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    Ma vie avec Liberace
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    3,7
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Bravo aux prestations de Matt Damon et de Michael Douglas. On se sent immergé dans le milieu gay de cette époque, notamment par le travail minutieux réalisé sur les décors et les costumes. Des moments drôles, d'autres durs ponctuent cette histoire d'amour particulière et qui pourtant fait résonner ce qui peut se jouer dans les relations plus classiques.
    Yetcha
    Yetcha

    897 abonnés 4 406 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 janvier 2014
    En dehors du fait que ce personnage haut en couleur est magnifiquement interprété par un Michael Douglas au top, je n'ai pas particulièrement accroché sur l'univers gay. La réalisation avec des couleurs saturées, du lens flare et des reflets partout est excellente mais Soderbergh n'est pas trop ma tasse de thé et je me suis plutôt ennuyé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 janvier 2014
    Les acteurs excellent dans leur art, la vie de Liberace est parfaitement relatée.. Maintenant, c'est un film que je ne reverrai pas forcément car ma sensibilité personnelle, face à ce genre de vie dépravée et dépravante, est faible..
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2013
    Une performance inattendue de Michael Douglas et Matt Damon que l'on a plutôt l'habitude de voir en " vrais mâles" de films d'action, mais Soderbergh n'arrive pas à donner à ce film un scénario digne d'intérêts... Si l'on retire les caprices et les colères de ces deux divas proches de la cage aux folles , il ne reste pas grand chose ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    superbe film que je trouve très bien fais et émouvant a regarder se film ma toucher et des acteur parfait
    Roger O.
    Roger O.

    13 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    C'est le deuxième film que Soderbergh consacre au spectacle du nu masculin.
    Son premier opus, immédiatement distingué à Cannes, s'intitulait Sexe, mensonges et vidéo. Magic Mike et Ma vie avec Liberace auraient pu également porter le titre inaugural d'une œuvre protéiforme. Les deux films ont été tournés en numérique, le second a été produit par une chaîne de télévision américaine - les producteurs hollywoodiens ont été effrayés par le sujet - et il y est question à chaque fois des rapports complexes entre le sexe et le mensonge.
    Dans le premier, les mâles jouent le désir sexuel pour provoquer parmi leurs spectatrices un simulacre de plaisir. Comme l'a écrit Alain Masson dans Positif, l'obscénité est en fait dans la salle, parmi ces femmes hurlantes qui surjouent, tout autant que les strip-teasers sur la scène, les rapports amoureux. Le mensonge est l'essence même du show: ici, chacun joue le rôle qui lui a été attribué de part et d'autre de la rampe. Il est interdit de franchir la ligne, d'oublier qu'on est au théâtre, comme le précise bien le meneur de jeu qui fixe les règles dès le départ: il s'agit de regarder et non de toucher. Le spectacle n'est pas la vie. La vie est-elle un spectacle? Calderon, Shakespeare et d'autres l'ont prétendu avec raison.
    Dans Liberace, il s'agit aussi de mensonge: les spectatrices sont volontairement dupes de la comédie jouée par le pianiste au comportement de "folle tordue". Personne ne veut voir la réalité en face, y compris les deux héros qui se masquent la vérité de leurs relations: le personnage interprété magnifiquement par Matt Damon refuse certaines pratiques qui le dégoûtent et se prétend bisexuel. Il va jusqu'à tenter de fondre son véritable visage dans celui de son protecteur. Le titre original Behind candelabra indique bien qu'il y a quelque chose à chercher derrière les apparences du clinquant.
    Dans les deux films, il est également beaucoup question d'argent: les femmes, aujourd'hui économiquement libérées de la tutelle de leurs maris, paient pour voir de la chair masculine; et l'opulence dans laquelle vit Liberace n'est pas étrangère à la fascination qu'il exerce sur son jeune amant.
    Ces deux œuvres de Soderbergh brassent quantité de thèmes mais n'oublient jamais qu'elles sont des divertissements, des spectacles, et dans la salle de cinéma, par un effet intéressant de mise en abyme, nous sommes tout aussi fascinés que les fans de Mike ou de Liberace.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Damon et Douglas en parfait duo amoureux, mais leurs prestations ne suffisent pas à rattraper les longueurs constantes du film, qui souffre d'un terrible manque de rythme !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Douglas est impressionnant. Un film pour découvrir un personnage hors du commun dont on se demande comment il a pu faire vibrer autant de femmes...
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 647 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2023
    « Trop gay » pour les studios hollywoodiens et pour une distribution dans les salles états-uniennes, finalement produit et diffusé par la chaîne de télévision HBO, après avoir été présenté à Cannes, ce film est moins le biopic de Liberace, comme annoncé, que celui de Scott Thorson, son amant « secret » entre 1977 et 1982. D’ailleurs, le scénario est basé sur le livre autobiographique de Thorson, Behind the Candelabra – My Life with Liberace. Loin d’être ainsi une tentative d’approche objective de ce que fut la vie de Liberace entre 1977 et 1987 (année de sa mort), Ma vie avec Liberace est un pur récit subjectif, tout empreint de la personnalité de Thorson. D’où cette fascination un peu béate pour l’homme de scène, ce romantisme naïf qui transpire de cette histoire aux accents de mélodrame. La réalité était probablement autre. Quoi qu’il en soit, ce regard donne matière à un film étonnant et intéressant à plus d’un titre.
    Steven Soderbergh, pour ce qui doit être sa dernière réalisation, selon ses dires, a visiblement eu les moyens et les coudées franches pour faire revivre l’artiste et son univers. Côté scène : le pianiste exubérant, charmeur des ces dames ; ses costumes improbables, ses shows kitschissimes, tout en strass et paillettes. Côté privé : l’homosexuel ardant, vivant entre ses mignons et ses chiens, au cœur d’une luxueuse villa au baroque clinquant. Tout y est : le marbre, les dorures, le jacuzzi avec coupes de champagne, mais aussi les brushings, les liftings… Chapeau aux décorateurs, costumiers, maquilleurs. Certes, on frôle parfois l’indigestion d’artifices et de boursouflures, mais c’est le sujet qui veut ça. Sujet que Soderbergh aborde avec une ambivalence de bon ton sur le plan formel, compensant la démesure de la reconstitution par une réalisation mesurée, élégante, glissant classiquement sur les velours et les satins. Ambivalence aussi sur le fond, cultivant l’éblouissement et la distance ironique, le rose bonbon et le noir amer. Il y a dans le portrait des deux hommes et dans la peinture de leur relation des traits finement nuancés : amusants, tendres, monstrueux, pathétiques. Amusants via l’esthétique gay seventies, le côté old queen exubérante de Liberace, mais sans outrance caricaturale façon Cage aux folles. Tendres et monstrueux sont les traits d’amour, avec ce Liberace généreux et aimant, égocentrique et tyrannique (il va jusqu’à imposer une opération de chirurgie esthétique à son amant, afin qu’il lui ressemble plus), cumulant aussi les figures d’amant, d’ami et de père auprès de son jeune gigolo soumis. Dimension pathétique, enfin, lorsqu’il s’agit de dévoiler la réalité sous les apparences (la toxicomanie de l’un, le sida de l’autre, les règlements de comptes après la passion…). Soderbergh réussit bien les scènes intimes, les plus casse-gueule, en allant autant dans le registre glamour que dans la chronique quotidienne. Il réussit aussi à faire de cette histoire singulière une sorte de symbole aux résonances sociologiques, en montrant la façon dont l’homosexualité était vécue et perçue à l’époque, médiatiquement du moins, entre déni et tabou. Le plan sur la une de journal mentionnant la mort de Rock Hudson est un bon clin d’œil, établissant un parallèle entre les destinées de l’acteur et du pianiste.
    Mais plus que tout, le film vaut évidemment le coup d’œil pour son casting improbable, avec notamment un duo central en contre-emploi absolu : Michael Douglas et Matt Damon n’ont pas eu froid aux yeux, n’ont pas eu peur de jouer avec leur image. Leurs performances sont bluffantes. On a beaucoup focalisé sur Douglas en Liberace. Mais ce que fait Damon est probablement encore plus impressionnant, son rôle étant moins typé que celui de Douglas, lequel était peut-être plus facile à épouser dans ses excès. Tous les deux livrent en tout cas des prestations mémorables et audacieuses. Ils sont entourés d’une pléiade d’acteurs sur le retour, également souvent en contre-emploi, qui ajoutent à la surprise du film : Dan Aykroyd (The Blues Brothers, Ghostbusters), Scott Bakula (Code Quantum), Rob Lowe (The Outsiders, Wayne’s World), Debbie Reynolds (Chantons sous la pluie…).
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    702 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Soderberg! Un réalisateur que j'ai plus apprécié que dénigré, part pour moi trop tard! Ce dernier et ultime long métrage est pour moi un de ses plus mauvais! Alors que "Effets secondaires" restait un relativement bon métrage, "Ma vie avec Liberace" est étonnant mais dans le mauvais sens du terme! Alors qu'on s'attendait a un film assez extravagant et tape a l'œil tel que "Gatsby le magnifique" on n'a pas du tout cela! Alors on se dit que l'on va avoir une biographie toute en retenue et émouvante comme par exemple "Le discours d'un roi" mais ce n'est pas le cas non plus! En réalité on tombe sur un mauvais milieu entre ces deux façons de raconter, et une monotonie déconcertante! Tout revient et recommence sans cesse! Alors ouais c'est sa vie qui veut ça, mais putain Soderberg raconte nous ça différemment à chaque fois! On ajoute a cela un montage qui convenait plus a la tele qu'au cinéma et on obtient un long métrage terriblement décevant pour ma part!
    romain G.
    romain G.

    17 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    Ce film manque d'ambition. On reste au niveau d'un sympathique biopic "cageauxfollesque" là où l'extravagance de Liberace aurait pu nous emmener dans un scénario surréaliste. Sans doute le choix a été fait de faire un film commercial, en appuyant bien sur le petit effet buzz "Douglas et Damon en couple homo". Dommage, il y avait les moyens de faire mieux avec de tels acteurs et la patte Soderbergh.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    De grandes qualités dans l'extravagance reflétée de cette reconstitution qui tend vers l'ennuie. Admettons que l'on se cramponne au duo extra-investi qui brille au delà de tout effet de mise en scène; Le sordide et le despotisme sied à Douglas à hauteur de l'acceptation de Damon.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 3 001 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2017
    on en a fait beaucoup par rapport au personnage incarné par M. Douglas et son état de santé à ce moment là. les ingrédients principaux : excentricités, sexe, alcool, drogue... après, cette histoire d'amour (dramatique au final) n'est guère palpitante et l'ensemble manque de rythme.
    Don Keyser
    Don Keyser

    75 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Doté d'un scénario bien écrit en adaptant la vie réelle de la star, "Ma vie avec Liberace" entraîne le spectateur dans une histoire touchante et plutôt prenante. Avec une réalisation réussie, l'œuvre démontre sa qualité. Quant aux acteurs, ils sont convaincants et jouent bien leurs personnages. Ainsi, le film est un bon divertissement, captivant avec un travail maîtrisé.
    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2013
    Bonne restitution de tout cet univers de débauche et de fantaisie des années 70.
    Ce serait plus accrocheur avec un pianiste que l'on a connu, en France personne ne connait cet artiste.
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