangeante. Bonne surprise tout de même aux vues des critiques.