Laurent Bataille et Pascal Fontaine ont assigné Les Cahiers du cinéma ainsi que le site Arrêt sur Images en justice pour avoir diffusé le film sur Internet. L'accusation porte sur le fait que des images de cinq ex-employés de "Y'a que la vérité qui compte", l'émission dont les dessous sont révélés dans 20 minutes de bonheur, auraient été utilisées par les réalisateurs sans en avoir l'autorisation. Ils souhaitaient que la diffusion du documentaire soit interdite, se déclarant insatisfaits du résultat. Leur requête a finalement été refusée en novembre 2007, fait entraînant l'autorisation de la diffusion en salles.