AlloCiné
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Le scénario de ce film a été écrit par un garçon de 11 ans qui a trop regardé la télé et pas fait assez de devoirs de français. Ca n'a depuis le début ni queue ni tête. Il n'y a rien à comprendre, rien à suivre, rien d'intéressant. Tous les personnages sont des caricatures de souvenirs de séries télé ratées. On se moque totalement de ce qui va arriver à qui et pourquoi. Il y a toutes les répliques emblématiques qu'il doit y avoir dans un film d'action de troisième zone, mais pas d'action.
Le héros est joli garçon et idiot, l'héroïne moche et pas futée. Ils font un couple improbable.
Le mieux à regarder, c'est quand même les deux trois avions russes qui servent vaguement de prétexte on ne sait pas trop à quoi en fait. Mais pour le même prix on peut les voir en vrai dans un salon aéronautique, surtout qu'ils ne sont pas très récents.
Je me demande combien de vrai argent a été gaspillé dans ce vrai navet.
Le héros est joli garçon et idiot, l'héroïne moche et pas futée. Ils font un couple improbable.
Le mieux à regarder, c'est quand même les deux trois avions russes qui servent vaguement de prétexte on ne sait pas trop à quoi en fait. Mais pour le même prix on peut les voir en vrai dans un salon aéronautique, surtout qu'ils ne sont pas très récents.
Je me demande combien de vrai argent a été gaspillé dans ce vrai navet.
Un film aux air de TOp Gun, sans grand intêrét et ennuyant avec un scénario confus. Quelques scènes valent le détour, mais ne parvient pas à faire décoller le film. Par ailleurs on retiendra surtout les aspects un trop kistch et patriotique. Bref sans intérêts...
HamsterPsycho
Scénario à rallonge, gros bras américains et dialogues pathétiques. La seule chose à remarquer, c'est que pour une production américaine, ils n'hésitent pourtant pas à utiliser beaucoup d'avions russes. A part ça, Mario Van Peebles n'améliore pas sa côte.
Malheureusement, mes craintes sont avérées : Red Sky est bien un sous Top Gun. Pourtant, tout le blabla géopolitique mobilisant quatre-vingt pour cent du film n'est pas désagréable. Il y a des Américains, des Russes, des Irakiens, des Syriens. Ça fait un peu sourire car les deux premiers vont travailler main dans la main et se prêter des avions. C'est là où le bat blesse. Les séquences aériennes ne sont que de la récup' ou des effets spéciaux. Pourtant, le film a coûté fort cher. Il est ambitieux. C'est peut-être ça le problème. Tournage en Russie. Multitude de personnages. Présence de Bill Pullman. Contexte politique compliqué. Si en plus, tu rajoutes un traître au sein du gouvernement américain, un des anciens pilotes ayant retourné sa veste, une histoire d'amour entre l'ex du pilote renégat et le héros. Ça tourne vite à l'imbroglio. Moi, à la base, j'étais venu pour les combats avec les avions et, si on excepte les vingt dernières minutes, il n'y a rien à part les magouilles du traître. Je ne suis pas sûr que Mario Van Peebles dans la peau du traître et de celle du réalisateur est un argument suffisant.
Top gun peut dormir sur ses deux ailes.Ce film ne décolle jamais avec des acteurs en mode automatique et une histoire à dormir debout.Mieux vaut rester sur le tarmac.
Ce film est tiré de l'ouvrage (roman?) d'un ex-pilote de chasse américain et cela donne à l'écran un long-métrage qui fleure bon les films d'action qui ont fait florès dans les années 80 à la suite de la sortie de “Rambo”. Du coup on se retrouve avec une bande d'ex-pilotes ignominieusement virés de l'Air Force suite à une bavure dont ils ne sont pas responsables et qui se voient offrir la chance de nettoyer leur ardoise en effectuant une mission secrète en Iran. Sur cette trame qui déguise mal un patriotisme version année 80, le film tresse une intrigue risible ou se mélange industrie pétrolière, militaires, espionnage, rébellion kurde et armes de destruction massive... Bref un tutti-fruti ou le grotesque le dispute au surréaliste (comme ce général russe qui autorise des pilotes américains à emprunter des avions Soukhoï)... Les personnages, des merveilles de caricature : le méchant est très méchant et fourbe, les gentils sont très beaux et très courageux et le représentant ès duplicité qui trahit ses amis, retrouve à la fin son honneur dans un grand élan sacrificiel... Je vous l'ai dit une trame digne d'un téléfilm de 1980! L'histoire ne soutient évidemment pas la critique tant l'ensemble défit toute prétention à la cohérence et à la vraisemblance. Un film d'action daté réalisé par Mario Van Peebles acteur passable qui se révèle un réalisateur du même acabit. Un long-métrage à l'image moche, au scénario ridicule, aux acteurs pas vraiment au top et qui au bout du compte n'arrive même pas à nous sauver de l'ennui. Plus que dispensable, à fuir !
NeoLain
Top Gun est-il en perte de vol ? non c'est une question fausse ça. Pas de panique, surtout en rentrant dans le cockpit de Red Sky. Que des paroles et des paroles sans que rien se passe. Quoi ! même pas des combats aériens ? si à la fin. Tout bien hideux en image de synthèse flagrant... Et Rachael Leigh Cook qui se perd là-dedans...
Un film d'action franchement mauvais, qui ne passionne jamais, dont les situations censées être humoristiques ne font pas rire et bourrés de clichés. Un contenu faible, sans envergure et un scénario assez ridicule !!
Yannickcinéphile
Bon, Red Sky est plutôt une bonne surprise, mais franchement le scénario est tout de même sacrément brouillon, ce qui est regrettable compte tenu d’une histoire au fond simple.
Coté casting on se retrouve avec une pléiade d’acteurs que l’on a déjà tous vu quelque part sans forcément savoir où. En dehors d’un Pullman bien connu quand même et ici dans un second rôle qui lui sied bien, les autres ne sont pas des acteurs bien connus, mais qui font le travail. Plutôt équilibré, le casting propose des pilotes incarnés par de jeunes acteurs séduisants mais trop interchangeables, avec des personnalités très proches et manquant un soupçon de relief, et une Rachael Leigh Cook qui s’en tire bien, même si dans la seconde partie du film elle se fait voler la vedette par une Miss Russe des plus charmantes. A noter que Van Peebles joue aussi dans le film, et s’en tire bien.
Le scénario est très brouillon. Le film commence d’ailleurs très mal avec une narration haché et disparate, accumulant les lieux, les personnages, les situations de manière peu clair. Heureusement il se rattrape dans le milieu du film, avant de retomber dans un grand bazar. Au final tout n’est pas très compréhensible, et le film semble avoir souffert de coupures intempestives qui donnent du coup des ellipses béantes à de mauvais moments. C’est le principal défaut de Red Sky, et c’est dommage car le film en lui-même cherche à être plus travaillé que la moyenne, échappant au simple métrage d’action bourrin que l’on pouvait craindre, pour offrir quelque chose de plus recherché. A noter que le rythme reste plaisant.
Visuellement Red Sky parvient à masquer assez bien la faiblesse de son budget pour le genre dont il relève. Si la mise en scène de Van Peebles y participe, entre autre à l’occasion de quelques scènes d’action très réussies (celles au sol surtout, les combats aériens restent brouillons), il faut surtout remarquer le travail remarquable sur les décors. Le film se passe ainsi en partie en Russie, et en effet c’est clairement tourné à Saint Pétersbourg. Il y a une volonté d’authenticité générale dans le métrage qui fait plaisir, et change de la superficialité de certaines réalisations récentes, et par exemple, en Russie, Die Hard 5 qui n’exploitait pas du tout ses décors. La photographie est de fait au diapason, et refuse l’artificialité des couleurs et des éclairages que l’on retrouve si souvent dans les séries B de ce type. Quant aux effets spéciaux, ils sont utilisaient avec modération, et Van Peebles, par une mise en scène alerte, intelligente quoique parfois maladroite, parvient très bien à intégrer les passages dans lesquels ils apparaissent, en ne leur donnant pas trop d’importance et en les glissant rapidement entre des plans normaux. La bande son est assez neutre, peut-être pouvions nous légitimement espérer quelque chose de plus incisif.
En somme Red Sky reste un métrage sympathique, mais c’est vrai qu’on regrettera son histoire maladroitement menée. Ca se laisse voir avec plaisir, car on sent quand même un film généreux, sympathique, qui ne se moque pas de ses spectateurs en cherchant à avoir plus d’ambition que ses concurrents. Plaisant, et 3.
Coté casting on se retrouve avec une pléiade d’acteurs que l’on a déjà tous vu quelque part sans forcément savoir où. En dehors d’un Pullman bien connu quand même et ici dans un second rôle qui lui sied bien, les autres ne sont pas des acteurs bien connus, mais qui font le travail. Plutôt équilibré, le casting propose des pilotes incarnés par de jeunes acteurs séduisants mais trop interchangeables, avec des personnalités très proches et manquant un soupçon de relief, et une Rachael Leigh Cook qui s’en tire bien, même si dans la seconde partie du film elle se fait voler la vedette par une Miss Russe des plus charmantes. A noter que Van Peebles joue aussi dans le film, et s’en tire bien.
Le scénario est très brouillon. Le film commence d’ailleurs très mal avec une narration haché et disparate, accumulant les lieux, les personnages, les situations de manière peu clair. Heureusement il se rattrape dans le milieu du film, avant de retomber dans un grand bazar. Au final tout n’est pas très compréhensible, et le film semble avoir souffert de coupures intempestives qui donnent du coup des ellipses béantes à de mauvais moments. C’est le principal défaut de Red Sky, et c’est dommage car le film en lui-même cherche à être plus travaillé que la moyenne, échappant au simple métrage d’action bourrin que l’on pouvait craindre, pour offrir quelque chose de plus recherché. A noter que le rythme reste plaisant.
Visuellement Red Sky parvient à masquer assez bien la faiblesse de son budget pour le genre dont il relève. Si la mise en scène de Van Peebles y participe, entre autre à l’occasion de quelques scènes d’action très réussies (celles au sol surtout, les combats aériens restent brouillons), il faut surtout remarquer le travail remarquable sur les décors. Le film se passe ainsi en partie en Russie, et en effet c’est clairement tourné à Saint Pétersbourg. Il y a une volonté d’authenticité générale dans le métrage qui fait plaisir, et change de la superficialité de certaines réalisations récentes, et par exemple, en Russie, Die Hard 5 qui n’exploitait pas du tout ses décors. La photographie est de fait au diapason, et refuse l’artificialité des couleurs et des éclairages que l’on retrouve si souvent dans les séries B de ce type. Quant aux effets spéciaux, ils sont utilisaient avec modération, et Van Peebles, par une mise en scène alerte, intelligente quoique parfois maladroite, parvient très bien à intégrer les passages dans lesquels ils apparaissent, en ne leur donnant pas trop d’importance et en les glissant rapidement entre des plans normaux. La bande son est assez neutre, peut-être pouvions nous légitimement espérer quelque chose de plus incisif.
En somme Red Sky reste un métrage sympathique, mais c’est vrai qu’on regrettera son histoire maladroitement menée. Ca se laisse voir avec plaisir, car on sent quand même un film généreux, sympathique, qui ne se moque pas de ses spectateurs en cherchant à avoir plus d’ambition que ses concurrents. Plaisant, et 3.
J'ai bien apprécié ce film surtout pour ses combats aériens. L'histoire est pas mal non plus, bien que j'avais peur de regarder du déjà vu, mais non. Mario Van Peebles est passé, cette fois ci derrière la caméra et cela nous donne quelque chose de pas mal, qui se regarde aisément.
Se laisse regarder,pour les amateurs de Top Gun,pas mal
Vous voulez de mauvais acteurs, des dialogues pour teenagers attardés, une histoire de merde, des images de synthèse dégueux pour les combats aériens, des mecs qui bougent comme si ils étaient pas sanglé dans un AVION A RÉACTION, un top-gun plus nul et invraisemblable que l'original ? Si, si, on bat un missile en redressant très violemment et en gueulant de joie en prenant 10g minimum dans le bide, si, si ! Alors regarder le ! Un flingue chargé sur l'accoudoir...
FaRem
Même si l'histoire concerne des pilotes Red Sky n'est pas vraiment un film d'aviation du moins il ne propose que très peu de scènes aériennes surtout vers la fin et surement à cause d'un manque de budget (pourtant 25 millions...) car celles proposées sont surtout des scènes en images de synthèse ou alors des plans resserrés du cockpit donc rien de bien palpitant.
Le scénario est assez classique c'est l'histoire de 4 pilotes licenciés pour faute grave après avoir fait feu par erreur sur des soldats de leur propre camp ils vont se rendre compte 7 ans plus tard de la machination et de la traîtrise d'un des leurs.
C'est donc un film sans grand ambition qui peut se laisser voir mais vraiment sans plus.
Le scénario est assez classique c'est l'histoire de 4 pilotes licenciés pour faute grave après avoir fait feu par erreur sur des soldats de leur propre camp ils vont se rendre compte 7 ans plus tard de la machination et de la traîtrise d'un des leurs.
C'est donc un film sans grand ambition qui peut se laisser voir mais vraiment sans plus.
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