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Plongée sans concession dans la violence des banlieues londoniennes, "Harry Brown" glace parfois les sangs. (...) Le jeune Daniel Barber filme Caine comme un Dieu vengeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
(...) la mise en scène clinique de Daniel Barber, alliée à une photographie traduisant admirablement l'atmosphère de désolation et de dépression du récit, élève "Harry Brown" bien au-dessus du statut de vigilante qui pourrait être le sien.
La critique complète est disponible sur le site Impact
D'emblée, on songe aux films de justicier avec Charles Bronson, mais ce thriller choc fait aussi écho au "Gran Torino" de Clint Eastwood et au cinéma de Ken Loach dans son approche sociale en prise avec la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le film n'est pas facile, loin de là, mais mérite amplement une vision objective et sans oeillères, ne serait-ce que pour tordre le cou à des critiques aiguisant déjà leur hache pour le décapiter en place publique comme ce fut le cas avec la saga de Paul Kersey.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
La photographie a beau être efficace, à la caricature et à l'invraisemblance du scénario s'ajoute le fascisme du message: jetez vos lames. Seules parlent les armes à feu!
La critique complète est disponible sur le site Positif
Plus que sa complaisance dans des schémas douteux, c'est sa duplicité forcenée, son refus de s'assumer comme le pur produit d'un fonds de commerce, qui flingue "Harry Brown" aussi sûrement qu'une balle de Dirty Harry - même dans le pied.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'alibi du réalisme – décor sordide à souhait, filmage chaotique (et images au téléphone portable) – ne tient pas. Si l'on y regarde de plus près, chaque élément de ce pseudo-polar social est complètement factice.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'émotivité de son personnage coïncide d'ailleurs avec une sorte d'emphase formelle qui décrédibilise toutes les situations filmées. Ce contre-emploi signe l'échec de ce "Harry Brown", épaisse fiction sécuritaire, jamais à court d'une outrance (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaroscope
Plongée sans concession dans la violence des banlieues londoniennes, "Harry Brown" glace parfois les sangs. (...) Le jeune Daniel Barber filme Caine comme un Dieu vengeur.
Le Parisien
Jeune cinéaste britannique, Daniel Barber signe un thriller intense et ambitieux, où la violence brutale est montrée sans complaisance.
Charlie Hebdo
(...) le film n'est pas exempt de défauts (...) mais son jusqu'au-boutisme lui permet de résister aux sirènes confortables du déterminisme social.
Impact
(...) la mise en scène clinique de Daniel Barber, alliée à une photographie traduisant admirablement l'atmosphère de désolation et de dépression du récit, élève "Harry Brown" bien au-dessus du statut de vigilante qui pourrait être le sien.
Le Point
Voir la critique sur le site lepoint.fr
Télé 7 Jours
D'emblée, on songe aux films de justicier avec Charles Bronson, mais ce thriller choc fait aussi écho au "Gran Torino" de Clint Eastwood et au cinéma de Ken Loach dans son approche sociale en prise avec la réalité.
20 Minutes
A 77 printemps, Sir Michael Caine est toujours vert.
Brazil
Le film n'est pas facile, loin de là, mais mérite amplement une vision objective et sans oeillères, ne serait-ce que pour tordre le cou à des critiques aiguisant déjà leur hache pour le décapiter en place publique comme ce fut le cas avec la saga de Paul Kersey.
Metro
Dérangeant, parfois excessif, mais pas sans motif.
Première
(...) Le tout est sombre, sec et sans espoir. Du bon ouvrage.
Télérama
De clin d'oeil en clin d'oeil, on constate que ce polar, par ailleurs sec comme un coup de trique, n'est rance qu'en apparence.
Excessif
(...) il y a suffisamment d'action et de rebondissements pour donner un thriller honnête mais sans conséquence.
Positif
La photographie a beau être efficace, à la caricature et à l'invraisemblance du scénario s'ajoute le fascisme du message: jetez vos lames. Seules parlent les armes à feu!
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCine Live.
Critikat.com
Plus que sa complaisance dans des schémas douteux, c'est sa duplicité forcenée, son refus de s'assumer comme le pur produit d'un fonds de commerce, qui flingue "Harry Brown" aussi sûrement qu'une balle de Dirty Harry - même dans le pied.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
L'Humanité
L'alibi du réalisme – décor sordide à souhait, filmage chaotique (et images au téléphone portable) – ne tient pas. Si l'on y regarde de plus près, chaque élément de ce pseudo-polar social est complètement factice.
Le Monde
L'émotivité de son personnage coïncide d'ailleurs avec une sorte d'emphase formelle qui décrédibilise toutes les situations filmées. Ce contre-emploi signe l'échec de ce "Harry Brown", épaisse fiction sécuritaire, jamais à court d'une outrance (...).
Libération
(...) Kenloacherie socio-thriller où l'antijeunisme primaire remplacerait l'anticapitalisme rouge.