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Romain Pinel
38 abonnés
696 critiques
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3,5
Publiée le 11 septembre 2016
Ce film n'est pas aussi raté que le daubesque "Volcano" mais c'est pas non plus un incontournable du genre , j'en viens même à me demander si le genre a un incontournable ,c'est vrai comment ne pas tomber dans le cliché avec une catastrophe naturelle ? Hum en se creusant la cafetière plus de 10 minutes ? Oui surement un truc dans ce goût là.En tout cas si le scénario ne réserve aucune surprise au moins le contexte est crédible : un village sur une montagne.Niveau personnage c'est tellement du déjà vu qu'on n'écoute les dialogues qu'a moitié : femme divorcée , scientifique en deuil , d'ailleurs les gens ne le croient pas le scientifique quand il dit que la montagne va exploser mais bon y aurais pas de films sinon^^.Les scènes de catastrophes sont assez bien faites , niveau fx rien à dire si ce n'est qu'ils devraient réviser leur géologie pour voir qu'un volcan coule ou explose , pas les deux.Sinon c'est bouffi de bons sentiments mais avec Linda Hamilton et Pierce Brosnan ça passe plutôt bien.Et dans l'ensemble c'est un film sans surprises qui divertit à moitié.
Un film castastrophe réaliste et passionnat, réaliser par un très bon Roger Donaldson. Les effets spéciaux sont réussit, tout comme l'histoire térrifiante et l'interprétation juste et impeccable de Pierce Brosnan toujors incroybale. Un bon film qui fait passer un moment intense autour de ce Pic de Dante.
Un film que j'ai vu au début des années 2000 quand j'avais a peu près une dizaine d'année. J'avais vu ce film avec mon père et je l'ai toujours gardé en tête. Maintenant on est en 2015, j'ai 23ans, je viens de revoir ce film et je me demande vraiment pourquoi Le Pic De Dante a une note de 2,2 sur 5 car c'est de loin un des meilleurs de ce genre.
Sinon j'adore le mix entre James Bond et Terminator, les deux acteurs jouent très bien, tout comme les autres que se soit les collègues de HARRY ou les concitoyens de RACHEL.
Ce film a déjà 20 ans et il vieilli plutôt bien, sans grand effets spéciaux comparé aux films d'aujourd'hui ou l'image de synthèse nous saute aux yeux, l'un des meilleurs dans sa catégorie. Pierce. B et Linda. H sont convaincant et l'histoire intéressante.
Réalisé par l'inégal Roger Donaldson, "Dante's Peak" est un film catastrophe classique mais efficace. Ici, un scientifique est envoyé dans une petite ville paradisiaque pour surveiller un volcan suspicieux, qui va évidemment rentrer en éruption. Entre deux James Bond, Pierce Brosnan est convaincant en géologue qui fonctionne à l'instinct, face à une Linda Hamilton qui évite le cliché du maire conservateur et politicien véreux façon "Jaws", en jouant une "maire" de famille. On apprécie les effets visuels réussis, et le travail de recherche des scénaristes, puisque, malgré des invraisemblances, de nombreuses conséquences possibles d'éruptions ont été intégrées au film (coulées de lave, bombes, nuées ardentes, coulées de boue, cendre...). Cela donne lieu à des péripéties prenantes mais un tantinet courte (l'ensemble dure 1h40). Ainsi, "Dante's Peak" remplit son contrat, et s'avère bien supérieur à son "concurrent" sorti 2 mois après, "Volcano".
Un film médiocre. Un excellent casting, de bons dialogues, de beaux effets spéciaux, le jeux des acteurs est sublime, le film est original et en manque pas de dynamisme. Malgré tout j’ai trouvé le scénario assez plat, et malgré que la réalisation soit réussi, l’histoire reste très prévisible et il n’y a aucunes surprises. Pour cela j’ai trouvé le fil plutôt moyen.
« Le pic de Dante » réalisé en 1997 par Roger Donaldson (« la mutante », « Burt Munro ») ne révolutionne certes pas le film catastrophe. Pour autant, il n'est pas dénué d'intérêt et reste un divertissement de bonne facture. Le scénario est extrêmement classique et respecte tous les codes du genre. Ainsi, le début est un peu long et manque d'action. Il faut laisser le temps au scénario de présenter les personnages et de mettre en place les ingrédients qui mènent inévitablement à la catastrophe finale. Cette dernière se dessine petit à petit et finit par exploser sous la forme d'une énorme et spectaculaire éruption volcanique. Les effets spéciaux sont tout à fait acceptables et bénéficient visiblement d'un budget confortable. Les acteurs participent également à la réussite de ce petit film sympathique. C'est d'ailleurs un plaisir de retrouver l'actrice Linda Hamilton (« Terminator ») trop rare sur les écrans pour mon goût personnel. Bref un petit film réussi pour une bonne soirée pépère.
des séquances impossibles + des anachronismes + des inexplications + de l'action a tout va + des effets spéciaux grandioses + des séquances très émouvantes = un film Américain correct mais sans +^^
La liste des volcans dans les films catastrophe est très fournie, mais "Le pic de Dante" se détache un peu, surtout me semble-t'il, grâce à Pierce Brosnan.
Brosnan faisant une pause à Bond en s'essayant dans un film catastrophe. Le résultat est convainquant, bourré de suspence et d'efficacité qui raviront les passionnés du genre comme moi.
On a envie de pousser un coup de gueule sur "Le pic de Dante". Parce que ce n'est rien d'autre que l'application laborieuse de tous les poncifs du film-catastrophe. Les effets spéciaux spectaculaires ne font pas oublier le schématisme extrême des personnages (le volcanologue qui a évidemment souffert, la jeune divorcée qui DOIT lui tomber dans les bras à la fin, le "méchant" volcanologue qui DOIT se faire tuer dans la catastrophe), et des situations (Dialogue: "je vous dis que ce volcan va sauter" - "ne cédons pas à la panique, cher Monsieur, des intérêts commerciaux sont en jeu", palabre interminable, faux suspense et devinez qui a raison...). Inutile de s'attacher à qui que ce soit d'autre que les deux héros et les enfants, les autres personnages ont un sursis tatoué sur le front. Bref, c'est prévisible et ordinaire. Les scénaristes, incapables de rendre leurs personnages intéressant, s'attardent sur des situations lamentables. Roger Donaldson, technicien efficace mais borné, se veut sérieux et ne parvient pas à se sortir de la banalité : on en a plein la vue, mais on s'ennuie. Dommage. Parce que certaines scènes valent le détour.