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Un visiteur
2,5
Publiée le 21 janvier 2012
Dommage que le film s'achève avant de relater le voyage à Hambourg, l'un des épisodes les plus important de l'adolescence du Nowhere Boy et qui fit de lui John Lennon, le leader du plus grand groupe de tous les temps.
trés intéressante cette part de vie de john lennon, j'ai adoré le clin d'oeil : quand john ivre veut rentrer à "the cavern", le videur lui dis "même pas en rêve"....
Film vu sur canal plus et par hasard et également agréablement surpris ! Une belle histoire qui retrace l'enfance difficile d'un jeune homme qui deviendra une légende John Lennon ! Bref touchant
J'ai bien envie de dire que j'aime mais je dois avouer que je suis plutôt déçu par ce biopic. Si le personnage s'était prénommé Robert, le film aurait été identique. Le fait que ce soit sur John Lennon n'apporte rien malheureusement. La bande originale est magnifique, l'ambiance qui règne également mais l'ensemble est selon moi moyen. C'est dommage!!
Tellement plaisant ! J'ai appris une partie de la vie de John Lennon qui m'était encore inconnue. Pendant 1h38, Sam Taylor-Wood nous plonge dans un univers rétro terriblement attachant. Aaron Johnson joue à merveille ce rôle de jeune adulte un peu revêche, chapeau. "Nowhere Boy" nous amène dans son monde, au point qu'il est dure d'en sortir par la suite. Un film d'une fraîcheur qui fait du bien. J'ai passée un très bon moment de cinéma. Bref, les mots ne me viennent plus, J'ADORE.
Voilà un biopic assez agréable sans flonflon et violon sirupeux. Une tranche de vie de John Lennon qui m’était inconnue. J’aime assez les biopic s’ils sont honnêtes et dispensés de romances ou de rajouts inutiles. Peu m’importe le traitement, le biopic est là pour m’apprendre un pan de la vie d’un personnage. Après j’accroche ou n’accroche pas. Ce n’est pas la faute au personnage, c’est la faute au réalisateur. Ici, la réalisatrice s’est attachée à nous conter l’adolescence difficile et perturbée de John Lennon. Tiraillé entre sa tante sèche et sévère et aux sentiments d’une pudeur « ridicule » qui l’a élevé et sa mère, légère, insouciante et immature. À cela s’ajoutent : un mauvais élève et un voyou ! Pas une fois le mot Beatles n’est prononcé et pour cause, John Lennon et ses compères n’en étaient qu’à leur début et n’étaient pas encore fixés. C’est en cela où le traitement est original. La réalisatrice aurait pu commencer à Hambourg, non, elle a préféré l’avant Beatles. Voilà une copie propre et sans artifice et sans l’obsession de caster un acteur ressemblant.
Biopic un peu fade et surtout très académique sur la jeunesse de John Lennon, « Nowhere Boy » fait partie de ces films que l'on ne garde clairement pas en mémoire, mais qui savent se faire plaisants et sans prétention, si bien qu'on les regarde sans passion mais sans ennui non plus. Bref, pas de grand moment de cinéma vue donc, mais une œuvre un peu plus subtile qu'elle ne paraît et pas dénuée de sensibilité : honnête.
Le film prouve une fois de plus combien il est dur de réaliser un biopic sans tomber dans des formes convenues et de rendre compte d'un personnage assez fort ici J.Lennon de manière assez saisissante souvent, étant tout à fait ignorant du passé de John Lennon le film en apprend beaucoup et le fait plutôt bien avec une belle reconstitution d'époque, l'analyse psychologique à l'inverse du personnage reste peut être un peu superficielle à mon goût.
Réalisé par Sam Taylor-Wood, ce biopic se concentre sur une petite partie de la vie de John Lennon, racontant la jeunesse de l’artiste dans son Liverpool natal et sa rencontre avec les membres du groupe qui deviendront plus tard les fameux Beatles. Tiraillé entre deux femmes et un passé familiale très flou, le jeune John Lennon va tenter de réconcilier sa tante qui l’a élevé et sa mère qui l’a abandonné tout en essayant d’en découvrir un peu plus sur ce qui s’est passé entre ses parents. La première partie centrée sur les 400 coups de John est jouissive et très bien menée, notamment quand elle traite de sa passion pour la musique, c’est dans la deuxième partie autour de ses relations familiales compliquées que le souffle retombe même s’il se réfugie dans la musique, ces scènes-là ne prennent pas assez de place dans l’histoire. La reconstitution des années 50 est excellente tout comme l’univers musical à la fois typique et dansant. Aaron Johnson la révélation de "Kick-Ass" interprète ici un rôle plus complexe à la mesure de son talent, complété par Kristin Scott Thomas dure mais aimante et Anne-Marie Duff lunatique et entrainante, le casting de "Nowhere Boy" a de quoi satisfaire. Un biopic sur la légende vraiment trop léger pour convaincre totalement.
Moais, un biopic peu passionnant à moins qu'on ne soit un fan in-con-di-tion-nel de John Lennon, mais en définitive, son histoire est plutôt triste et banale à la fois. Un gros bof
J'ai bien aimé ce film, un bon moment, avec de bons acteurs. Je ne connaissais rien sur l'adolescence et/ou le début des Beatles, enfin surtout de Lennon en l’occurrence ! Et la bande-originale du film est vraiment bonne ! :D Pourtant, ce film ne restera pas dans les mémoires...
Aucune idée de la vie de Lenon. M'enfin C un bon film Anglais qui fait passer le temps. Les simples fans des Cafards, je vais dire passez votre chemin vous n'appendrez rien (ou vraiment pas grand chose) sur le groupe. Centré sur la mère et la tante de John.
Réalisation fade, sans personnalité ; acteurs mauvais (mention particulière pour Aaron Johnson, pourtant bon dans Kick Ass) et peu crédibles : Nowhere Boy est en résumé une grosse déception !
Il en aura fait pleurer ! Un superbe film, avec d'excellents acteurs notamment Aaron johnsson, une histoire très bien menée u début à la fin, une musique magnifique et une très belle histoire