Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
"Last Night" est un bonbon acidulé, plus qu'une dragée au poivre. On le regarde avec d'autant plus de plaisir que l'auteur ne juge ni ne charge jamais ses personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La réalisatrice novice Massy Tadjedin (...) esquive les lourds écueils moralisateurs auxquels prédisposait son pitch et signe un suspense conjugal plutôt élégamment affecté et d'une terrible justesse, où chaque non-dit résonne comme un coup de poignard.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
C'est sans doute ce qui plombe le projet dès le départ : l'évidence de ses situations, de ses personnages et de ses décors reconstitués de bourgeoisie américaine urbaine, l'évidence d'un récit minimal qui cache derrière un impressionnisme aérien une grande superficialité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Last Night" étire, sur plus d'une heure et demie, les atermoiements d'un quatuor suréclairé de beautiful people (...) sur l'opportunité morale d'avoir des relations en dehors des liens sacrés du mariage. Du plus haut comique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
(...) délicieuse comédie romantique new-yorkaise qui se joue à quatre bouches et huit yeux.
Le Parisien
(...) un long-métrage assez maîtrisé, un brin théâtral et surtout étonnamment sérieux.
Metro
Cette comédie romantique tendue nous met face à notre propre capacité de résistance.
La Croix
(...) cette comédie sentimentale, joliment mise en scène, finit par paraître bavarde.
Le Figaroscope
On évolue alors dans une forme de désenchantement assumé, de douce mélancolie proche des "Two lovers" de James Gray.
Le Monde
"Last Night" est un bonbon acidulé, plus qu'une dragée au poivre. On le regarde avec d'autant plus de plaisir que l'auteur ne juge ni ne charge jamais ses personnages (...).
Ouest France
Keira Knightley et Guillaume Canet dégagent de bout en bout, jusque dans un final abrupt et ouvert, le charme délicat d'une prestation chaleureuse.
Première
La mise en scène est certes langoureuse et soignée, mais le scénario s'intéresse trop aux fêlures les plus banales des héros (...).
TéléCinéObs
La réalisatrice novice Massy Tadjedin (...) esquive les lourds écueils moralisateurs auxquels prédisposait son pitch et signe un suspense conjugal plutôt élégamment affecté et d'une terrible justesse, où chaque non-dit résonne comme un coup de poignard.
Critikat.com
C'est sans doute ce qui plombe le projet dès le départ : l'évidence de ses situations, de ses personnages et de ses décors reconstitués de bourgeoisie américaine urbaine, l'évidence d'un récit minimal qui cache derrière un impressionnisme aérien une grande superficialité.
Excessif
Keira Knightley joue à "Qui trompe Qui" dans un film ludique manquant singulièrement d'audace. Reste alors le charme des comédiens.
Filmsactu
Le film patauge dans le sirupeux comme un enfant dans la gadoue.
Le Journal du Dimanche
(...) mélo romantique et sirupeux (...).
Libération
"Last Night" étire, sur plus d'une heure et demie, les atermoiements d'un quatuor suréclairé de beautiful people (...) sur l'opportunité morale d'avoir des relations en dehors des liens sacrés du mariage. Du plus haut comique.
Positif
Le seul intérêt du film demeure Sam Worthington, qui a abandonné ses rôles virils pour créer une interprétation empruntée.
Studio Ciné Live
voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
Télérama
Du grand n'importe quoi, filmé comme une pub.