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    Bronson
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    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    Si beaucoup comparent ce biopic sur l'un des criminels les plus violents en Angleterre au chef d’œuvre de Stanley Kubrick , "Orange mécanique", il n'en est rien. tout juste un hommage dans la stylistique Ultra Violence/ Ralentis Image/ Musique Classique. Mais le roman merveilleusement adapté du roman de Anthony Burgess est d'une autre envergure. Il nous parle d'une société en crise, d'une génération déboussolée, la violence est une parabole malgré son paroxysme, et le langage du romancier est tout simplement une Novlange dont on trouve le glossaire à la fin du roman. Même si Tom Hardy, charismatique, livre une performance époustouflante, même si le parti-pris du danois Nicolas Winding Refn dune image esthétisante ajoute une plus-value au métrage, il manque une évolution scénaristique due tout simplement au sujet lui-même qui s'enferme entre ses barreaux. "Bronson" marque les esprits et ne peut laisser indifférent, mais ne fera pas date dans les annales du cinéma comme le film de l'immense réalisateur qu'était Stanley Kubrick.
    khaled j.
    khaled j.

    8 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2021
    On m'avait vendu ce film comme culte mais j'ai trouvé ce film pas terrible. Le réalisateur nous propose un maximum de violence condensé en 1h30 et je n'ai pas était convaincu par le personnage de Bronson.
    On arrive pas vraiment à savoir pourquoi le personnage est devenu aussi violent étant enfant et ces raisons auraient dû être creusé à mon avis pour donner du cachet au film.
    Je met deux étoiles pour la transformation physique de Tom Hardy.
    Je reste tout de même déçu par le film.
    Sébastien D
    Sébastien D

    111 abonnés 545 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 juin 2021
    Je me suis ennuyé, devant ce personnage à la fois fade et too much. Ses petites crises à crier d'un coup, et en même temps à ne pas arrivé à être convaincant ni interessant, c'était bizarre. Même la performance de Hardy que j'adore, ne m'a pas convaincu du tout.
    JCADAM
    JCADAM

    4 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2021
    Film surréaliste, avec un style bien à part, ou la violence artistique prends une grande place il faut donc adhérer, pour ma part je reste mitigé. Je retiens surtout la grande performance de Tom Hardy qui porte le film, même si parfois c'est dans l'exagération, mais c'est le personnage qui veut ça, car Bronson était un showman. Concernant la mise en scène rien a dire, la caméra est très bien maniée par Refn , qui est accompagnée par une excellente photographie et un jeu de lumière parfait . Cependant le film tourne un peu en rond, on a souvent à faire à la même scène où Bronson se bat avec les gardiens et change de prison, du coup on s'en lasse un peu, on aurait pu par exemple, s'intéressait plus à la vie d'avant de Michael Peterson et à sa personnalité bien particulière . Toutefois quelques touches humoristiques apportent une fraîcheur au film.
    Musomuse
    Musomuse

    9 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2021
    Pour un rôle de composition, il ne s'agit pas du fond du panier. Loin de là.
    De ce que je comprend du film, il n'y a pas de pincette. Tout est crue, avec une mise en scène cherché et ne s'appuyant pas sur des conventions stérile et épuisé.
    Il y a du parti prit, et même si je pense qu'il n'y à pas tant de gens que ça qui s’apostrophent en voyant ce film.
    La formule me rappel un peu la catégorie film pour adolescent. On met des images brutales avec des musiques tout de même jouissif par endroit. Le tout mène à un produit très captivant et pouvant vite faire accrocher un esprit en manque de confiance en soit. Ce qui ne me paraît pas juste malgré le ressenti. Oui le film est brutale mais il a une véritable personnalité du point du cinéma. Ce n'est pas spécialement politique mais vraiment caractérielle.

    En fin de compte, un divertissement et une histoire assez hystériques.
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2021
    Très surpris par Bronson, qui dénote vraiment du reste de la carrière de Nicolas Winding Refn, du moins si je me fie aux films que j'ai vu. En effet, on retrouve encore une fois la violence à outrance et extrêmement bien mise en scène, de façon à nous faire endurer chaque scène comme si on était l'un des personnages. Et vu le nombre hallucinant de scènes violentes qu'il y a, autant dire que le visionnage de Bronson est éprouvant. Cependant, Bronson m'a surpris car ce film a un rythme très rapide et est assez bruyant, alors que ce n'est pas du tout l'habitude de NWR. Le film dure 1h30 et est une succession de scènes où on voit Charles Bronson faire souffrir un maximum de gens. Et tout ceci avec une performance et un investissement de la part de Tom Hardy juste colossal, sûrement l'une de ses meilleures performances à ce jour. De plus, le côté très théâtral du jeu d'acteur de Tom Hardy apporte presque une touche de second degré au film, ce qui le rend assez amusant à voir, alors qu'à priori ça ne l'est pas du tout. Le seul point noir, mais que je trouve assez récurrent chez Winding Refn, c'est que passé la performance de Tom Hardy et la violence de son personnage, on se rend assez vite compte que le personnage de Bronson est assez creux et inintéressant. Cela me donne l'impression que NWR a un réel savoir faire pour mettre en œuvre des films, mais qu'il ne sait pas vraiment ce qu'il souhaite raconter. Chacun de ses films ressemble à un film expérimental, avec des très bonnes idées certes, mais qui ne va pas suffisamment loin pour en faire un total chef d'œuvre (à l'exception peut-être de Drive). Au moins, ce réalisateur a une vraie patte artistique et un style très original et reconnaissable, mais force est de constater que c'est difficile en tout cas pour moi d'adhérer complètement à ses films. Bref, un très bon film, même si comme vous l'aurez deviné, le style de Winding Refn ne peut pas plaire à tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    BRUTAL. Bien filmé, jouissif, merveilleusement interprété... mais où est le sens dans tout ça ? Pendant le visionnage, une même question me tracassait constamment : pourquoi avoir fait ce film ? Par pur sadisme, ou pour dénoncer ? On ne le saura sans doute jamais.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Bronson, c'est l'histoire du plus célèbre bagnard britannique, au départ un dénommé Michael Peterson, convaincu dès son plus jeune âge qu'il était promis à devenir célèbre. Et paradoxalement, c'est en voulant se faire un nom qu'il va oublier le sien pour se faire connaitre sous son nom de scène Charles Bronson, baptisé ainsi par son promoteur de lutte en référence à la star d'Un justicier dans la ville et De la part des copains.
    Pour ce Bronson-là, se pose tout d'abord la question primordiale, comment se faire connaître quand on n'a aucun talent particulier. C'est simple, en cognant le plus de flics possibles, de matons et tout homme en uniforme passant à sa portée.

    Bronson étant un cas à part, il nous est présenté tout d'abord à l'écran comme un véritable artiste, seul sur scène façon stand-up, face à une salle spacieuse aux gradins emplis d'une foule de spectateurs plongée dans l'ombre. Grimé comme un mélange de clown blanc et de monsieur Loyal, il nous narre sa vie et sa quête particulière de reconnaissance qui se fera essentiellement en milieu carcéral et psychiatrique. Le spectateur assiste donc à une succession de séquences en flash-backs, sans véritable fil conducteur, mais relatant avec maestria les heures de gloire de ce bagnard hors du commun.

    Car Bronson c'est avant tout l'histoire d'un mec qui décide de se mettre en scène. Ainsi la place de l'art est prépondérante dans le film. Le protagoniste se raconte de manière surréaliste et sur fond de musique électro-pop. Il refuse les conventions sociales, se rebelle contre l'ordre établi pour sortir de la vie banale qu'il était appelé à mener. Ce n'est pas pour rien qu'il enduit dès qu'il le peut son corps de peinture avant chaque pugilat de masse.

    En regardant Bronson, on pense inévitablement à Orange mécanique. De par son anti-héros, rebelle à toute forme d'autorité, comme à son usage de musique classique pour illustrer des scènes aux antipodes de ce que la morale approuve. Refn s'émancipe pourtant du style Kubrickien, en continuant l'exploration de ses thématiques propres : la solitude, la marginalité et la violence comme exutoire. Sa signature : la prédominance de la couleur rouge, un anti-héros craint de tous, une mise en scène contemplative empruntant autant au style scandinave qu'au cinéma asiatique.
    On pourra reprocher le côté auteurisant et démonstratif du réalisateur, sa volonté affichée d'aller à contre-courant des canons imposés et de chercher systématiquement à surprendre le spectateur, de s'essayer à un exercice de style qui tourne parfois à vide. Mais serait-ce vraiment un reproche ?
    Le seul défaut que l'on puisse trouver à Bronson, c'est son absence de catalyseur et de structure narrative dite classique. Aucun élément ne vient expliquer les raisons premières du protagoniste et de son déchaînement de violence. Sa quête de célébrité ne suffisant pas à expliquer à elle-seule cette rage perpétuelle et toute une vie sacrifiée derrière les barreaux. Ayant eu une enfance dite normale, loin de tout événement traumatique, la psychologie du personnage reste une énigme que le réalisateur n'essaie jamais de résoudre, laissant volontairement aux spectateurs le soin de spéculer sur les véritables raisons du personnage-titre et sur sa seule motivation de la notoriété à tout prix. Ceci ne peut décemment pas expliquer une telle existence. Bronson aurait grandi à notre époque qu'il se serait peut-être lancé à corps perdu dans la course à la célébrité bon-marché véhiculé par la télé-réalité. Bien qu'il n'aurait pas été bon d'entrer en compétition avec lui.
    Mais c'est bien dans l'Angleterre des années 70 qu'il aura essayé de s'émanciper de sa condition. Il est à noter que le prisonnier le plus dangereux d'Angleterre est curieusement vierge de tout homicide. Quand il tente de tuer un de ses co-détenus et qu'il échoue faute d'avoir eu le temps de l'étrangler tout à fait, il désespère et se blâme de ne pas avoir été capable de tuer une seule personne dans sa vie. Comme si le meurtre d'un homme aurait pu ajouter un peu plus à la crainte qu'il inspirait.
    A travers son personnage, c'est donc cette obsession immodérée, cette quête inlassable de reconnaissance que Refn dénonce. Il s'appuie en outre sur un jeune acteur transformiste, Tom Hardy, qui en dehors des vingt kilos qu'il aura pris pour le rôle, livre une interprétation habitée et fascinante du fameux bagnard, tout en démesure et en contradictions. Il est ainsi très amusant de voir son personnage alterner les pugilats les plus brutaux et les politesses serviles lorsqu'il vient à proposer une tasse de thé à un maton ou à s'essuyer longuement les pieds avant de rentrer dans sa nouvelle demeure. Toute la dichotomie de son personnage est là. D'un côté il évolue comme un roi et un guerrier belliqueux dans ce qu'il considère comme son véritable foyer, la prison, de l'autre il se montre tout à fait maladroit et inadapté au monde libre. Il suffit de le voir déambuler dans un paysage urbain en costard cravate une taille trop basse et la démarche chaplinesque pour se rendre compte qu'il jure avec le monde extérieur. Lui-même semblera céder un temps à la promesse illusoire d'une vie normale quand il se croira amoureux d'une femme qui ne l'aime pas. C'est en braquant sur un coup de tête et sans armes une bijouterie pour elle, qu'il finira par reprendre le chemin de son incarcération et se tournera à nouveau tout entier vers son vieux rêve de gloire.
    Et c'est en devenant enfin célèbre hors des murs de sa prison, qu'il s'y retrouve paradoxalement confiné dans un cercueil de métal, des ecchymoses plein la gueule et le corps. A cette notoriété toute relative, à cette réputation d'homme le plus dangereux d'Angleterre, Bronson, en plus d'y avoir sacrifié sa vie passée derrière les barreaux, y aura perdu le peu de liberté qu'il lui restait encore. Du coup, on comprend d'autant mieux que le Bronson qui s'agite sur scène à certains moments du film, n'est rien d'autre qu'une projection mentale du Bronson final se remémorant en flash-back toute une existence passée dont le traitement surréaliste de Refn met en cause la véracité.
    Mais comme le disait John Ford au travers de L'homme qui tua Liberty Valence : "Si la légende est plus belle que la réalité, imprimez la légende".
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2020
    Je ne sais pas exactement ce que ce film veut nous apprendre sur Charles Bronson. Tout ce que j'ai appris sur lui c'est qu'il est un sociopathe extrêmement violent et égocentrique qui vit dans un monde tragique et fantasque. Rien d'autre n'a été proposé aucune profondeur cachée n'a été révélée. En fin de compte il n'était qu'un idiot sadique et violent. La quantité de scènes extrêmement violentes devient douloureusement fastidieuse. Bronson a été montré comme un idiot maladroit qui méritait tout ce qu'il a reçu. Je n'adhère pas à la propagande des partisans de Bronson. Bronson est un artiste nous disent-ils. En fait j'ai regardé son soi-disant art en ligne et c'est de la foutaise enfantine sans talent. Même si ce n'était pas le cas je ne vois pas pourquoi cela signifie qu'il devrait être libéré. Peut-être que ses partisans devraient essayer d'être pris en otage par lui pendant 40 heures. Bronson est chaleureux et drôle nous disent-ils. Bronson et comme les autres psychopathes chaleureux jusqu'à ce qu'ils vous détestent et utilisent cela comme justification pour vous taper sur la tête. Je ne vois pas pourquoi Nicolas Winding Refn aurait dû faire faire un film sur lui surtout un film qui n'a pas de sens. Après avoir vu le film j'espère qu'il restera là où il est enfermé sain et sauf...
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    Je suis particulièrement déçu... Car Nicolas Refn et Tom Hardy, ça annonçait du lourd. Mais le jeu de Tom Hardy est très limite, la réalisation est très simple, le rythme est lent...
    Je trouve dommage d'avoir centré le film sur la prison. Sa "transformation" est bien trop rapide, et il aurait cool d'avoir une allusion à sa secte, même si cela arrive plus tard.
    Je cherchais à en savoir plus sur le personnage, mais je n'ai rien appris. J'ai juste l'impression d'avoir une fiction inspirée d'Orange Mécanique, comme si Bronson n'était qu'un prétexte... Limite si "Once Upon a Time in Hollywood" de Tarantino en apprenait plus sur Bronson que le biopic lui-même.
    Shelby77
    Shelby77

    168 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Je ne m'attendais pas à une œuvre aussi satirique. Sous forme de one man show on assiste à l'histoire du célèbre prisonnier britannique. Je n'ai pas du tout accroché à cette histoire racontée avec humour noir. La performance de Tom Hardy ne sauve pas le film.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 février 2020
    ''L'art doit être un acte de violence'' : Comment ne pourrais t'on pas mieux résumer le cinéma si particulier et fascinant de Nicolas Winding Refn. Ces moments contemplatifs d'une violence esthétisée des derniers travaux du Danois, m'ont emmené inévitablement à découvrir les débuts du mythe.

    *Bronson* sorti en 2009 marque les premières pierres d'une véritable couleur qui marquera les *Valhalla Rising*, *Drive* ou *Only God Forgives* qui sortiront par la suite. Ici, Winding Refn raconte l'histoire du prisonnier le plus violent de Grande-Bretagne : le redoutée et mystérieux Charles Bronson, interprété par un Tom Hardy habité. Un biopic excentrique, violent, stylisé et qui pose une certaines vision de la société et de l'art.

    Nicolas Winding Refn touche à l'univers carcérale sombre et violent, en revisitant à sa sauce la folie profonde d'un *Orange mécanique*. Une carrure imposante, une boule à zéro et une moustache parfaitement taillé pour un homme assoiffé de violence. Celle-ci est la seule source de reconnaissance pour un homme sans projets et sans désirs, si ce n'est celui de choquer et de dominer. Peut-on voir une véritable passion au cœur de ces affrontements derrière les barreaux ? Oui, mais une passion qui ne s'exerce uniquement si une forme d'autorité est ambiante : la prison est le monde parfait pour Bronson.
    La société extérieur dans sa liberté et son laxisme pur ne peut convenir au colosse. Le véritable intérêt de se battre est celui d'être dominé et attaqué en retour : agresser les gardes pour être ensuite envoyer en cellule d'isolement. Une routine et un exercice quotidien satisfaisant pour un homme traiter tel une bête sauvage.

    L'asile psychiatrique et bien trop planant et inintéressant pour Bronson. Derrière ses lunettes noirs, le colosse ne pense qu'à une seule chose : attaquer l'autorité pour être ensuite calmé par celle-ci. Une vision quelques-peu interrogative quant à son réel intérêt certes, mais qui montre ici le vrai pouvoir de mise en scène de Nicolas Winding Refn. La contemplation et l'addiction procurée des scènes violentes est toute autant passionnante que lorsque Bronson raconte son histoire dans un one-man show mystérieux et poétique.

    Les figures autoritaires armés de leurs matraques étudie un Chales Bronson s'exprimant par la violence et se calmant par l'art. N'est t-il pas ici question d'une vision personnelel de notre société par le réalisateur Danois ? Déguisant un otage en Salvador Dali le tout sur de la musique classique, Charles Bronson trouve sa paix intérieure en l'identité de la créativité. Un moyen de quitter sa petite case pour s'émanciper et voyager à travers d'autres cases. C'est simplement ici la vision normale que l'art amène aux humains. La violence ambiante de Bronson n'est que sa façon simpliste de vivre, sa passion quotidienne qui le maintient en vie.

    Mais *Bronson* fait quand même rapidement le tour de sa grande case artistique. Le dangereux prisonnier provoquant et attaquant en retour les indénombrables gardes est la scène récurrente et qui s’avère poser les certaines limites du long-métrage. Mais le visage ensanglanté et possédé de Tom Hardy sublimé par la réalisation colorée et violente de Nicolas Winding Refn arrivent à nous marquer par ce biopic quelques-peu fantaisiste et imaginaire d'un réalisateur passionné par la violence saisissante des humains. Le tout admiré par une figure autoritaire passive et désabusée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2020
    Un biopic sur un boxeur quelconque rencontré dans la rue, en plein banlieue peripherique, par l’équipe du film, à découvrir et en faire toute une vie ? Non, c’est sur le détenu qui a purgé sa peine aussi longtemps dans l’histoire anglaise.
    L’enfermer afin de le corriger et contraindre de toutes ses restrictions aux yeux de la loi possible si nécessaire, c’est un vol au dessus d’un nid de coucou dans la cours des grands chef-d’œuvre, le fou du roi, de la Reine d'Angleterre, majesté.....

    Attire votre attention, je vous en pris de vouloir prendre en compte les conspirateurs comploteurs, déjouant-les, leurs plans machiavéliques pour la sécurité de l’état, en sûreté autoritaire policier représentant force de l’ordre, sauvez-vous...... préservée votre intégrité......!
    Et bien sûr l’homme qui rit à la folie, rend son spectacle sur scène encore meilleur à destination d’un public hypnotisé, charmé, électrisé, immobilisé, fixant la date de ce regard maquillé en clown pour le prisonnier numéro matricule au marge de la société.

    Enfance heureuse, élève modèle, modeste, reservé, taciturne, gavé par parents effacés absents, aux réunions de professeurs pour rectifier la règle formatée de ce gosse mal aimé de toute la classe, pauvre gamin bizuté boxé.
    Une cocotte minute bouillante joué par le balèze Tom Hardy, magistral Joker rôle parallèle univers, l’impression fascinante de quelque chose en lui soit génial, la machine à voyager dans le temps s’arrête un instant en 2009, chez Nicolas le danois metteur en scène.

    Une vision claire s’affirme illuminée !.... Il se prend pour une star du cinéma américain, le bad boy hot show Englishman, cet homme statue dieu du stade calendrier pompier éteint incendie, est une œuvre d’art de ouf, un style studio d’enregistrement Manchester Liverpool zik au passage piéton.
    Hey dude darling don’t worry about that all money....... what’s in real life ? Le film énoncé social pas l’homme en question, les règles réglementaires règlements réglementées règlent tout, une victime du système arbitrage match sportif douteux.

    Payer sera pour les oiseaux-mouches pigeonniers dans la boutique bling-bling, les anti-systèmes marginaux insoumis concitoyens à l’écart du reste commun mortel, immenses sourires super-vilaines comiques absurdes.
    bobbyfun
    bobbyfun

    43 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2020
    NWR a au moins le mérite de rendre sa réalisation aussi torturée que l'esprit de son personnage. Reste l'incroyable prestation de Tom Hardy.
    Arthur c
    Arthur c

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    Très surfait, bourré de "voice over", aucun caractères reconnaissables chez les matons et autres, je n'ai pas tenu très longtemps...
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