AlloCiné
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Votre avis sur Still Walking ?
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L’incommunicabilité et le poids des traditions sont des thèmes chers à l’âme asiatique. Dans « Aruitemo, aruitemo », Hirokazu Kore-eda les transcende à sa manière, en procédant par nuances, par touches sensibles. Sa caméra, douée d’une rare subtilité dans la description des sentiments, observe de menus faits, révélateurs des dispositions du cœur et de l’esprit. Chaque instant (la chasse au papillon, la mémoire d’une chanson populaire, la vengeance annuelle sur le noyé-sauvé, les deux visites au cimetière…) possède sa vibration unique et précieuse. C’est du grand art sans qu’il y paraisse à première vue.
Une jolie chronique d'un week-end en famille, à la mémoire d'un fils aîné décédé tragiquement. Le film vaut surtout pour ses dialogues, polis en surface, mais d'une ironie (et d'une drôlerie) étonnante quand ils ne sont pas d'une cruauté à peine déguisée. Cette plongée à l'intérieur d'une famille japonaise est d'une justesse intégrale, l'amertume le disputant à la nostalgie, dans un conflit de générations et de réécriture d'un passé douloureux, qui divise plus qu'il unit.
Chronique de la vie ordinaire au Japon... C'est cliché de dire ça mais c'est zen ! Le scénario n'est pas très original et il ne faut pas être impatient mais il y a une mise en scène et une poésie toute asiatique, très intéressante, en tout cas bien différent de chez nous et ça fait du bien. Arigatou Gozaimasu !
Julien D
A peine quelques semaines après le très beau Tokyo sonata de Kiyoshi Kurosawa, sortait dans nos salles cet autre joli film qui nous confirmait une bonne fois pour toutes que le cinéma classique japonais est encore productif, et ça, ça fait bien plaisir! Le fait de pouvoir faire transparaitre à l’écran autant d’émotions malgré la simplicité du scénario et une mise en scène aussi minimaliste est la preuve irréfutable d’un immense talent de réalisateur. Cette plongée au cœur de l’intimité d’une famille endeuillée est en effet particulièrement poignante et s’avère une déclaration d’amour aux plus belles des traditions nippones.
un petit bijou de délicatesse et d'humour. C'est poétique, cruel et plein d'espoir ! Ozu trouve là un bel héritier, mais cette référence n'écrase pas la mise en scène, très personnelle. Un des films de l'année, assurément ! La veuve est incroyable de sensibilité. les scènes se succèdent avec grâce. Le cinéma japonais n'est certes pas actuellement aussi vivace que le coréen ou le chinois, mais quand même, il y a fréquemment de belles pépites ! J'ai trop hâte de voir "nobody knows" du même réalisateur, que j'ai en DvD.
Un très bon film,surtout vous passerez un bon moment avec des acteurs superbes ,un bon scénario,une mise en scène réussit,par conséquent ce film est à voir!dommage que ce genre de film ne soit pas plus plébiscité c'est pour ce genre de film que l'on doit se donner la peine d'aller au cinéma!
Emouvant, un portrait de famille qu'une mort à bouleverser. Une autre culture, et pourtant, comment réagirions nous? Un scénario et une mise en scène réussie. Après un Knowbody knows sublime, Kore-Eda Hirokazu nous emporte dans une autre réalité, un pari gagné pour ce film troublant.
Requiemovies
Faisant suite au magique et poétique Nobody Knows, Still Walking (au titre anglophone toujours délicieux) du Japonnais Hirokazu Koreeda réussit avec les mêmes ingrédients (sa technique) mais une cuisson différente (son discours et sa narration) un film d'une justesse et d'une beauté passive fascinante. Portant un regard toujours en parallèle aussi bien sur le cercle familial qu'une observation subtile de la société japonnaise, Koreeda, par des cadres toujours justes, précis (l'enfant cadré ras du sol, sur un champ confiné bien qu'ouvert, parfait), nécessaires. Sa caméra ne se contente pas d'être placée ici et là, laissée au hasard où les acteurs se placeraient de façon aléatoire, il y a une vraie direction d'acteurs, un vrai plaisir de filmer, un savoir faire. Quel délice alors de suivre la préparation de mets par une mère et sa fille. Le parallèle pourrait même être fait ici.
Avec cette forme soutenue, Koreeda peut alors exprimer ses ambitions narratives, celles de décrire en même temps un cercle familial bordé de non dits et la critique objective d'une société japonnaise aux ambivalences d'une éducation ancestrale dans une société moderne. Tout éclos donc pour nous faire réfléchir à notre propre vie. Joli moment cinématographique d'avoir réussi à nous faire ressentir tant de sensations par une histoire et un film aux codes orientaux, si éloignés des nôtres et d'une puissance, cependant, universelle.
Avec cette forme soutenue, Koreeda peut alors exprimer ses ambitions narratives, celles de décrire en même temps un cercle familial bordé de non dits et la critique objective d'une société japonnaise aux ambivalences d'une éducation ancestrale dans une société moderne. Tout éclos donc pour nous faire réfléchir à notre propre vie. Joli moment cinématographique d'avoir réussi à nous faire ressentir tant de sensations par une histoire et un film aux codes orientaux, si éloignés des nôtres et d'une puissance, cependant, universelle.
Ce n'est pas un chef d'oeuvre comme l'était "Nobody knows". Juste un trés beau film. Une finesse et une délicatesse infinies dans la description des rapports (pourtant extremement durs) entre les personnages de cette même famille.
je suis allé voir comme on me l'avait recommandé, "still walking".
je suis désolé, mais faut qu'on m'éxplique certaines choses.
Malgré la personnalité et le charsime des acteurs, qui sont tous trés tres bons par ailleurs, je n ai pas trouvé ce film interessant.
il n'y a rien qui accroche, pas d intrigue, pas d'émotion... il ne s'y passe pas grand chose ou rien...
Cela n'est que mon avis et mon point de vue bien evidemment, mais bon... filmer pendant pres de 2heures une famille dans sa cuisine puis le salon ... au bout d'un moment... sans que rien ne se passe, ça en devient soporifique...
Un père qui fait tout le temps la gueulle et qui ne se remets pas de la mort de son fils, un autre fils qui ne trouve pas sa place dans sa famille et sa vie... un grand mere un poil aigri et provocatrice... certes, ça pourrai etre sympa, mais en fait non, j'ai trouvé tout ça monotone.
il en faut pour tous les gouts n'est cepas !?
je suis désolé, mais faut qu'on m'éxplique certaines choses.
Malgré la personnalité et le charsime des acteurs, qui sont tous trés tres bons par ailleurs, je n ai pas trouvé ce film interessant.
il n'y a rien qui accroche, pas d intrigue, pas d'émotion... il ne s'y passe pas grand chose ou rien...
Cela n'est que mon avis et mon point de vue bien evidemment, mais bon... filmer pendant pres de 2heures une famille dans sa cuisine puis le salon ... au bout d'un moment... sans que rien ne se passe, ça en devient soporifique...
Un père qui fait tout le temps la gueulle et qui ne se remets pas de la mort de son fils, un autre fils qui ne trouve pas sa place dans sa famille et sa vie... un grand mere un poil aigri et provocatrice... certes, ça pourrai etre sympa, mais en fait non, j'ai trouvé tout ça monotone.
il en faut pour tous les gouts n'est cepas !?
Still Walking est un des meilleurs films asiatique que j'ai vu.
Kore Eda, nous prouve une fois de plus qu'il a du talent, deja que Nobody Knows était incroyable, un film bouleversant.
Ce nouveau film est du même niveau bien qu'il soit très différent.
Kore Eda, nous prouve une fois de plus qu'il a du talent, deja que Nobody Knows était incroyable, un film bouleversant.
Ce nouveau film est du même niveau bien qu'il soit très différent.
Après 35 rhums, voilà 36 sushis. Mais jusqu'où iront-nous ?! N'allez pas voir ce film comme moi à l'heure du diner, ça sera une torture de voir tous ces mets japonnais rissoler !! MDR !! Où comment, sans l'air de rien, un film ample et profond nous happe telle une lame de fond, dès la première scène dans la cuisine. Unité de lieu absolument remarquable ; unité de temps tenue avec un brio de maître. Montage et écriture exceptionnels. Des dialogues très fins et subtils, où la drôlerie le dispute à des abîmes, refermés aussitôt effleurés. Omniprésence du fils décédé, au détriment du cadet qui du coup n'arrive pas à construire une vie normale (un métier un peu hasardeux, famille recomposée avec une veuve avec enfant - l'épilogue final est très beau), figure paternelle intransigeante et dure. Et surtout le pivot : la mamie, qui cuisine tout le long du film comme un vrai chef, maîtresse de maison impeccable, qui forme avec irrésistible YOU un duo admirable. Après Tokyo Sonata, quel bonheur !
Petite merveille, où le réalisateur Kore-Eda-Hirokazu sait appuyer là où ça fait mal..
Courez le voir!
Courez le voir!
je pense pas que ce sera le film de l'année comme le dit un membre dans sa critique.
le film du mois d'Avril, je suis complètement.
une comédie dramatique envoutante, très belle histoire.
le film du mois d'Avril, je suis complètement.
une comédie dramatique envoutante, très belle histoire.
Le temps d'un week-end et d'une visite contrainte à des parents pour une réunion familiale, Still walking offre un scénario et des dialogues très bien construits. La caméra capte par des plans le plus souvent fixes des visages expressifs où tension et tendresse se mêlent et d'où se dégage une véritable poésie servie par une photographie très réussie. Les acteurs sont tous remarquables.
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