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soniadidierkmurgia
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3,5
Publiée le 21 septembre 2012
Un thriller de bonne tenue mettant une fois de plus en scène un François Cluzet qui n'a pas son pareil pour incarner les hommes sous tension . C'est incroyable comment se dégage de cet acteur longtemps sous-employé, une nervosité qui finit par se transmettre au spectateur. Idem pour la jalousie qui est sans arrêt sous la surface de son jeu enfiévré. Les metteurs en scène ne s'y sont pas trompés qui offrent souvent à Cluzet des rôles jouant sur cee même registre . L'acteur sans doute bien conscient de cet état de fait tente quelquefois d'élargir le spectre de ses emplois, notamment en se risquant à la comédie où ses prestations n'ont pas le même retentissement. Ici dans un thriller un peu tiré par les cheveux au niveau de la vraisemblance il donne à nouveau le meilleur de lui-même. Il est toutefois fort bien secondé par les Bouli Lanners, Lise Bourgoin et Olivier Gourmet tous excellents. Divertissant.
Un thriller vu et revu, pas original pour un sou. Conjugué au classicisme de la mise en scène, et à un manque d'intensité flagrant, on peut vite tomber dans l'ennui. Malgré une réalisation rythmée, et un scénario intéressant, difficile de rentrer complètement dans l'histoire, qui ne tient pas complètement la distance en dépit des quelques rebondissements.
Un film noir français. Un scénario assez simple avec tout de même une bonne dose de suspense et une mise en scène que je trouve plutôt correct (surtout la fin les scènes en Finlande). Casting de qualité.
Je dois avouer que je m'attendais à mieux en voyant la bande annonce. Les acteurs sont surement le point fort de ce film, mais pour le reste, mon avis est partage. Le scénario est intéressant, mais il manque des petites choses et je dois avouer que j'ai trouvé le temps long. A vous de voir !
Le thriller est plutôt efficace avec une ambiance assez plaisante. Le spectateur est pris dans l’engrenage. Malheureusement, le scénario fait preuves d’incohérences assez fâcheuses. On notera que os trois frères savent très bien tirer au pistolet ou au fusil même en courant et ne ratent évidemment pas leurs cibles. On peut le comprendre pour le personnage joué par Olivier Gourmet qui à fait de la prison mais pour les autres cela reste un mystère, de plus deux des frères se bagarrent et se donnent des coups de poings, cette scène n’est pas rendue réaliste car les deux saignent d’égratignures sur le visage. Bref il y a plein de petits points au niveau du scénario et de la mise en scène assez déroutants. Concernant les acteurs ont est très heureux de trouver cette bande d’acteurs très sympathiques, Cluzet est toujours un aussi merveilleux acteur. « Blanc comme neige » ne transmet pas suffisamment d’émotions heureusement que l’action n’est pas trop décevante. Pour finir en parlant de la musique, celle-ci est assez pompeuse notamment lorsque Maxime retourne dans le bureau après l’enterrement de Simon. « Blanc Comme neige » est sympa mais finalement très décevant car ne comble pas les attentes.
Blanc comme neige : un polar au scénario boiteux ou tiré par les cheveux. Magnifiquement interprété, ce film tendu qui part bien souffre pour finir, car sa seconde partie est bancale et manque de cohérence.
Titre semble t-il poétique, avec une référence cachée avec le nom du réalisateur ? Mais film semble t-il pas très novateur dans le thriller et le drame, dans un thème qu'on a revu mille fois, la poursuite du gentil gérant d'affaires contre les vilains escrocs aux sales gueules, surveillé de loin par sa fiancée en pleurs. Blanc Comme Neige ressemble à un vulgaire téléfilm style les Experts, un polar pas très actif, à la réalisation médiocre et au scénario que l'auteur n'a pas à l'avance jeté à la poubelle car il aurait pu se rendre compte qu'il ne marquerait personne et serait aussi discret d'un client dans un magasin : remarqué au début, puis oublié en vitesse. Cerné au moins par de bons acteurs habitués aux polars ( jusque là ils avaient joué dans mieux ) dont Cluzet, mais leur jeu reste brouillon, parfois disproportionné par rapport à certaines situations. En revanche le film garde un aspect vicieux, tendu, mais ce ressentiment est présent dans la plupart de ses frères jumeaux. Donc, plus Blanc Comme Neige, mais Blanc comme le Silence, vierge de tout bruit, c'est-à-dire des aplaudissements et de compliments au réalisateur à la fin de la séance.
En voyant la bande-annonce de "Blanc comme Neige" on pense tout de suite à un bon vieux thriller à la française mettant un homme sans problème dans une situation ingérable, cet homme c’est le talentueux François Cluzet. Mais là Christophe Blanc met en scène un film très décevant, le scénario n’est pas crédible un instant surtout dans le fait que la police ne soit jamais prévenue à aucuns instants c’est complètement invraisemblable. Ajouté à cela François Cluzet qui livre ici une prestation beaucoup trop limite sans parler du reste du casting franchement pas bon. A éviter même pour les inconditionnels de François Cluzet.
On avait quitté Louise Bourgoin toute blonde dans "La fille de Monaco". La voilà qui revient en brune dans ce film noir de Christophe Blanc. Oui, beaucoup de rouge sang dans ce bon thriller français avec le toujours excellent François Cluzet. Le spectateur est ainsi loin d'être vert de rage et en aucun cas marron. Le réalisateur montre ici qu'il est tout sauf un bleu avec cette histoire qui se passe non à Bordeaux mais du côté de Marseille où l'on n'est jamais contre un petit jaune. Même si tout n'est pas rose dans "Blanc comme neige", j'ai donc plutôt apprécié ce moment qui m'a redonné quelques couleurs.
Mauvaise surprise ! Avec un scénario si peu crédible pour un film qui sort au cinéma , Blanc comme neige tombe dans la dépendance d'un téléfilm du dimanche . De plus , le film tend vers le polar bien français , seulement sans la présence de la police mais avec la mafia russe , comme si les préjugés étaient toujours là. Malgré , François Cluzet qui ne peut rien faire pour pas faire chuter le film dans les bas fonds du cinéma français , il faut s'attarder sur Louise Bourgeoin totalement mauvaise dans son rôle . En plus , ça se permet de parler anglais avec un accent bien français . Et puis , la fin , c'est le top banal , rien à dire ce film reste comme un film français très décevant , pire que ça.
Un petit film qui débute bien, avec un casting réussi, mais qui s'enfonce dans un scénario rocambolesque et peu crédible. Dommage car on aurait pu espérer mieux. Concernant la fin, celle ci est bâclée et inconsistante.
Un thriller français un peu simple mais tenu par des acteurs en forme. Blanc comme neige reste un peu trop sage et ne va pas plus loin que le déjà vu du genre. Cluzet porte peut être le film sur lui mais le « happy end » un peu bébête enlève la crédibilité du film. Dommage pour un film français qui s’annoncé capable et intelligent.
Pour son retour Christophe Blanc signe un retour assez percutant avec un thriller respectueux de son genre, où évolue un casting trois étoiles porté par François Cluzet, celui que l’on ne conteste. Difficile alors d’aller crier sur tous les toits que Blanc comme neige est raté. De toute façon, ce n’est pas le cas, donc autant y aller.
Un négociant en automobile de luxe et entraîné, par la faute de son associé, dans un rodéo mené par des malfrats finlandais. Le début et la fin sont intéressants. Blanc sait créer l’ambiguïté, et l’inquiétude. Quelques scènes du film peuvent recevoir un satisfecit, et le jeu des acteurs secondaires est excellent. François Cluzet et ses frères, eux, en font trop. La critique doit d’abord être adressée au scénario du corps de l’œuvre, confus, ce qui n’est pas la même chose qu’ambigu. On peine à en suivre les méandres, des incohérences apparaissent, et d’étranges ellipses créent l’étonnement (par exemple, on réalise après coup qu’on doit être en Finlande pour le dernier quart de film). Par ailleurs, le rythme est décalé par rapport aux nécessités de l’action. En fait, si l’on comprend ce que l’auteur a voulu faire, on voit aussi qu’il n’y parvient pas, que ce soit dans l‘utilisation de la symbolique neige-pureté, de l’opposition Provence exubérante / Finlande glacée, ou dans la présentation d’un personnage orgueilleux voulant tout maîtriser, et affublé d’une fratrie incompétente. Il se crée donc une distanciation, qui conduit à perdre progressivement tout intérêt pour ce qui est montré. Comme souvent, il y a ici les ingrédients d’un bon polar (et encore, pas tous), mais la mayonnaise ne prend pas.