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(...) le documentaire a des allures de cours magistral (...) la journaliste s'est désolidarisée de cette adaptation, invoquant des interviews trop rares et une narration trop présente qui ne souffre pas la contestation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La démonstration factuelle est efficace, parfois simpliste mais toujours didactique. On peut pourtant, à force d'images chocs, lui reprocher d'utiliser la même méthode, sans souffrir la contradiction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le problème est que peu de choses dans le documentaire nous permet de faire le lien entre ces crimes atroces et les propos de Milton Friedman (...) Les réalisateurs ont choisi de privilégier l'émotion à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le film vaut à peu près ce que valent les thèses de Naomi Klein qu'il illustre. (...) D'un autre côté, le film le montre à son corps défendant, grâce au caractère hétéroclite de ses images d'archives.
Une thèse intéressante quoique un rien complotiste. Mais le vrai problème est ailleurs : dans ce documentaire, elle est davantage assénée qu'argumentée. L'absence de contrepoints et d'interviews d'experts finit par peser sur le propos. S'informer, c'est pourtant aussi ça !
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Souffrant terriblement d'un manque de dialectique (aucun intellectuel s'opposant à la thèse de Klein n'est invité dans le film), ce documentaire ressemble plutôt à de la contre-propagande.
Le choc que provoque finalement ce film tient uniquement à la déception de voir un cinéaste habituellement plus exigeant se laisser aller à un exercice aussi peu rigoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On se prend même à regretter les derniers cours du soir de Michael Moore, qui étaient du moins striés de coups de gueule et d'éclats de rires. Winterbottom (...) gâche ainsi un sujet passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Point
voir lepoint.fr
L'Express
www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Un percutant dossier à charge contre un monde décrit comme la proie d'une économie cynique et meurtrière.
Libération
(...) le documentaire a des allures de cours magistral (...) la journaliste s'est désolidarisée de cette adaptation, invoquant des interviews trop rares et une narration trop présente qui ne souffre pas la contestation.
Première
La démonstration factuelle est efficace, parfois simpliste mais toujours didactique. On peut pourtant, à force d'images chocs, lui reprocher d'utiliser la même méthode, sans souffrir la contradiction.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live .
Télérama
Très clair sans être simpliste, ce documentaire est une invite pressante à la vigilance civile par temps de crise.
Brazil
Le problème est que peu de choses dans le documentaire nous permet de faire le lien entre ces crimes atroces et les propos de Milton Friedman (...) Les réalisateurs ont choisi de privilégier l'émotion à la réflexion.
Critikat.com
[...] leur empilement d'archives voué à l'apitoiement facile ne fait que brasser du vent sur le compte des sévices infligés au monde.
Les Inrockuptibles
Le film vaut à peu près ce que valent les thèses de Naomi Klein qu'il illustre. (...) D'un autre côté, le film le montre à son corps défendant, grâce au caractère hétéroclite de ses images d'archives.
TéléCinéObs
Une thèse intéressante quoique un rien complotiste. Mais le vrai problème est ailleurs : dans ce documentaire, elle est davantage assénée qu'argumentée. L'absence de contrepoints et d'interviews d'experts finit par peser sur le propos. S'informer, c'est pourtant aussi ça !
Cahiers du Cinéma
Souffrant terriblement d'un manque de dialectique (aucun intellectuel s'opposant à la thèse de Klein n'est invité dans le film), ce documentaire ressemble plutôt à de la contre-propagande.
Le Monde
Le choc que provoque finalement ce film tient uniquement à la déception de voir un cinéaste habituellement plus exigeant se laisser aller à un exercice aussi peu rigoureux.
Positif
On se prend même à regretter les derniers cours du soir de Michael Moore, qui étaient du moins striés de coups de gueule et d'éclats de rires. Winterbottom (...) gâche ainsi un sujet passionnant.