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    Rango
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    3,6
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    1 010 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2021
    Une parodie délirante et survoltée des westerns spaghetti, visuellement très réussi mais au scénario un peu bancal.
    Oscar du meilleur film d’animation.
    Lauriesdt
    Lauriesdt

    4 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Comme la plupart des critiques négatives sur ce film, un mot ressort : ennui. Les blagues me blasent, on ne ressent pas d'enjeu, trop d'incohérences ou d'éléments posés là, comme ça, sans fond. Je n'ai pas du tout accroché et ai même du mal à comprendre qu'il soit si bien noté...
    Anonyme M
    Anonyme M

    62 abonnés 1 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2020
    rango est osé. mètre un lézard en personnage principal, c'est très osé seulement voilà, le tout est tellement bien fisslé que l'on s'y prend vite au jeux. l'histoire est un mélange de héroïsme et de tentative de devenir quelqu'un a tout prix. une ville remplis d'animaux dans une vie sociale normalement unique a l'humanité est très bien trouvé c'est unique l'histoire inventé pour mètre en confidence la ville est tellement incroyable que l'on finit par y croire nous même, même en sachant que c'est faux. un chef d'ouvre unique.
    Gibouletdu26
    Gibouletdu26

    8 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2020
    Très bien, le film est narrée d'une façon un petit peu spécial, ce n'est pas déplaisant, on rigole bien.
    L'animation est vraiment bien !
    Agréable pour petits et grands.
    Musomuse
    Musomuse

    9 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2020
    C'est pas super. Mais c'est pas mauvais. J'ai passé un bon moment il y a de ça plus d'un mois à l'heure où j'écris ces quelques mots. Donc c'est techniquement beau. Il n'y a pas à en douter. Sauf que ça ne crée pas grand chose. C'est pas bien écrit. Les dialogues sont tous très oubliables et oublié. Problème on ne s'amuse donc pas beaucoup. Ça ne prends donc pas beaucoup de risque. Pour ne pas dire aucun. Et oui ça rend le film fade. Car il n'a rien à donner appart ses visuels qui sont super mais ne dépote pas non plus. Dommage donc de ne pas avoir affaire à un film de cinéma car c'était clairement à porté de main. Je pense donc que le métrage est victime du manque d'ambition de ses pères. Dans cette optique je ne préfère pas m'embêter à parler plus que ça de ce film qui est utile si l'on veut montré que techniquement on était capable de faire de super visuels photo-réaliste il y a de ça un temps où la playstation 3 était encore sur les affiches papier de nos rues.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    139 abonnés 3 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Une animation réussit de Gore Verbinski, parodie de western ou simplement genre particulier de western qui joue habilement avec tout un tas de bestioles anthropomorphes. De belles idées comme les musiciens, la pénurie et le contrôle de l'eau, des astuces scénaristiques et un ton solennel assez subtil spoiler: comme le rectangle avec la buée qui entoure le personnage avec la phrase on ne sort pas de son histoire.
    . Les dessins sont moyennement esthétiques mais les thématiques de l'ensemble pertinentes. Le lézard avec beaucoup de bagou et une capacité à improviser avec une chance insolente quand il le faut n'est pas un personnage si sympathique plutôt un peu fataliste, le fait de lui associer deux personnages féminins qui sont sympathiques autant que caustiques et assez subtils et une série de méchants assez diversifiés est un art de conteur d'histoire.
    alex supertramp
    alex supertramp

    5 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2020
    Aaaah mais oui !!!! Quel plaisir à voir ce Rango. Dessins-animé pour moi quand même plus réservé aux plus grands qui ce feront plaisir avec un récit au multiple rebondissements, des personnages travaillé et un esthétique absolument incroyable, quel souci du détaille, qu'elle méticulosité dans chaque détailles, j'ai vu ce film plus d'une fois et que ce soit le premier, deuxième ou arrière plan tous est soigné et très travaillé. De plus les cinéphiles ce feront un malin plaisir a repéré les nombreuse référence aux westerne glissé un peu partout dans le film. Ici toutes les figures emblématiques des westerns sont transposé au monde animal et c'est si bien réussi que l'on ce prend a oublier presque que ce ne sont pas des humain qui ce dispute des lingots d'or mais bien un serpent, une tortue, des lézard...etc qui font une ruée vers l'eau... Avec toutes ces qualités pour en faire un dessins animés plus réfléchit et travaillé avec des aspects moins accessibles au plus jeune, je trouve quand même bien dommage d'avoir mis des gags un peu enfantin, facile et clairement déjà vu pour attiré quand même les plus petits, car non Rango n'est pas un dessins annimé pour enfant (trop de dialogues, de sous texte, de clin d'oeils ) et le film perd en profondeur a cause de sa. Dommage car en plus comme je l'est dit je ne pense pas qu'un enfant puisse apprécié ce film a sa juste valeur. Mais ces quelques fautes ne viennent pas trop entaché ce "Rango" Certaines scènes sont un pure régale de mise en scène et d'humour spoiler: (mention spécial a l'arrivé de rango dans le bar quand il raconte l'histoire des 7 frères qu'il a tuer avec une seul balle)
    La musique aussi est digne des westerns spaghetti qu'on aime tant. L'alliance de la bande son et de cette esthétique unique est parfois magique, une séquence en particulier m'a fait me dresser les poiles car en plus de la musique et l'image une voix off et un texte rempli de sens vienne sublimé la scène spoiler: (Après le dialogue avec le fourmilier qui le décide a revenir en ville et qu'il traverse l'autoroute sans regarder, la séquence commence avec cette phrase magique : Pourquoi y retourne tu ? Parce que c'est ce que je suis !!! )
    Je ne peut que conseillé cet animé qui m'a fait autant plaisir qu'un bon vieux western. Ah et un conseille prenez vous un truc a boire avant de démarrer, il donne soif ce Rango ;).
    Marie A
    Marie A

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Gore Verbinski, adepte de Johnny Depp, n'aurait pu compter sur personne d'autre pour interpréter la voix charismatique du héros éponyme de son premier western animé. Puis pour nous, français, ce sera sa célèbre et fidèle voix française qui n'est autre que le talentueux Bruno Choël. Un film très original et surtout très marrant, à la hauteur de l'humour légendaire de Verbinski, avec une animation de haute qualité. J'adore l'esthétique de tous les personnages, quelque peu hard core mais surtout avec des détails impressionnant, on peut le dire ils sont vraiment stylés. Si on ne compte pas le fait qu'un caméléon fasse la même taille qu'un renard ou qu'une tortue, ce film est excellent (c'est une blague bien sûr). Rango est un personnage particulièrement attachant de part son excentricité et surtout sa folie, à la limite de la schizophrénie il tente de devenir le héros de sa vie, acteur à ses heures perdues il s'invente un personnage héroïque à l'image de tout ce qu'il aimerait être. Les musiques western sont génialement interprétées par ces 5 hiboux mariachis dont les voix sont assurées entre autre par le talentueux Olivier Constantin. J'adore la musique thème "Rango Theme Song" de Los Lobos, que j'écoute régulièrement d'ailleurs. De plus la bande son est excellente, digne d'un bon western et surtout digne du génie de Hans Zimmer, on reconnaît même un style similaire à ses compositions pour Pirates des Caraïbes. Et ces similitudes ne s'arrêtent pas qu'à la soundtrack, en effet lorsqu'il rencontre l'Esprit de l'Ouest dans ce décor blanc où le bateau est remplacé par une voiture et les crabes par des cloportes c'est clairement une référence à "Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde", puis Rango est finalement un Jack Sparrow caméléon du western si l'on se fie à son attitude, et ce n'est pas pour me déplaire. D'ailleurs le caméléon est un animal très bien choisi pour le personnage, effectivement il n'a pas de personnalité propre et adapte son comportement à son environnement et aux gens qui l'entourent, on le voit bien lors de son arrivée à la ville de Poussière où il essaye de copier la démarche des autres habitants "Qui suis-je? Je suis personne". Ce film est plein de référence, j'ai particulièrement apprécié le clin d'œil au chef d'œuvre de Terry Gilliam, Las Vegas Parano, au tout début du film avec le passage de Raoul Duke et Dr.Gonzo dans leur célèbre chevrolet rouge sur la route 66. En résumé ce film est un plaisir autant pour les yeux que pour les oreilles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2020
    Superbe animation,ont ne s'ennuient pas, l'histoire est original super film.
    Il en faudrait plus de ce type
    Paul J
    Paul J

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Le film d’animation le plus mauvais que j’ai pu voir, le rythme est ennuyant, les personnages sont assez flippant, et l’histoire n’est pas du tout intéressante, à éviter donc
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2019
    Rango est un dessin animé plutôt pas mal.
    L'animation est très convaincante. Il y a beaucoup de créativité dans les décors et les thèmes abordés (les cactus mouvants, …) mais c'est surtout sur les personnages que Gore Verbinski s'est fait plaisir. Tout en restant dans un univers décalé où les personnages sont incarnés, on retrouve les archétypes des personnages de western (comme le quatuor d'hibou narrant l'histoire en la chantant ou le personnage avec une flèche dans l’œil). D'une manière générale, cette plongée dans l'ouest est séduisante.
    L'histoire, dans un style un peu fantasque, un peu hommage aux westerns spaghetti fonctionne de manière très décente.
    Les scènes d'action sont vachement cools pour un dessin animé : la scène de course poursuite entre les chauves-souris et le chariot est vachement classe.
    La musique d'Hans Zimmer est très prenante, digne de blockbusters avec une orchestration qui se trouve dans la longues tradition des thèmes mythiques à la Ennio Morricone.
    Le doublage en version original marche bien dans l'ensemble, avec surtout la voix de Johnny Depp, qui est parfaite pour ce rôle. À croire que le rôle a été écrit en pensant fortement à l'acteur. On retrouve les personnages fantasques qu'a incarné l'acteur (entre Jack Sparrow de la saga Pirates des Caraïbes et Raoul Duke de Las Vegas Parano). Ce personnage est extrêmement sympathique à suivre (dans son auto-conviction qu'il est un héros).
    Les adultes devraient y trouver leurs comptes (entre les touches d'humour moins enfantines et les références à Las Vegas Parano ou au personnage sans nom incarné par Clint Eastwood dans la trilogie du dollar de Sergio Leone). Et l'animation et les péripéties devraient également séduire les enfants.
    Le film se différencie tout de même des autres productions de dessins animés (comme Disney ayant un peu tendance à réutiliser souvent la même formule) et offre quelque chose d'assez original.
    Sans être un chef-d'oeuvre (le film n'offre tout de même pas la sensation de merveille qu'offrait Disney lors de sa grande époque ou l'émotion que procure un dessin animé Pixar), ce dessin animé est très sympathique et bien rythmé et propose une alternative aux grands studios d'animation.
    koesys
    koesys

    4 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2019
    Navigue entre animations grandioses et dialogues graveleux, finit par perdre son équilibre précaire sur un fil tressé de clichés, et plonge dans des leçons de morale incertaines, bizarrement religieuses, sans punir les immoralités réelles : spoiler: Depuis quand, dans un film jeunesse, pardonne-t-on un parent qui bat ses enfants, et un monstre sanguinaire avide de menaces et d'intimidations ??
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2019
    Qui aurait cru que les tribulations d’un lézard tombé de son bocal donneraient lieu à un chef-d’œuvre ? Tel est pourtant le cas à la considération de Rango qui s’empare avec une grande malice des codes usés du western américain pour en livrer une relecture à la fois ludique et polémique. La puissance ludique, d’abord, réside tout entière dans le déferlement de situations cocasses souvent imprévisibles que des dialogues ciselés entretiennent à merveille : le doublage que propose Johnny Depp au personnage éponyme assure la fragilité de ce dernier et bâtit une passerelle pertinente entre ce film et les autres réalisations de Gore Verbinski, notamment Pirates des Caraïbes et The Lone Ranger. Nous retrouvons également Hans Zimmer à la musique qui se déchaîne et offre ainsi une partition où les idées fusent, marquées notamment par la reprise de grands classiques de l’histoire de la musique (par exemple, « Le Beau Danube bleu » de Strauss, rejoué avec grâce lors d’une scène de course-poursuite en plein canyon). Et que dire de l’imagerie du métrage, incroyable ? Les plans iconiques se suivent sans quitter le récit qui les fonde, attestent le génie de Verbinski en matière de composition artistique et rythmique. Mais Rango délivre également un puissant pamphlet environnemental contre l’homme exploitant la nature pour la plier non à ses besoins mais à ses désirs : une ville en plein désert apparaît tel un mirage, reflet certain de Las Vegas et, plus généralement, de la propension de l’humain à dévaster le sol qui l’a vu naître. La très grande force du film réside alors dans le refus du cinéaste de transformer son petit lézard en shérif écologiste : comme l’indique Clint Eastwood, personne ne sort de son histoire. Et l’histoire de Rango n’est pas d’agir sur le monde, mais d’agir sur son monde, aussi microcosmique soit-il. Parce qu’elle refuse la facilité et la grandiloquence si fréquentes dans les films d’animation actuels, l’œuvre ne trompe jamais son public et permet aux enfants et aux adultes de cohabiter : son espace est un terrain neutre où le haut rencontre le bas, la philosophie existentialiste le graveleux le plus scatologique, l’action l’émotion. Verbinski creuse son propre sillon artistique dans la terre asséchée du western qu’il revigore de son passage tout en attestant la fragilité de la vie et l’importance de l’espoir. Géant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 mai 2019
    Humour noir décapant pour un western d’animation fantasque et parodique.
    Un caméléo- Depp qui nous en fait voir de toutes les couleurs.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    351 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2019
    Après nous avoir démontré son indéniable talent avec Pirates des Caraïbes, Gore Verbinski se lance dans l’animation, un style très différent du ciné live, mais dont il rend les plus belles lettres de noblesse. Pour un mec qui n’a jamais mit les pieds dans le plat, la performance est d’autant plus remarquable. Au premier abord, Rango est graphiquement comparable au travail de Dreamworks, soigné et précis. Mais à force de visionnage on réalise qu’il s’agit là de la Rolls en matière d’animé, une pépite du far west dans un monde de lilliputiens. Ce personnage à lui seul est une pépite. C’est l’exemple type du parfait lambda qui, de mésaventures en rebondissements devient une sommité dans son milieu. Il part de rien, et par son ingéniosité et son talent, finit par se créer une place de choix. Rango n’est même pas son nom, car il n’est personne, un simple lézard retenu en captivité dans un vivarium. Mais lorsque la liberté s’offre à lui, il réalise qu’elle l’emprisonne autant que sa cage de verre. Sur ces terres arides où rien ne pousse, l’eau est la seule monnaie d’échange, l’or véritable, celui qui apporte la vie. C’est au grade de sheriff que lui incombe la plus périlleuse mission : ramener l’eau sur les terres désolées de Poussière, cette ville fantôme où subsiste une poignée de braves. Une fois encore je m’attarderai sur la magnificence graphique de l’œuvre, car à elle seule, elle apporte un réel dynamisme, une profondeur de contraste. C’est une prouesse, il faut le reconnaitre. Autre point d’intérêt non négligeable est le travail réalisé sur le personnage central, à savoir ce lézard bébête sortit de nulle part, jouant la vie comme un rôle secondaire. Sait-il seulement qui il est ? Moi je sais ce qu’il est : drôle, attachant, et finalement débrouillard pour un imposteur. C’est un antihéros néanmoins plus malin que les grosses brutes de l’ouest. L’influence inimitable de Johnny Depp est omniprésente, et plus précisément Bruno Choël pour le doublage français. Doublage magistral, je tiens à le souligner, régit de bout en bout par une drôlerie sans égale et l’art de la réplique à point nommé. Un hommage aux westerns spaghettis haut en couleur, dénonçant au passage quelques aberrations du monde moderne, notamment la ville de Las Vegas qui à elle seule consomme en moyenne mille litres d’eau par jour et par habitant. De quoi illustrer la désertification alentours. Avec Rango, on tend à s’éloigner de l’archétype habituel visant un public jeune. Les dialogues sophistiqués et le message sont autant de richesses pour le cinéphile avisé de grand divertissement. Une référence marquante en la matière. Génialissime ! 5/5
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