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    Ma vie avec Liberace
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2013
    Une performance inattendue de Michael Douglas et Matt Damon que l'on a plutôt l'habitude de voir en " vrais mâles" de films d'action, mais Soderbergh n'arrive pas à donner à ce film un scénario digne d'intérêts... Si l'on retire les caprices et les colères de ces deux divas proches de la cage aux folles , il ne reste pas grand chose ...
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 647 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    « Trop gay » pour les studios hollywoodiens et pour une distribution dans les salles états-uniennes, finalement produit et diffusé par la chaîne de télévision HBO, après avoir été présenté à Cannes, ce film est moins le biopic de Liberace, comme annoncé, que celui de Scott Thorson, son amant « secret » entre 1977 et 1982. D’ailleurs, le scénario est basé sur le livre autobiographique de Thorson, Behind the Candelabra – My Life with Liberace. Loin d’être ainsi une tentative d’approche objective de ce que fut la vie de Liberace entre 1977 et 1987 (année de sa mort), Ma vie avec Liberace est un pur récit subjectif, tout empreint de la personnalité de Thorson. D’où cette fascination un peu béate pour l’homme de scène, ce romantisme naïf qui transpire de cette histoire aux accents de mélodrame. La réalité était probablement autre. Quoi qu’il en soit, ce regard donne matière à un film étonnant et intéressant à plus d’un titre.
    Steven Soderbergh, pour ce qui doit être sa dernière réalisation, selon ses dires, a visiblement eu les moyens et les coudées franches pour faire revivre l’artiste et son univers. Côté scène : le pianiste exubérant, charmeur des ces dames ; ses costumes improbables, ses shows kitschissimes, tout en strass et paillettes. Côté privé : l’homosexuel ardant, vivant entre ses mignons et ses chiens, au cœur d’une luxueuse villa au baroque clinquant. Tout y est : le marbre, les dorures, le jacuzzi avec coupes de champagne, mais aussi les brushings, les liftings… Chapeau aux décorateurs, costumiers, maquilleurs. Certes, on frôle parfois l’indigestion d’artifices et de boursouflures, mais c’est le sujet qui veut ça. Sujet que Soderbergh aborde avec une ambivalence de bon ton sur le plan formel, compensant la démesure de la reconstitution par une réalisation mesurée, élégante, glissant classiquement sur les velours et les satins. Ambivalence aussi sur le fond, cultivant l’éblouissement et la distance ironique, le rose bonbon et le noir amer. Il y a dans le portrait des deux hommes et dans la peinture de leur relation des traits finement nuancés : amusants, tendres, monstrueux, pathétiques. Amusants via l’esthétique gay seventies, le côté old queen exubérante de Liberace, mais sans outrance caricaturale façon Cage aux folles. Tendres et monstrueux sont les traits d’amour, avec ce Liberace généreux et aimant, égocentrique et tyrannique (il va jusqu’à imposer une opération de chirurgie esthétique à son amant, afin qu’il lui ressemble plus), cumulant aussi les figures d’amant, d’ami et de père auprès de son jeune gigolo soumis. Dimension pathétique, enfin, lorsqu’il s’agit de dévoiler la réalité sous les apparences (la toxicomanie de l’un, le sida de l’autre, les règlements de comptes après la passion…). Soderbergh réussit bien les scènes intimes, les plus casse-gueule, en allant autant dans le registre glamour que dans la chronique quotidienne. Il réussit aussi à faire de cette histoire singulière une sorte de symbole aux résonances sociologiques, en montrant la façon dont l’homosexualité était vécue et perçue à l’époque, médiatiquement du moins, entre déni et tabou. Le plan sur la une de journal mentionnant la mort de Rock Hudson est un bon clin d’œil, établissant un parallèle entre les destinées de l’acteur et du pianiste.
    Mais plus que tout, le film vaut évidemment le coup d’œil pour son casting improbable, avec notamment un duo central en contre-emploi absolu : Michael Douglas et Matt Damon n’ont pas eu froid aux yeux, n’ont pas eu peur de jouer avec leur image. Leurs performances sont bluffantes. On a beaucoup focalisé sur Douglas en Liberace. Mais ce que fait Damon est probablement encore plus impressionnant, son rôle étant moins typé que celui de Douglas, lequel était peut-être plus facile à épouser dans ses excès. Tous les deux livrent en tout cas des prestations mémorables et audacieuses. Ils sont entourés d’une pléiade d’acteurs sur le retour, également souvent en contre-emploi, qui ajoutent à la surprise du film : Dan Aykroyd (The Blues Brothers, Ghostbusters), Scott Bakula (Code Quantum), Rob Lowe (The Outsiders, Wayne’s World), Debbie Reynolds (Chantons sous la pluie…).
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    De grandes qualités dans l'extravagance reflétée de cette reconstitution qui tend vers l'ennuie. Admettons que l'on se cramponne au duo extra-investi qui brille au delà de tout effet de mise en scène; Le sordide et le despotisme sied à Douglas à hauteur de l'acceptation de Damon.
    Don Keyser
    Don Keyser

    75 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Doté d'un scénario bien écrit en adaptant la vie réelle de la star, "Ma vie avec Liberace" entraîne le spectateur dans une histoire touchante et plutôt prenante. Avec une réalisation réussie, l'œuvre démontre sa qualité. Quant aux acteurs, ils sont convaincants et jouent bien leurs personnages. Ainsi, le film est un bon divertissement, captivant avec un travail maîtrisé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Le film diffuse en premier plan une cage aux folles classieuse et en second plan des éléments plus fins. Douglas et Damon sont parfaits et payent de leur personne à notre plus grande joie. Le scénario reste un peu maigre tout de même, spoiler: en gros Scott Thorson c'est fait plaquer comme une grosse m....
    defleppard
    defleppard

    390 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2013
    Biopic réalisé avec efficacité. On ne s'ennuie pas. 3 étoiles.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    109 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2013
    En tant que (télé)film, rien à dire, la mise en scène est grandiose (pour le format), les acteurs excellents avec un Michael Douglas au top (comme presque toujours) et un Matt Damon éblouissant en sosie de Patrick Juvet, et ce, malgré une légère réserve: on a du mal à le prendre pour un éphèbe de dix sept ans alors qu'il en accuse largement plus du double sur la balance. Mais ce n'est qu'un détail. En revanche, ce qui est terrifiant c'est la partie purement biopic qui est aussi glaçant pour ne pas dire horrifique qu'un documentaire sur Hitler, Staline ou autre tyran Nord Coréen (massacres de masse en moins) , dont les mises en scène mégalomaniaques révulsaient et font encore vomir cette Amérique bien-pensante et ô combien tolérante dans sa bienveillance. Le film de Soderbergh est une brillante démonstration de ce qu'a dit je ne sais plus qui, je ne sais plus quand ni ou (mais j'vous jure qu'il l'a dit!): "les Etats-Unis sont passés de l'âge de bronze à la décadence sans passer par la civilisation". Enfin... quelque chose du genre!
    Ce qui est rassurant, c'est qu'au même titre qu'en musique une blanche vaut deux noires (ce que les Américains ont longtemps interprétés au sens littéral, si j'ose dire) ici, en France, l'un des berceaux de la "vieille Europe" donc de la "vraie" musique, il faut un Richard Clayderman (ou un André Rieu, au choix) et un ancien président de la république pour synthétiser le comble du mauvais goût. Nous sommes encore loin d'égaler nos voisins d'outre-Atlantique...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 décembre 2013
    L'affiche des 3 noms : Steven Soderbergh/Michael Douglas/Matt Damon est très attirante. Belle distribution, belle mise en scène mais j'ai finalement très peu appris sur Liberace. Le film n'est finalement qu'une histoire d'amour de plus entre un ''fan'' et une star avec tout ce que ça comporte en scènes de clichés : séduction, jalousie, rupture... A voir pour les acteurs.
    Louis Morel
    Louis Morel

    50 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    Sans être mauvais, le film de Sodenberg ne décolle pas et reste assez démonstratif. L'émotion n'est pas au rendez vous, malgré un casting en or.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2013
    Ma vie avec Liberace est vraiment un film curieux qui frôle la caricature humaine, laisse une drôle d'impression dans la mémoire mais qui, in fine, parvient à émouvoir. Ultime (?) film d'un cinéaste au talent erratique et souvent surestimé, Ma vie avec Liberace est filmé avec un certain brio (la rutilance des objets, des décors, des habits) qui est contrebalancé par une certaine économie d''expression des émotions et une musique très peu présente, bien qu'il s'agit d'un biopic partiel sur une vedette musicale. Michaêl Douglas fait une remarquable performance empreinte d'ambigûité, un personnage ambivalent et une mutation physique étonnante. Mat Damon montre tout le registre de son talent dont je n'ai jamais douté et il a un beau cul. Sa transformation physique est vectrice d'un certain malaise ; on ne sait plus quelle est la vraie apparence de l'acteur. Bizarre est le choix de ressortir des acteurs oubliés : Rob Lowe, Scott Bakula et Dan Akroyd (dans une performance étonnante). Il manque cependant quelque chose à ce film, parfois langoureux et hésitant, un scénario qui manque de force, une charge caricaturale trop forte. La fin du film est superbe, émouvante, ah la vision des deux pianos ! le petit et le grand, tel un hommage au couple d'amoureux. Mais surtout, nous sommes là devant un film de vampires, Liberace vampirisant du début à la fin ses amants, Scott étant vraiment l'aimant, l'initié. Tel un vampire devant un miroir, Scott ne semble pas exister devant les proches du pianiste et l'ultime vision de Liberace mourant le confirme, desséché comme un vampire ayant regardé de front la lumière du jour. Un film imparfait mais dont on se souviendra.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2013
    Bon Soderbergh et le biopic ça me fait un peu peur vu la catastrophe totale qu'était le Che qui tenait plus du téléfilm que d'un vrai film et là on a un téléfilm sur Liberace (sait pas qui c'est et je m'en cogne, sans doute un mec que je détesterai dans la vraie vie) qui tient vraiment du cinéma… Dommage… Mais bon en France les distributeurs aiment les auteurs alors il a le droit de sortir au cinéma, ce qui n'est pas plus mal.

    On reconnaît dès le premier coup d'oeil qu'on est devant un Soderbergh on cette image assez dégueulasse et c'est un peu chiant, mais c'est bien : beau casting, belle mise en scène, bon scénario.

    On suit donc Matt Damon qui rencontre un pianiste plutôt "folle", mais qui arrive à faire croire qu'il est hétéro ! Miracle ou bêtise du public ? qui sait ? En tous cas l'esthétique que je n'aime pas du tout de Soderbergh qui vise à rendre le tout jaunâtre prend ici tout son sens parce que ça fait scintiller les Candelabra et ça colle parfaitement avec les décors, les costumes (et même les visages) complètement faux, kitchs au possible, ça participe totalement à l'ambiance et à la création d'une atmosphère. En tous cas je trouve ça plus bienvenu que dans ses autres films.

    Alors le gros défaut du film c'est que c'est trop long et que c'est un tantinet chiant, le film n'en fini plus, il est assez répétitif, mais pas dans le bon sens, j'aime lorsque des scènes peuvent se répéter, apportent quelque chose, mais là c'est juste redondant. Après tout reste relatif, ce n'est pas "si chiant" que ça, mais disons qu'on voit le temps passer, contrairement à ses deux films précédents bien mieux sentis au niveau du rythme.

    Mais là où il s'est fait plaisir c'est au niveau de la mise en scène, chaque scène a une petite trouvaille, un cadre sympa, un mouvement de caméra, c'est vraiment plaisant à regarder, surtout que ça ne fait jamais tâche, ce n'est jamais gratuit, ça sert toujours l'histoire, on a un vrai boulot de metteur en scène qui a compris son sujet. Et en parlant du sujet, j'ai été plusieurs fois mal à l'aise devant le film lorsque ça vire au glauque le plus total, chirurgie esthétique, disputes…

    Sauf que Soderbergh le traite avec énormément d'humanisme, on est du côté de Matt Damon tout le temps, on est avec lui, on comprend ses sentiments et quelque part on a la même sorte de crainte que lui, la même fascination que lui, etc.

    Vu que c'est humain ce côté dérangeant qui aurait pu être là par pur plaisir moqueur ou pour choquer, ce n'est jamais cynique, c'est toujours humain malgré la bonne dose de botox !

    Disons que le film vaut vraiment pour son traitement des personnages, attachant et humain et pour ses trouvailles de mise en scène.

    Le film parvient à être touchant sur la fin, sans en faire trop, pas de musique, la caméra qui se pose, de la tendresse.

    À défaut de finir sa carrière au cinéma sur un chef d'oeuvre (pas certain qu'il en ait fait non plus), Soderbergh la fini sur un film sympa, pas sans défauts, mais intéressant et loin d'être con, ce n'est pas le pire scénario pour un réalisateur qui a connu des hauts et des bas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    Un film aussi superficiel que ne l'était la vie extravagante du pianiste Liberace, mais le film est très bien fait. Ça se regarde facilement et cette légèreté à base de strass et de paillettes, magnifiquement interprétée par Matt Damon et Mickaël Douglas, permet de passer un bon moment (parfois dramatique quand même). En VO c'est mieux, comme toujours...
    Caine78
    Caine78

    6 801 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2013
    Le dernier (télé)film de Steven Soderbergh, vraiment ? On nous a fait le coup tellement de fois que cela demande quand même confirmation, surtout lorsque l'on connaît l'aspect suractif du bonhomme en la matière. Si c'est toutefois le cas, « Ma vie avec Liberace » sera une sortie convenable, à défaut d'être le biopic majeur décrit à de nombreuses reprises. Alors il n'y a pas à dire, HBO a mis les grands moyens : décors, costumes... Tout est clinquant et scintille de partout, illustration idéale pour le quasi-inventeur du bling-bling qui ferait presque passer Lady Gaga pour Tim Burton. Bref, formellement, sans être génial, c'est du beau boulot, soutenu par le côté très insouciant des 70's, également bien rendu. Reste que la question se pose : était-ce vraiment nécessaire de consacrer un projet en grandes pompes à une personnalité pas inintéressante mais finalement très peu connu hors de nos frontières ? Je n'ai pu m'empêcher de m'interroger à plusieurs reprises, tant je trouvais ce que je regardais bien fait et même plutôt réussi, sans jamais me passionner outre-mesure pour une figure par ailleurs très soupe au lait, voire légèrement superficielle. C'était toutefois LA grande promesse du film, LA raison pour laquelle il fallait aller au cinéma voir le résultat : Michael Douglas en Liberace, présenté comme son plus grand rôle depuis des années. Sans être aussi exceptionnel que prévu, celui-ci livre en effet une belle performance, apportant une vraie complexité à son personnage pour le rendre un minimum attachant et profond, ce qui n'était donc pas gagné au vue de ce que j'ai pu écrire juste au-dessus. En revanche, on oublie trop souvent l'excellente prestation de Matt Damon, toujours dans le ton juste et apportant lui aussi beaucoup de subtilité à ce « héros » cherchant constamment sa place sans jamais vraiment la trouver. Et comme il y a quelques détails vraiment étonnants sur jusqu'où peut-on aller par passion de manière parfois incroyablement grotesque, on suit cela jusqu'au bout sans trop de problèmes. Reste donc à savoir si vous souhaitez vraiment consacrer deux heures de votre vie à un pianiste qui ne vous fascinera probablement pas plus que cela, sans pour autant remettre en cause les indéniables qualités de l'entreprise. Un vrai beau téléfilm de luxe donc, mais certainement pas le summum d'émotions régulièrement annoncé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 novembre 2013
    Très bonne performance pour les acteurs, qui ont un sacré culot car les temps sont pas indulgents, et nous sommes en fait parfois un peu cliché, mais je veux saluer le mérite d'HBO d'avoir financé ce film, les majors n'ayant pas daignés s'intéresser à ce projet
    schemaman
    schemaman

    20 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    Michael Douglas excellent, et étonnant, Matt Damon, beau mec, pas mal mais pas très crédible. Un film total kitch, strass et folles à gogo : C'est la cage aux folles version américaine. Mais on a du mal a rentrer dans l'histoire d'amour, quelque chose sonne faux : est-ce que cela vient du rythme, du montage, des dialogues, de certaines outrances... ? L'image est belle, dans un décor de villa de milliardaire à couper le souffle. Époustouflante performance de Michael Douglas... ou de ses maquilleurs...probablement des deux à la fois. Il reste tout de même le magnifique monologue dit de ton juste par M. Douglas "Je t'aime parce que ..." qui, s'il passe inaperçu aux oreilles de certains pendant le cours du film, mérite sa reprise dans le générique de fin.
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