Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,0
Publiée le 27 novembre 2010
L'idée de base est plus qu'excellente. On s'attend à un Truman Show ou un thank you for smoking. Et en fait plus le film avance et plus on s'attarde sur les soucis des personnages principaux. Pas très politiquement incorrect tout ça... Donc ça commence bien mais ça n'attaque pas grand chose. Avec un sujet comme ça, ça aurait dû! Les comédiens sont bons mais partir presque en comédie romantique vers la fin, ça gache tout! Malgré un bon moment, avec un sujet aussi explosif, c'est une grosse déception!!
Film plaisant, bonne idée de départ, un peu à la Truman Show ou quand la réalité est faite d’acteurs et d’un décor en carton-pâte, le tout dans un monde utopique. Malheureusement un peu brouillon, certaines scènes restent en vrac, comme si elles n’étaient pas terminées. Peut être ont-ils prévu de faire un 2ème volet avec la suite…
Vraiment accrochant, voir ainsi les derives de la societe de consommation, les problemes que la sur consommation peuvent entrainer et surtout un jeu d'acteur aussi bon c'est vraiment un pur regale pour les yeux mais surtout pour l'esprit
Un film sur un sujet peu commun mais qui semble prendre petit à petit de l’ampleur (au point d’intéresser Hollywood, c'est dire), à savoir le marketing furtif! Intriguant mais aussi effrayant de voir à quel point les marques sont prêtes à aller pour vendre leur produit...
Un petit film sans trop de surprise mais qui traite d'un sujet intéressant avec beaucoup de finesse. De plus, voir David Duchovny et Demi Moore est un vrai plaisir, cela faisait longtemps!
Et si on appliquait l'expression "Keeping up with the Joneses" à la publicité ? Qu'est ce que ça donnerait ? Voilà un film au scénario original, bien joué, et fort provoquant. Deux thèmes forts: le mensonge, et l'apparence. Belle réalisation qui ne cède pas à la mode du film Parkinson (tremblant dans tous les sens). J'ai été captivité par le film, au point que je me suis demandé si c'était inspiré d'une histoire vrai (oui, je suis idiot parfois, je sais...). Seul regrets: les dix dernières minutes sont peu crédibles ("The offer still stands" !? Après tout ce qui s'est passé ?). Je pense que la fin manque de réalisme. On pourrait aussi penser que Steve est bien détaché pour un vendeur hors pair. Dans l'ensemble, un film très appréciable !
"The Joneses" raconte comment une fausse famille vend du rêve à son voisinage afin de l'amener à consommer au maximum jusqu'à le pousser, malgré elle, aux plus graves dérives. A part l'étalage de marques à l'écran qui leur fera d'ailleurs une excellente publicité, le film n'est pas incontournable; un agréable divertissement - plein de clichés - tout au plus. Fan de "Californication", on ne boudera cependant pas le plaisir de revoir (enfin!) David Duchovny au cinéma.
Toujours plus loin dans la société de consommation ! Ce film montre à quel point le modèle de consommation à tout va peut engendrer comme dégâts. Bien sûr, c'est poussé à l'extrême. Mais cela semble tellement vraisemblable que ça en fait froid dans le dos. On ne voit pas finalement la comédie vendue par la bande annonce. Outre la société de consommation, le film égratigne également la banlieue aisée américaine, la famille, les voisins et la prétention de savoir "qui a la plus grosse". Les acteurs jouent juste. Dommage pour certaines scènes ou les plans sont comme filmés à l'épaule et gâchent un peu l'esthétique (simple).
Demi Moore et David Duchovny nous emmènent dans un univers de consommation cynique ... une comédie grincante sur la société et les " modes" qui entrainent des dérives .. une belle surprise
Cette histoire de faux couple qui pour une société de vente, dont on ne connaît rien, est payé pour vendre du rêve ne vous attire pas.D'une grande mollesse l'histoire s'étire sans grande surprise et même la scéné finale où duchnovny révèle réalité vous laisse sur votre faim, pour laisser ensuite le héros vers sa destinée.Un grand "mouai..." Un peu mou.