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    Ma vie avec Liberace
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2014
    Prenez 2 acteurs virils, maquillez-les, déguisez-les en "princesse", arrosez-les de quelques paillettes, donnez leur un brin de folie et d'humour et beaucoup d'excentricités. . . Vous obtiendrez un couple excentrique dans un biopic bien réussi
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 novembre 2013
    Excellent film porté par un casting de tonnerre. Douglas et Damon sont juste énormes, ça doit pas être facile de jouer avec son image comme ça et ça fait plaisir de revoir des acteurs oubliés des 80' (Rob Lowe, Paul Reiser, Bakula et Aykroyd). Connaissais pas le rôle titre mais Douglas en fait une composition majeure que j'aurais bien vu concourrir aux oscars .. dommage que le film ne soit qu'un téléfilm ... jugé trop gay .. toujours aussi doué ces ricains pfffffffffffffffff. Grandiose.
    americano76
    americano76

    3 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 septembre 2013
    Très bon film avec une histoire forte et prenante et une interprétation fantastique de Matt Damon et de Michael Douglas. Dans cette belle histoire d'amour, on s'amuse, on s'aime, on se déchire mais petit à petit les années passent..........
    Très bonne vision sur la vie et la mort d'un amour quel qu'il soit.
    msxfr
    msxfr

    163 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2013
    Je suis allé voir ce film au départ plus par l'envie de voir Michael Douglas dans son dernier rôle. Je ressort enchanté par ce grand film et l’histoire de la vie pervertisseuse de Liberace. Les acteurs sont fantastique les lieux authentiques ainsi que les costumes nous emmènent dans une période de l' amérique "folle".
    Steven Soderbergh a fait un grand film dommage que les spectateurs ne soient pas aux rendez-vous Le film ne s’arrête pas à une affiche avec deux hommes. Un grand film à voir.
    fredericluc
    fredericluc

    78 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2020
    Deux acteurs formidables en contre emploi absolu, un éclairage très fidèle sur les célébrités et premiers millionaires du Las Vegas des années 70... Une belle photographie, des répliques cinglantes, bcp d'humour et de 2nd degré. Le kitsch devient ici délicieux. Soderbergh signe un de ses 3 meilleurs films, loin de son domaine de prédilection !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 septembre 2013
    Matt D et Mickael D sont excellents !!!!
    Une bien belle histoire émouvante drôle triste sincère et réelle a la fois. L'exubérance des décors des costumes ne gâche en rien la beauté de ce film. Bravo
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Je ne connaissais pas le personnage de Liberace qui semble surtout faire partie de l'histoire du show-biz américain. La formidable interprétation de Michael Douglas et celle de Matt Damon tout aussi performante m'ont permis de découvrir ce que pouvait être dans les années 70/80 les extravagances d'une certaine Amérique et d'un monde que, vu de notre France lointaine, à l'époque, on ne pouvait imaginer. De là à interdire ce film en salle aux États-Unis, quelle curieuse idée et surtout quelle hypocrisie, c'est sans doute plus dérangeant que de vendre des armes à tous les coins de rue...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Quelle interprétation fantastique ! Matt Damon et Michael Douglas sont criants de vérité. Dès les premières minutes, nous sommes transportés dans ce monde exubérant et ressentons les sentiments comme si nous étions. L'image est magnifiquement réalisée. Bref, un très très bon film.
    A voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 décembre 2013
    Lee et Scott, 10 années de leur vie commune. Comme un couple qui s'aime et finit par se haïr. Sauf qu'ici avec les extravagances de Liberace on est plus dans le Glamour (kitsch pour sûr et avec démesure) que dans le train-train métro-boulot-dodo-couche cullottes-Auchan le samedi et tiercé le dimanche...) La reconstitution des années 50/70 est parfaite et on le savait puisque du Soderbergh. Liberace, surtout connu des anglo-saxons, était une très grande star de légende, véritable virtuose du piano (son propre show TV, pensionnaire à Las Vegas, carrière internationale, en Europe) et précurseur des Elton John, Freddy Mercury, Madonna, Michael Jackson, Céline Dion, Tina Turner..etc... qui a su hypnotisé les foules et se servir des médias. Matt Damon et Michael Douglas nous prouvent encore le talent des grands acteurs américains sachant passer de "Wall Street" "Black Rain" "la guerre des Rose" pour l'un ; "Elysium", "Jason Bourne" "Ripley" pour l'autre. Avec Liberace on passe un bon moment de cinéma avec ce respect de la chronologie des événements, de l'histoire et des détails de reconstitution (cf. les réf. d'images d'époque.
    Mick J
    Mick J

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2013
    Beau et intéressant. Résumé un peu court mais sincère d'une chronique qui aurait pu être un chaos comme la vraie vie de ce pianiste et de son protégé. Ce qui se dégage de cette histoire est une vraie histoire d'amour et de respect. Les artistes, en particulier Michael Douglas sont épatants, les images sublimes. On touche de près le côté excessif et débordant d'une vie sans entraves morales, malgré des contraintes professionnelles très fortes et des excès de générosité mal compris.
    Cela méritait bien des oscars et des palmes, mais la "modernité" veut les choses autrement.
    Chapeau les artistes et le réalisateur!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    Une histoire d'amour et de manipulation joliment décorée version années 70

    Plus qu'un biopic, Steven Soderbergh déroule une intrigue passionnelle, digne de ses meilleurs thrillers.

    Voila la bonne idée de ce film. Car, après tout, qui se souvient vraiment de Liberace, pianiste virtuose, véritable pop-star aux Etats-unis dans les années 70?

    Soderbergh a voulu conclure sa propre oeuvre par un film ayant pour sujet les dernières années de la vie d'un artiste, et nous offre une éblouissante mise en abime.

    Tout d'abord, Soderbergh fait montre de tout son talent de créateur d'atmosphère en livrant une reconstitution glamour et brillante des seventies. Mais c'est pour mieux tromper le spectateur car cette histoire d'amour, de manipulation et d'égo surdimmensionné est finalement intemporelle et le réalisateur des thrillers "Sexe, mensonges et vidéo" et "Effets secondaires" enferme peu à peu ses protagonistes dans un huis-clos étouffant et lumineux.

    Le doux, sirupeux et génial Liberace, magnifié par la profondeur et la candeur désarmante de Michael Douglas, se révèle être un manipulateur égoïste, qui s'amuse à façonner son nouvel amant à son image, l'enfermant doucement dans son immense demeure.

    A l'écran, l'enfermement est perceptible et va crescendo.

    Quelques vues d'exterieurs urbains ouvrent le film, quelques sorties des amants sot représentées, puis, lentement, l'action finit par se cantonner au palace de Liberace et à sa loge d'artiste.

    Le jeune Scott Thorson, interprété finement et tout en émotion par Matt Damon, perd son identité dans le sillage de Liberace... La suite sur :
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2013
    Pianiste de Music-Hall virtuose, Liberace connait une brillante carrière aux États-Unis des années 1950 aux années 1970. Il se produit régulièrement lors de cette décennie à Las Vegas, où il rencontre Scott Thorson, jeune homme qu'il prend sous son aile. La relation entre les deux hommes, ayant trait à la fois à la sexualité, au romantisme, aux gros sous et à la manipulation, va durer plusieurs années, jusqu'à ce que la star se lasse de son bel Adonis, vieillissant, accro aux pilules et à la cocaïne.
    Se basant sur le récit qu'en fit plus tard Scott Thorson lui-même, Steven Soderbergh s'est penché sur cette relation tenue cachée à l'époque, Liberace n'ayant jamais reconnu son homosexualité. Lui qui posait toujours un chandelier sur son piano, comme une signature visuelle, laissait dans l'ombre toute une partie de son existence. Le réalisateur a souhaité explorer toutes les facettes de cet homme, qui était peut-être davantage image que musique.

    Les décors, les costumes et le maquillage valent à eux seuls le ticket d'entrée. C'est un délire visuel de couleurs, de matières, de clinquant, de surabondance. Il y a de tout, partout et toujours. Le jour est écrasé par le soleil du Nevada et de Californie. La nuit étincelle de strass, de sunlights et de bougies au bord des baignoires à robinets d'or. Les hommes sont à l'image des lieux et des objets, trop et pas assez dans le même mouvement. A la fois très loin de qui ils étaient avant tout ça et de l'image qu'ils ont d'eux même.
    On se dit un moment que c'est trop, que Soderbergh doit bien en rajouter un peu, puis on se souvient des tenues d'Elvis, de la Villa Versace à Miami et du visage de Barry Manilow et instinctivement, on comprend que non, que quelque chose en Amérique est réellement comme ça; l'abondance jusqu'à l’écœurement.

    Très vite, on comprend aussi que ces deux hommes dans leur palais doré ne peuvent qu'être malheureux. La grande force de Soderbergh est de suivre son sujet sans forcer le trait là où la situation initiale se suffit à elle-même. Il nous montre Liberace et son amant avec la plus parfaite neutralité, ces deux personnages excessifs parlant d'eux-même. Ils sont tour à tour répugnants et touchants. On les déteste, on les plaint et ils nous font rire. Beaucoup rire d'ailleurs, c'est un film vraiment très gai ! Soderbergh évoque à merveille ces stars un peu trash, qui brillent, qui choient et qu'on adore crucifier. La compassion qu'elles inspirent a toujours ses limites: on ne parvient jamais à les aimer pour de vrai, car elles réveillent en nous trop de mauvais instincts, moches mais délicieux, comme la déco de la maison de Liberace.

    Michael Douglas, Matt Damon, et Rob Lowe, qui n'ont pas été épargnés question fond de teint, paillettes et brushings aux rouleaux, semblent beaucoup s'amuser et donnent au film un rythme endiablé.

    Plus que la séparation à couteaux tirés des deux amants, c'est la mort de Liberace, rattrapé par le SIDA et par l'annonce de sa maladie dans les médias, qui semble sonner la fin de la récréation. La fin d'une époque, insouciante mais aussi froide et clinquante, dont on ne sait trop s'il convient de la regretter.
    A cette époque, j'étais toute petite et je regardais l'Amérique dans le poste de télévision. Starsky et Hutch, Les drôles de dames..., ce sont mes premiers souvenirs liés aux États-Unis. Ma vie avec Liberace m'a rappelé cela.
    130580
    130580

    1 abonné 77 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    Excellent intelligent subtil... Tous les aspects du show et show biz du système américain... Et la souffrance qui habite les homosexuels , non reconnue encore a cette époque et tabout....beaucoup d'amour aussi dans ce film et de réalisme joué
    remarquablement
    MovieInsider
    MovieInsider

    15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2013
    Michael Douglas et Matt Damon sont impressionnants dans ce biopic entre rire et drame. Deux grands acteurs au sommet de leur art. La magie du cinéma y est magnifiquement représentée. Grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Douglas est impressionnant. Un film pour découvrir un personnage hors du commun dont on se demande comment il a pu faire vibrer autant de femmes...
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