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Entre comédie décalée et film de genre, Sweet Valentine joue avec les archétypes pour s'imposer comme un road movie original porté par deux acteurs délicieux, Vincent Elbaz et Vanessa David.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Une lointaine cousine de Gelsomina pour héroïne, des truands débiles à la Coen Brothers, du mélo latino et une palette de couleurs empruntés à Almodovar, un doigt de surréalisme belge, un zeste de burlesque glacial et compatissant à la Kaurismaki. Même si son originalité réelle se perd un peu dans cet exercice de style sophistiqué, du moins fait-elle ses gammes en bonne compagnie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Emma Luchini, fille de, dont le court métrage Sur ses deux oreilles évoquait, déjà, la comédie à l'italienne des années 1960, fourmille d'idées formelles. (...) tout contribue, chez elle, à mêler adroitement, et avec humour, violence stylisée et dérision légère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La désinvolture de l'intrigue, la superficialité des personnages, l'originalité élevée au rang de principe opératoire laissent pourtant le spectateur sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le genre de film sous coke ou sous amphés qui glousse autant d'autosatisfaction que ses personnages. (...) Bref très peu de bruit pour pas grand-chose.
Entre poésie lunaire et humour fantasque, elle tente d'installer une atmosphère venue d'ailleurs qui serait comme une marque de fabrique de la famille. Mais elle ne réussit que par bribes à nous embarquer dans le sillage de son univers incongru.
On a du mal à voir où la réalisatrice veut en venir (...) Elle a certes un univers (...) Son défaut? Une fâcheuse tendance à meubler, faute de substance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Pour son premier film, Emma Luchini cherche à jouer la carte d'un humour cynique et décalé. Le manque d'originalité dans le scénario et de mise en scène conduit tout droit au nanar prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Filmsactu
Entre comédie décalée et film de genre, Sweet Valentine joue avec les archétypes pour s'imposer comme un road movie original porté par deux acteurs délicieux, Vincent Elbaz et Vanessa David.
Télé 7 Jours
Pour son premier long-métrage, Emma Luchini (...), signe, tempo battant et humour noir en bandoulière une farce tragi-comique décalée et attachante.
Le Figaroscope
Une lointaine cousine de Gelsomina pour héroïne, des truands débiles à la Coen Brothers, du mélo latino et une palette de couleurs empruntés à Almodovar, un doigt de surréalisme belge, un zeste de burlesque glacial et compatissant à la Kaurismaki. Même si son originalité réelle se perd un peu dans cet exercice de style sophistiqué, du moins fait-elle ses gammes en bonne compagnie.
Télérama
Emma Luchini, fille de, dont le court métrage Sur ses deux oreilles évoquait, déjà, la comédie à l'italienne des années 1960, fourmille d'idées formelles. (...) tout contribue, chez elle, à mêler adroitement, et avec humour, violence stylisée et dérision légère.
Elle
Le problème tient à la place des dialogues et à la platitude du filmage.
Excessif
Conte de fées tordu et déréglé.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Monde
La désinvolture de l'intrigue, la superficialité des personnages, l'originalité élevée au rang de principe opératoire laissent pourtant le spectateur sur sa faim.
Les Inrockuptibles
Le genre de film sous coke ou sous amphés qui glousse autant d'autosatisfaction que ses personnages. (...) Bref très peu de bruit pour pas grand-chose.
Ouest France
Entre poésie lunaire et humour fantasque, elle tente d'installer une atmosphère venue d'ailleurs qui serait comme une marque de fabrique de la famille. Mais elle ne réussit que par bribes à nous embarquer dans le sillage de son univers incongru.
Positif
Sweet Valentine n'offre que le spectacle troublant d'une cinéaste qui manque d'espace pour s'exprimer dans son propre film.
Première
On a du mal à voir où la réalisatrice veut en venir (...) Elle a certes un univers (...) Son défaut? Une fâcheuse tendance à meubler, faute de substance.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Humanité
Du cinéma gadget.
TéléCinéObs
Pour son premier film, Emma Luchini cherche à jouer la carte d'un humour cynique et décalé. Le manque d'originalité dans le scénario et de mise en scène conduit tout droit au nanar prétentieux.