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    Ma vie avec Liberace
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    401 critiques spectateurs

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    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    137 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2014
    Pour un dernier (?) film, Steven Soderbergh, avec en tête de casting Michael Douglas et Matt Damon, retranscrit la vie tumultueuse et en partie secrète du grand Liberace et de sa brève relation avec son petit ami. Ce qui est bien avec ce genre de réalisateur, c'est qu'il filme avec un rythme affolant tous les recoins d'une personnalité, de ses amours et de ses mensonges jusqu'à ses caractéristiques personnelles et intimes. Que je sois sincère : les scènes de sexe ne sont jamais dérangeantes car elles sont filmées avec un véritable talent artistique! Les décors, costumes, personnages permettent un retour dans le temps immédiat et terriblement efficace. Même si on se lasse, à force de sous-vérités et de répétitions, de ces multiples bonheurs et tragédies organisés en près de deux heures pour effleurer un maximum l'oeil du spectateur... Un long-métrage joliment anecdotique mais pas assez saisissant. Regrets.
    NewBoorn
    NewBoorn

    61 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2014
    Michael Douglas et Matt Damon au sommet d'un film à paillettes qui aurait pu être complètement ridicule. La relation entre les 2 hommes est passionnante; la réalisation et les décors, au rendez-vous.
    ER  9395
    ER 9395

    87 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2014
    Un Mickael Douglas époustouflant dans ce film d'un artiste très peu connu en France écrit par l'homme
    qui à partagé sa vie pendant 5 ans .
    Jérome D
    Jérome D

    24 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2014
    J'ai été impressionné par la prestation de Michael Douglas et je suis fan des biopics, mais je dois avouer que je n'ai pas passé un moment impérissable.
    Léa H.
    Léa H.

    34 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Il y a d’abord la performance de Michael Douglas, magistral, qui livre un personnage d’une troublante opacité, entre gourou hédoniste, amoureux transi et manipulateur cynique. C’est lui qui tient le film et sa dernière séquence avec Matt Damon (parfait en bellâtre de service) est bouleversante. Il y a ensuite l’univers kitsch de Liberace, écran de fumée contre l’oppression sociale, que Soderbergh restitue avec une bienveillance amusée. La narration, par contre, flotte pas mal et on est toujours à la limite du décrochage. Cette ligne dramatique très lâche et cette distance avec le sujet sont à la fois la force (une certaine modernité brechtienne) et la faiblesse du film (le risque de l’indolence, vieux travers du cinéaste).
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    C’est à mes yeux un réalisateur inconstant, et cette fois il est quasiment aux abonnés absents. Plus observateur que maître de sa caméra, Sodebergh s’est laissé piéger par l’admirable prestation de ces deux acteurs Michael Douglas et Matt Damon, qui éclipsent une histoire confinée à une relation amoureuse. La vie de Liberace méritait semble-t-il un tout autre traitement La réalisation en devient tranquille, presque flasque et c’est avec un plaisir retenu que l’on se cantonne aux acteurs, brillantissimes.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 septembre 2013
    Une très belle histoire (vraie) superbement interprétée par Michael Douglas et Matt Damon. Un film a voir
    Eslenya
    Eslenya

    10 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    Belle prestations de Michael Douglas et Matt Damon mais le film est trop long. Je m'attendais a autre chose ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Ça fait plutôt téléfilm, y a des longueurs et a chaque fois, ou presque, que Michael Douglas parlait la salle riait, preuve du manque de crédibilité dans son rôle. Et puis on a du mal a croire a l amour de Matt D pour Liberace.
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2013
    Énième film sur le milieu gay qui met toujours en avant les performances des acteurs hommes jouant les folles (Matt Damon encore plus impressionnant que Michael Douglas), sans laisser pour autant une impression de grand film. Ce biopic sur la vie de cet artiste, pianiste américain, excentrique, égocentrique, très connu dans les années 70 dans son pays mais méconnu par notre génération est incroyable. Le réalisateur filme l'intimité de ce couple d'une façon assez sobre sans trop utiliser la provocation...
    Penny-Lane
    Penny-Lane

    16 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Un Michael Douglas et un Matt Damon comme on ne les avait jamais vus auparavant, tout bonnement époustouflants ! Malheureusement, l'histoire d'amour entre Liberace et Scott ne suscite que peu d'émotion et le film se révèle plutôt longuet. Toutefois, on notera avec plaisir la présence de Scott Bakula, Dan Aykroyd et Rob Lowe comme seconds rôles et on se réjouira de trouver aux manettes un Steven Soderbergh en meilleure forme après le navrant "Effets Secondaires".
    ninilechat
    ninilechat

    74 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Quand Matt Damon fait la Folle, le public en redemande. Et je me demande si, plus encore que Michael Douglas, ce n'est pas lui, en assurant ce contre-emploi total, qui est le plus époustouflant du film de Steven Soderbergh.

    Scott est un jeune bouseux homo (mais pas que); il s'occupe du dressage des chiens utilisés dans les films de Hollywood. Il a été élevé par une famille d'accueil, sa mère en étant incapable, un couple Joe et Rose, aimant et compréhensif. Et quand Scott rencontre Liberace, cette immense vedette -officiellement, l'éternel fiancé de Sonia Henje.... il se trouve plongé dans un monde qu'il ne pouvait même pas imaginer. Notre Cloclo, ses jabots et ses smokings pailletés, c'est petit bras à côté des costumes de scène du brillantissime pianiste. La maison à Las Vegas, grande comme un château, ruisselle du luxe du mauvais goût le plus sûr. Même dans l'intimité, entouré de ses quatre chiens-chiens blancs qui chient partout, ses tenues regorgent de dorures et chacun de ses doigts porte une énorme bague. Scott est embauché comme secrétaire, dans la foulée amant, puis chouchou couvert de cadeaux et de bijoux, décoloré, relooké, transformé par le chirurgien esthétique qui assure à Liberace ses liftings réguliers (il ne peut plus fermer les yeux pour dormir...), gavé de pilules pour maigrir (d'où il va passer à la vraie drogue), le favori n'a plus de vie à lui. Il accompagne l'idole qui arrive sur scène dans une limo dont Scott est le chauffeur en uniforme strass et paillettes....

    Le couple a des divergences: Liberace est catholique fervent (mais sans états d'âme: il a vu la sainte Vierge à son chevet au cours d'une grave maladie); Scott a des pudeurs de rosière, il ne veut pas être la fille et les films pornos le font vomir. Mais il s'aiment. Liberace veut l'adopter, le mettre sur son testament, Scott croit à tout. Bien qu'il se sente enfermé, il est amoureux -et jaloux. Le jour où l'impressario (Dan Ackroyd) qui gère aussi le ballet des favoris, lui signifie sa disgrâce, il le prend très mal et ça se finira par un procès, pour récupérer quelques sous de l'héritage envolé.

    C'est un peu long, et Soderberg s'est fait plaisir à filmer tous ces excès, toutes ces toilettes, ces fourrures, ces concerts devant un public en délire.... au détriment de l'histoire plus sombre, plus triste (car après tout, c'était la période où tous les gays à Hollywood était décimés par un sida plus ou moins dissimulé, et Liberace n'y a pas échappé). Sous l'histrion, il y avait peut être un être humain avec des problèmes, mais ça, ça n'intéresse pas le réalisateur, pourtant, avec ces deux acteurs là, on aurait sûrement pu faire plus.... qu'un spectacle des Folies Bergères. Plaisant, mais vite vu, vite oublié.
    Velma21
    Velma21

    30 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Quasi inconnu en France, le pianiste de music-hall Liberace a eu une vie comme les Américains les aiment : pleine de rebondissements. Ce virtuose à la personnalité hors normes a logiquement droit à son biopic. Toutefois, Steven Soderbergh (Effets secondaires) ne s’intéresse qu’à une petite partie de la vie de l’artiste, celle qu’il a passée avec le jeune Scott Thorson.

    C’est d’ailleurs l’un des points forts de ce long métrage, de nous raconter la vie de Liberace à travers les yeux de Scott. Le spectateur est en empathie immédiate avec ce personnage. Matt Damon (Elysium, Promised Land) étonne dans un rôle à des années-lumière de son registre habituel et surtout tient le choc face à un Michael Douglas en état de grâce. Ce dernier, iconoclaste, exubérant, scintillant dans tous les sens du terme, compose un Liberace aussi fascinant qu’exaspérant. Une figure de cinéma.

    Après l’émerveillement et l’amour fusionnel, viennent le temps des doutes, des disputes et de la rupture. Si Soderbergh est à son aise dans la retranscription de cette relation fusionnelle, on aurait préféré une manière moins linéaire de raconter ces événements. Il se contente de passer d’une époque à l’autre, ponctuant chaque séquence de strass, de paillettes, de crises existentielles ou de chirurgie esthétique. Un montage décalé aurait, sans doute, insufflé plus de rythme.

    L’amour, plus que l’homosexualité, est au coeur de Ma vie avec Liberace. Le décorum n’est qu’un prétexte pour évoquer ces relations à deux vitesses. D’un côté, celui qui abandonne tout et, de l’autre, celui qui prend tout. Au final, il en ressort quelque chose de profondément triste sur les passions amoureuses. Même quand on sait qu’elles sont vouées à l’échec, elles n’en restent pas moins indispensables à vivre.
    Ciemonde
    Ciemonde

    76 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    A en croire les dires du réalisateur, Ma vie avec Liberace serait son ultime réalisation cinématographique. Je ne me risquerais pas à verser une larme car bon nombres des œuvres de ce dernier m'ont laissée indifférente. Cependant, quelques perles savaient briller aux instants où on ne les attendaient plus. En voici une qui en fait suprêmement partie.
    Si le dernier Soderbergh ne brille pas par son absence de sujet concret et un manque d'aboutissement sur le plan humain, il aborde d'autres points par un chemin différent. Sous les monceaux de dorures et les kitcheries de monsieur Liberace se terre un monde rude et dépravé. Ce que semble nous déclamer l'oeuvrier est que si l'on y est pas né, si notre condition n'est pas d'en faire partie, on ne peut pas y survire et on se fait éjecter. C'est l'emprise du luxe, de l’excès, de la célébrité et du paraître qui ira jusqu'à pourrir un sentiment tel que l'amour. Et ce aussi fort soit-il. Tour à tour ami, amant, père/fils, les relation du virtuose pianiste et de son protégé sont d'une complexité très intrigante qui sera pourtant évacuée par les tords et penchants de chacun au sein de cet univers mal famé.
    Cependant les limbes du monde sentimental des deux protagonistes resterons trop académiques ou même bien trop survolées au profit d'un désir de tout montrer. Vouloir trop en faire c'est aussi bâcler. La recherche technique (presque trop mécanique ici) du réalisateur bloque l'émotion. La volonté d'épouser le thème du sujet n'est pas un tord, encore faudrait-il que ce ne soit pas raté. Dommage. Mais cette chronique aux allures de fadeur bling-bling illustre tout de même avec brio. Michael Douglas est d'une brillance que je ne lui connaissais plus. Quel gâchis malheureusement que de regarder Matt Damon refaire, durant la première moitié du film, sa moue qui comble le gouffre d'un faciès insipide. Le bonhomme se décoincera vers la fin, mais il reste étrange qu'avec autant d'ingrédients, l'ami ne l'ai pas fait avant.
    Je ne connaissais qu'un Soderbergh qui filmait comme une machine, si ce dernier n'a pas lâché tous ses vieux tics, la richesse et la diversité pointent bien plus souvent le bout de leur nez.
    Bien joué.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 septembre 2013
    Accords parfaits entre un Damon dément et un Douglas pas dégueulasse. Ce dernier maîtrise son jeu et sa voix à la perfection pour camper ce pianiste de renom à l’ego surdimensionné. Brillant autant que son accoutrement si bien qu'on est en clin à détester ce qu'il devient à l'écran. L'incarnation même de la vanité. Pauvre Scott si naïf. Le trop plein d'amour qu'il vante à Liberace n'est surtout vrai que dans l'autre sens. Le jeune homme plaquera tout sans hésitation pour venir répondre aux demandes indécentes du pianiste. Sans jamais être sûr qu'il ne soit pas qu'un amant de passage.
    Aucune fausse note pour la mise en scène. Le décor et les costumes sont kitsch au possible mais avec un certain esthétisme. La musique un poil trop discrète rythme bien le film, certains morceaux mériteraient de durer plus longtemps.
    Mineur l'attachement aux personnages, majeur la dérision et la légèreté amenées au discours.
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