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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 mars 2010
Si vous voulez hurler de rire pendant 1 minute 30, allez-y : entendre Louise Bourgoin parler allemand avec un accent d'élève de 1ère seconde langue et affirmer qu'elle était connue comme étant une interprète plutôt bonne est un pur moment de bonheur. Par contre si vous voulez voir un bon polar avec un scénario béton, oubliez et économisez 9 Euros. C'est complètement foutraque, bancal et abracadabrant.
Bien que le casting soit pour le moins attractif, ce thriller enneigé réalisé par Christophe Blanc est rendu particulièrement décevant du fait de son intrigue qui, en plus d’être trop peu crédible, ne décolle jamais vraiment. A partir d’une situation de départ déjà mal galvaudée, un vendeur de voitures devant faire face à un groupe de truands, le scénario qui en découle n’est en effet qu’une longue suite d’évènements embrouillés et, pour la plupart, invraisemblables. Le spectateur se retrouve aussi vite dépassé par cet inextricable enchainement de situations impromptues que le personnage principal qu’incarne François Cluzet qui, même s’il reste l'élément le plus convaincant du film, nous avait habitués à des rôles de personnages bien plus attachants que celui-ci.
Thriller complètement raté. D'un le jeu d'acteur est ridicule car trop surjoué et trop théâtral, de deux le scénario n'est pas palpitant et on s'ennuie ferme ! Pas terrible pour un thriller censé être haletant et prenant ! de plus la fin est longue et pénible et franchement je n'ai pas aimé. c'est pourtant rare que je n'accroche pas avec les films de François Cluzet mais là non ! Trop c'est trop !
Difficile de noter un film pareil, en essayant de rester juste et impartiale. Je dirais qu'il est plutôt divertissant, que je ne me suis pas trop ennuyée, c'est un bon point. Pour le reste, il y a trop d'ellipses qui nuisent à la compréhension et à la fluidité du récit. L'exemple le plus flagrant est la partie qui se passe en Finlande, que je n'ai pas vu arriver, et il y en a plein comme ça, trop. Et puis, il y a toutes ces invraisemblances, pourquoi il ne prévient pas tout simplement les flics, mais sinon, pas de film, et j'ai trouvé la fin décevante, une sorte de moralité à l'américaine, sauf qu'on est en France, et qu'on pouvait faire autrement. Sinon, descendre ce film avec des arguments spécieux est injuste: Louise Bourgoin se débrouille bien en allemand, et je connais très bien cette langue.
Un bon polar doté d'un casting solide et d'une intrigue efficace, mais en partie gâché par une fin en happy end, qui semble fabriquée et expédié en temps trois mouvement ! Dommage...
Ce nouveau thriller commence de façon prometteuse avec une situation et des personnages intéressants, mais ne tient pas la distance en raison d'un scénario qui part en vrille. Les invraisemblances s'accumulent, les clichés poussent de partout et la belle Louise Bourgoin se voit réduite au rôle de potiche. Ces lacunes donnent bien des regrets car l'atmosphère prenante du film nous rappelle les meilleures réalisations de Sam Raimi.
le sydrome du film de genre a la française! complexé, compliqué et au final pas réaliste ! les acteurs font ce qu'il peuvent ! Dommage cepandant que Louise Bourgoin ai séché les cours de comédie! un film tout vilain qui prouve qu'en france les thrillers de qualité, c'est pas notre truc! en plus a la fin ça fait mal aux yeux a cause de la neige!
Un film très mou et déjà vu et re-vu.L'hsitoire est pas mal mais mal faites.Françaois Cluzet tient le film sur ses épaules mais n'emêche pas le naufrage.Une grosse surprise pour Louise Bourgoin excellente.La scène de la fin se veut à "La Nuit nous Appartient de J.Gray" mais en 100 fois moins bien.Aucun suspense.Décevant
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2,0
Publiée le 25 juillet 2010
Tout le drame de notre sociètè du paraître et de l'avoir selon Christophe Blanc, qui rèalise un film noir sur fond blanc (les paysages de Finlande du final) qui palpe l'angoisse et la tension d'un "monsieur tout le monde" (François Cluzet, parfait comme d'habitude), moins terrifiè par des mafieux armès que par l'idèe de tout perdre! Dommage que cette authenticitè n’a pas permit à ce "Blanc comme neige" de crèer de l’èmotion pour le spectateur ni même de l’attachement aux personnages notamment chez Louise Bourgoin, Olivier Gourmet (qui en fait des tonnes) et Jonathan Zaccaï (totalement sous-employè)! il aurait peut-être fallu approfondir l'histoire et effacer certaines incohèrences dans son montage pour pouvoir adhèrer à cette entreprise dont le final manque cruellement de saveur...
Un Cluzet, sorte de Candide de la concession automobile de luxe entrainé dans une histoire à laquelle il ne comprend rien, au mieux (après une baisse de forme, pour moi, dans "Le dernier pour la route") et un trio d'excellents Belges, heureux effet de la coproduction (Gourmet, Zaccaï, ses deux frères marginaux qu'il appelle à la rescousse pour son malheur, et Lanners, l'associé indélicat - trop tôt disparu dans l'intrigue) : quatre étoiles pour le casting, masculin (car Louise Bourgoin dans le rôle de l'épouse de Maxime/Cluzet est bien mauvaise). Christophe Blanc réalise, et il est aussi scénariste. Ce thriller est moyennement convaincant sur le plan de l'intrigue (une histoire assez alambiquée de mécomptes et problèmes divers avec des maffieux... finlandais), et la fin, d'ellipse en ellipse, carrément bâclée. Au bilan : deux étoiles seulement pour ce "Blanc comme neige" inégal.
Christophe Blanc a-t-il voulu faire un jeu de mots en attribuant son nom à une partie de ce titre ? Toujours est-il que l'on ne voit pas souvent ce réalisateur apparaître dans les longs métrages... Ce dernier était en gestation depuis longtemps, et pour un galop d'essai, je trouve que c'est plutôt une réussite. En tout cas j'ai passé un bon moment en regardant ce polar qui, s'il n'est pas digne d'un Simenon ou d'un Hitchcock, se laisse voir : bien meilleur que certains films américains en tout cas malgré quelques invraisemblances. Je me demande même pourquoi il fait une certaine unanimité contre lui (125 000 spectateurs en salles) alors que je l'ai trouvé captivant avec certains moments de suspense bien recréés. La fin est à mon sens un grand moment d'angoisse. Le point faible du film, c'est sa distribution :François Cluzet porte quasiment seul le film sur les épaules, un peu aidé par Louise Bourgoin, quant au reste des protagonistes, il n'est guère convaincant... Espérons que Christophe Blanc ne se démotivera pas. willycopresto