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    Ma vie avec Liberace
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Scott Thorson et Liberace, deux rôles interprétés avec brio par, respectivement Matt Damon et Michael Douglas, un duo qui brille.
    Une première partie comique puis une seconde plus tragique, compte la fin de vie de Liberace, avec une bonne mise en scène signée Steven Soderbergh, un grand du cinéma américain.
    Frédéric Le Mouël
    Frédéric Le Mouël

    20 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    "Ma vie avec Liberace", c'est une "Cage aux folles" qui ne serait pas drôle. A moins d'être familier avec ce milieu, on ne se passionne pas pour le quotidien hystérique de deux folles buvant du champagne dans leur baignoire. Même si on se dit que tout cela est bien représenté, même si l'histoire d'amour de Liberace et de son Adonis est touchante. En revanche, on ne peut être qu'époustouflé par la performance d'acteur de Michaël Douglas (méconnaissable dans son lit de mort) et, surtout, de Matt Damon, absolument extraordinaire.
    Romain Z
    Romain Z

    13 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    En dépit d'une première heure ou l'on a la désagréable impression d'assister à la Cage aux Folles à Las Vegas avec M. Damon et M. Douglas qui semblent rivaliser pour obtenir l'Oscar du meilleur transformiste,le film parvient assez finement par la suite à laisser voir derrière les paillettes et les galipettes le petit théâtre beaucoup moins glamour de la violence sociale et d'une véritable Lutte de Classes.
    Renaud Grimoult
    Renaud Grimoult

    26 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    Une belle histoire, bien réalisée, bien jouée, avec une super performance sur les transformations physiques. Tout un monde, ça se laisse bien regarder !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Inspiré de la vie de Liberace, pianiste virtuose de music-hall presque inconnu en Europe, cultivant le goût du kitsch et dont l'homosexualité a été cachée jusqu'à sa mort du sida en 1986, Ma Vie avec Liberace est pour le moins une réussite sur le plan narratif. Bien agencé, bien mis en scène, le film vaut avant tout pour la direction et la performance d'acteur. Mickael Douglas, pousse loin la ressemblance avec le véritable Liberace, et ce rôle de folle égocentrique lui va comme un gant. Matt Damon n'est pas en reste, même s'il est plus effacé. Un biopic de qualité.
    fresh-BUZZ
    fresh-BUZZ

    39 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2013
    Ma Vie Avec Liberace est avant d’être un biopic assez secondaire sur le pianiste Liberace, c’est une grande histoire d’amour, belle et à la fois malsaine, une sublime histoire qui prends aux tripes, ça nous bouleverse, ça nous fait parfois rire, le scénario de Richard LaGravenese est éblouissant d’émotions, mais le film de Steven Soderbergh est avant tout chose un bijou de…cinéma. De la mise en scène à l’interprétation ou des décors au costumes, tout est maîtrisé et au service d’une narration qui n’en est que plus prenante. Ma Vie Avec Liberace est un film totalement fascinant sur le petit monde de Liberace.
    LA SUITE DE CETTE CRITIQUE DANS LE LIEN CI-DESSOUS... *FreshBuzzCinéma*
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    Un peu long par moments et pas toujours passionnant, Ma vie avec Liberace n’en reste pas moins un film assez impressionnant sur certaines séquences. Il est surtout marqué par la performance dantesque de Michael Douglas et celle de Matt Damon, tout aussi intéressante.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2014
    La vie de Liberace, un pianiste connu qui cacha son homosexualité. Le film nous montre l'extraordinaire naiveté d'une époque ou quelqu'un comme Liberace, qui s'habillait comme un folle, pouvait faire croire qu'il était à la recherche de la femme idéale, et l'ensemble des médias vendait cette histoire. On découvre aussi un personnage attachant, plus courageux qu'il n'y parait. Si Douglas est vraiment excellent dans le film, il faut aussi reconnaitre que ce fait Damon est loin d'être facile. Les raisons du succès de Liberace ou le talent strict de pianiste (hors du cirque) ne sont pas abordés. Un bon film.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    Peu connu de ce côté-ci de l'Atlantique, le pianiste Liberace fut dans les années 60 et 70 une star aux Etats-Unis. Croisement improbable de Richard Clayderman et de Thierry Le Luron, il cultivait une image kitsch qui faisait se pâmer tout à la fois les grands-mères et les gays.
    L'un de ses amants, Scott Thorson, a écrit l'histoire de leur relation de 1977 à 1982, leur rencontre alors que le pianiste était au firmament de sa gloire et que le jeune homme, de 26 ans son cadet, n'avait que 18 ans, leur collaboration et leur séparation douloureuse.
    Steven Soderbergh, sans doute l'un des plus grands réalisateurs contemporains, l'a mis très fidèlement à l'écran. Michael Douglas - qui se rétablit lentement des suites d'un cancer - joue le pianiste fantasque avec une mielleuse sensualité (il faut à tout prix voir le film en VO pour entendre ses roucoulements). Matt Damon est - comme d'habitude - bluffant dans un rôle qui ne peut qu'écorner son image de gendre idéal. Le film est un aimant à Oscars pour ses deux héros. Pourtant il m'a laissé étonnamment indifférent. La faute à sa réalisation trop lisse ? Ou à un sujet qui ne me touche pas ?
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    « Trop gay » pour les studios hollywoodiens et pour une distribution dans les salles états-uniennes, finalement produit et diffusé par la chaîne de télévision HBO, après avoir été présenté à Cannes, ce film est moins le biopic de Liberace, comme annoncé, que celui de Scott Thorson, son amant « secret » entre 1977 et 1982. D’ailleurs, le scénario est basé sur le livre autobiographique de Thorson, Behind the Candelabra – My Life with Liberace. Loin d’être ainsi une tentative d’approche objective de ce que fut la vie de Liberace entre 1977 et 1987 (année de sa mort), Ma vie avec Liberace est un pur récit subjectif, tout empreint de la personnalité de Thorson. D’où cette fascination un peu béate pour l’homme de scène, ce romantisme naïf qui transpire de cette histoire aux accents de mélodrame. La réalité était probablement autre. Quoi qu’il en soit, ce regard donne matière à un film étonnant et intéressant à plus d’un titre.
    Steven Soderbergh, pour ce qui doit être sa dernière réalisation, selon ses dires, a visiblement eu les moyens et les coudées franches pour faire revivre l’artiste et son univers. Côté scène : le pianiste exubérant, charmeur des ces dames ; ses costumes improbables, ses shows kitschissimes, tout en strass et paillettes. Côté privé : l’homosexuel ardant, vivant entre ses mignons et ses chiens, au cœur d’une luxueuse villa au baroque clinquant. Tout y est : le marbre, les dorures, le jacuzzi avec coupes de champagne, mais aussi les brushings, les liftings… Chapeau aux décorateurs, costumiers, maquilleurs. Certes, on frôle parfois l’indigestion d’artifices et de boursouflures, mais c’est le sujet qui veut ça. Sujet que Soderbergh aborde avec une ambivalence de bon ton sur le plan formel, compensant la démesure de la reconstitution par une réalisation mesurée, élégante, glissant classiquement sur les velours et les satins. Ambivalence aussi sur le fond, cultivant l’éblouissement et la distance ironique, le rose bonbon et le noir amer. Il y a dans le portrait des deux hommes et dans la peinture de leur relation des traits finement nuancés : amusants, tendres, monstrueux, pathétiques. Amusants via l’esthétique gay seventies, le côté old queen exubérante de Liberace, mais sans outrance caricaturale façon Cage aux folles. Tendres et monstrueux sont les traits d’amour, avec ce Liberace généreux et aimant, égocentrique et tyrannique (il va jusqu’à imposer une opération de chirurgie esthétique à son amant, afin qu’il lui ressemble plus), cumulant aussi les figures d’amant, d’ami et de père auprès de son jeune gigolo soumis. Dimension pathétique, enfin, lorsqu’il s’agit de dévoiler la réalité sous les apparences (la toxicomanie de l’un, le sida de l’autre, les règlements de comptes après la passion…). Soderbergh réussit bien les scènes intimes, les plus casse-gueule, en allant autant dans le registre glamour que dans la chronique quotidienne. Il réussit aussi à faire de cette histoire singulière une sorte de symbole aux résonances sociologiques, en montrant la façon dont l’homosexualité était vécue et perçue à l’époque, médiatiquement du moins, entre déni et tabou. Le plan sur la une de journal mentionnant la mort de Rock Hudson est un bon clin d’œil, établissant un parallèle entre les destinées de l’acteur et du pianiste.
    Mais plus que tout, le film vaut évidemment le coup d’œil pour son casting improbable, avec notamment un duo central en contre-emploi absolu : Michael Douglas et Matt Damon n’ont pas eu froid aux yeux, n’ont pas eu peur de jouer avec leur image. Leurs performances sont bluffantes. On a beaucoup focalisé sur Douglas en Liberace. Mais ce que fait Damon est probablement encore plus impressionnant, son rôle étant moins typé que celui de Douglas, lequel était peut-être plus facile à épouser dans ses excès. Tous les deux livrent en tout cas des prestations mémorables et audacieuses. Ils sont entourés d’une pléiade d’acteurs sur le retour, également souvent en contre-emploi, qui ajoutent à la surprise du film : Dan Aykroyd (The Blues Brothers, Ghostbusters), Scott Bakula (Code Quantum), Rob Lowe (The Outsiders, Wayne’s World), Debbie Reynolds (Chantons sous la pluie…).
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    De grandes qualités dans l'extravagance reflétée de cette reconstitution qui tend vers l'ennuie. Admettons que l'on se cramponne au duo extra-investi qui brille au delà de tout effet de mise en scène; Le sordide et le despotisme sied à Douglas à hauteur de l'acceptation de Damon.
    Lili8163
    Lili8163

    25 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2014
    Un biopic kitschissime qui évoque une infime partie de la vie de Liberace, personnage extravagant, exhubérant et à l'égo surdimensionné.
    Un personnage charismatique troublant.
    Michael Douglas et Matt Damon nous livre ici une interprétation surprenante mais néanmoins remarquable...
    Un film plein de fantaisie, à découvrir.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    J'ai décidé de regarder Ma vie avec Liberaceet je pensais que ce serait une de ces productions catastrophiques et prétentieuses qui sont si risibles. En 20 minutes j'ai réalisé que le film était assez important. Michael Douglas capture les maniérismes et la voix de feu Liberace avec une facilité étonnante. Il est assez brillant dans sa performance et je le vois maintenant sous un nouveau jour. Matt Damon est excellent dans le rôle de Scott son protégé. Les personnages impliqués sont profondément complexes même si l'on ne connaît que les rapports contemporains du National Enquirer on se rend compte que leur relation est quelque chose que l'on ne peut pas tout à fait comprendre. Douglas et Damon sont brillants dans l'étude de ces personnages. Ils sont méconnaissables parfois à partir des rôles familiers que nous connaissons tous. Je pense que le film vaut la peine d'être vu. En bonus Matt Damon montre ses fesses à plusieurs reprises pour ceux que cela intéresse sinon on ne peut s'empêcher de s'intéresser aux merveilleuses performances de deux des grandes stars d'Hollywood dans une entreprise courageuse et bien faite...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 septembre 2013
    Un début enthousiasmant, un Michael Douglas bluffant et plein d'autodérision sur son image, mais un film qui traine en longueur.
    Matching P.
    Matching P.

    15 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    ...En regardant l'affiche, on serait tenté de se dire, voilà seulement un remake de la "Cage aux folles", mais nous avons fait confiance à Steven Soderberg, Michael Douglas et Matt Damon !
    C'est l'histoire vraie et incroyable de Wladziu Valentino Liberace, le Clayderman américain, star à Las Vegas, qui fut pourtant inconnu chez nous, parce que c'était une star à l'américaine, avec sa démesure, les excès de sa vie et ses goûts, ou plutôt, ses mauvais goûts ! Celui qui a eu l'occasion de voir Las Vegas dans ces années 50-70, peut témoigner de ce kitsch dans ce qu'il y a de pire.
    Mais le film raconte surtout une love story entre la star et un jeune homme, Scott Thorson, gay et abandonné, à la recherche d'un père ; il va donc vivre avec cet artiste de 40 ans son ainé, pour devenir son homme à tout faire, en s'abandonnant même physiquement en acceptant la chirurgie esthétique pour arriver à une symbiose parfaite. Thorson, dont les mémoires ont servi pour le film disait : "C'était comme des rapports père-fils, mais il y avait du sexe." Comme un père, Lee veut assurer son avenir et a le projet de l'adopter.
    Le film montre une histoire de couple, avec ses disputes, ses crises de jalousie, mais d'un couple gay - on n'en parlait pas encore ouvertement dans ces années-là ; le déclic en Amérique fut la mort de Rock Hudson atteint par le virus du Sida, cette mort est mentionnée dans le film. Et Liberace, malgré tous ses excès, n'a jamais eu le courage de faire son coming-out parce qu'il savait très bien que son public n'était pas prêt à entendre une telle vérité et ne le lui pardonnerait pas. Lee et Scott vivaient comme un vieux couple, mangeant des corn flakes à la maison devant la télé - il y a tant de tendresse dans cette scène, où les deux trouvent trouvent de la chaleur et du réconfort.
    Mais comme pour d'autres couples, l'idylle ne va pas durer, et Scott sera éjecté, d'autres Scott vont suivre...
    Ce n'est donc pas une comédie même s'il y a quelques scènes drôles, mais une histoire d'amour tragique, extraordinairement bien servi par deux grands acteurs : Michael Douglas en homme vieillissant, égocentrique, libidineux, mégalo, et finalement très touchant à la fin. En posant sa voix et avec une diction maniérée, il trouve un équilibre pour ne pas tomber dans la caricature facile. Certainement ce rôle représentait bien davantage pour cet acteur sorti d'une grave maladie ; aurait-il accepté ce genre de rôle avant ?
    Matt Damon, a eu le courage d'accepter un tel rôle au risque de casser une image de jeune acteur dynamique. Il est parfait en jeune homme perdu et amoureux, qui tombe sous l'emprise des drogues et s'enfonce ainsi dans une lente descente aux enfers, parce qu'il se sent en cage au début et ensuite, parce qu'il sent que son mentor s'est lassé de lui ! Toute sa révolte, sa détresse et sa tendresse sont dans son sûr, les maquilleurs ont du se régaler tant les transformations des acteurs sont parfaitement réalisées. Avec les costumiers, ils se sont tout simplement surpassés, ce qui n'est pas peu dire dans l'univers des studios américains - et en même temps, quelle critique de la chirurgie esthétique !
    Soderberg avait dit qu'après Ma vie avec Liberace (Behind the Candelabra, le titre original) il arrêterait. Il aurait donc bouclé la boucle après "Sexe, Vidéo et Mensonges", parce que là aussi c'est presque un huis-clos ? Mais quel dommage si c'était vrai !
    Nous ne comprenons vraiment pas, pourquoi ce film - distribué à la télé aux USA - n'a pas reçu le moindre prix à Cannes où pourtant l'homosexualité a été mise à l'honneur et théâtralisée à l’excès à l'occasion de la soirée du Palmarès !
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