Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Excessif
par David A.
(...)L'on peut juste regretter quelques longueurs ici et là qui nuisent au rythme mais l'essentiel est là, le film à bon goût et se savoure jusqu'à la dernière scène, véritable cerise sur le gâteau.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Anthony Palou
Estomago ("estomac" en brésilien), ode à la gastronomie du quotidien, est un film bien singulier, captivant, cocasse, tendre et dérangeant qui ne manque vraiment pas de sel philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Dominique Martinez
Le récit dédoublé (...) épaissit le temps du film, qui ne tranche que tardivement la question de l'antériorité d'une histoire sur une autre. Et quand les deux se rejoignent, la narration est devenue une formidable fable sur le pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un scénario ne manquant ni de fiel ni de poivre, tout en humour mordant. Seule la mise en scène, trop souvent bloquée à feu moyen, manque de cette folie pimentée qui eut totalement enflammé nos papilles cinéphiles.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
Estomago évoque Le Festin de Babette, pour les vertus sociales de la bouffe, et la comédie à l'italienne, pour la truculence. (...) Jusqu'au bout, cette fable tragi-comique se révèle agréablement pimentée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Au menu : leçons de cuisine pas chère, érotisme sorti du frigo et pas de première fraîcheur, conclusion morale qui ne mange pas de pain. Pas vraiment de quoi se taper le ventre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Isabelle Danel
(...) une fable à deux niveaux de flash-back, l'univers du restaurant et celui de la prison (...) Le problème, c'est que le scénario tient sur un bouillon Kub. Et que les personnages, de la prostituée gourmande au caïd régnant sur sa cellule, n'existent pas au-délà de leur archétype.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Julien Welter
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Excessif
(...)L'on peut juste regretter quelques longueurs ici et là qui nuisent au rythme mais l'essentiel est là, le film à bon goût et se savoure jusqu'à la dernière scène, véritable cerise sur le gâteau.
Le Figaroscope
Estomago ("estomac" en brésilien), ode à la gastronomie du quotidien, est un film bien singulier, captivant, cocasse, tendre et dérangeant qui ne manque vraiment pas de sel philosophique.
Positif
Le récit dédoublé (...) épaissit le temps du film, qui ne tranche que tardivement la question de l'antériorité d'une histoire sur une autre. Et quand les deux se rejoignent, la narration est devenue une formidable fable sur le pouvoir.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un scénario ne manquant ni de fiel ni de poivre, tout en humour mordant. Seule la mise en scène, trop souvent bloquée à feu moyen, manque de cette folie pimentée qui eut totalement enflammé nos papilles cinéphiles.
Télérama
Estomago évoque Le Festin de Babette, pour les vertus sociales de la bouffe, et la comédie à l'italienne, pour la truculence. (...) Jusqu'au bout, cette fable tragi-comique se révèle agréablement pimentée.
Critikat.com
Au menu : leçons de cuisine pas chère, érotisme sorti du frigo et pas de première fraîcheur, conclusion morale qui ne mange pas de pain. Pas vraiment de quoi se taper le ventre.
Le Monde
Un peu vain.
Première
(...) une fable à deux niveaux de flash-back, l'univers du restaurant et celui de la prison (...) Le problème, c'est que le scénario tient sur un bouillon Kub. Et que les personnages, de la prostituée gourmande au caïd régnant sur sa cellule, n'existent pas au-délà de leur archétype.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr