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karpathakis y
24 abonnés
633 critiques
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5,0
Publiée le 4 mars 2020
Superbe film, intéressant et bien réalisé à tout point de vue. Acteurs justes et attachants. Très bonne reconstitution de l'époque de la fin des fifties. Que puis-je dire de plus, rien. Si, que c'est un chef-d'oeuvre qui évidemment n'intéressera que ceux qui se sentent concernés par la vie de John Lennon, les autres n'aimeront peut-être pas (c'est normal)...
Vu en VO. Ce biopic sur John Lennon adolescent est excellent en tout point! Cette adolescence, a été pour lui très instable, entre la tiraille de deux femmes, sa mère biologique, interprétée par Anne-Marie Duff qui l'a abandonné, lorsqu'il avait à peine 5 ans et sa tante ( Kristin Scott Thomas) qui s'en est occupée entre temps. Cette dernière interprète avec grandeur cette femme au traits de caractères strictes. John Lennon (Aaron Johnson) chercha à s'identifier et s'affirmer comme tout adolescent qui se respecte, en passant par la Règle Fondamentale des années 50: sex, drugs and rock n' roll ! La prestation de Aaron Johnson m'a bluffé! Quel talent dans ses expressions, ses sauts d'humeurs, ses angoisses et ses envies d'aventure et de nouvelles sensations. Son « habitus » en fait de lui un personnage remarquable et plein de caractères. Le réalisateur Sam Taylor-Wood, n'a pas fait les choses à moitiés, en reconstituant à égale distance et minutie, la ville de Liverpool, durant les années 50: bus verts, pub, musiques (Elvis, ...) ,... Bref je retiendrai dans ce chef d'oeuvre, une adolescence mouvementée et un succès bien mérité pour ce GRAND John Lennon.
Un magnifique film retraçant l'après-adolescence de John Lennon. Le film est très émouvant et brille de ses très bons acteurs et de sa BO. On regrettera peut-être juste qu'il n'y ai pas un aussi bon et complet retracement musical.
Film sans interet filmé comme un téléfilm sans émotions laissant le spectateur à distance durant tout le film ;la mise en scène est impersonnelle le point de vue sur l 'histoire est inexistant .à FUIR
Excellent Biopic sur la jeunesse de John Lennon . Réalisation correcte , Kristin Scott Thomas arrive toujours ces dernières années à se mettre dans les bons coups . Je conseille .
Je ne vais jamais m'en remettre ! J'attendais ce film avec la plus grande impatience et quand je l'ai eu dans les mains j'étais excité à l'idée de le voir ! Mais quelle désillusion ! Je trouve l'acteur pitoyable dans ce rôle (et je ne comprends pas les gens qui voient une ressemblance physique avec Lennon !). On n' y croit pas une seconde, le personnage est caricatural et on s'agace vite ! Seule la relation avec la tante remonte un peu le niveau du film ! Moi j'ai tâché de survivre pendant le film mais j'en suis ressorti décu et frustré ! Ouin !
On se laisse agréablement prendre par cette histoire d'un ado déboussolé qui trouve dans la musique un soutient qui lui permettra de devenir un homme. Une jolie histoire, avec son lot de drames et de sourires. On pourra regretter cependant le traitement un peu lisse de l'ensemble.
Biopic un peu fade et surtout très académique sur la jeunesse de John Lennon, « Nowhere Boy » fait partie de ces films que l'on ne garde clairement pas en mémoire, mais qui savent se faire plaisants et sans prétention, si bien qu'on les regarde sans passion mais sans ennui non plus. Bref, pas de grand moment de cinéma vue donc, mais une œuvre un peu plus subtile qu'elle ne paraît et pas dénuée de sensibilité : honnête.
Premier long-métrage pour Sam Taylor-Wood qui s'intéresse ici à la jeunesse du célèbre musicien (chanteur et auteur/compositeur) John Lennon (1940/1980). Une sortie à point nommé pour Nowhere Boy (2010) puisque cela fait tout juste trente ans qu'il nous a quitté (le 8 décembre, le jour de sa sortie française). A travers ce biopic, on découvre un adolescent tiraillé entre deux femmes, sa mère qui l'a abandonné à l'âge de 5 ans (une femme délurée mais adorable) et sa tante qui l'a recueilli (très stricte et au caractère bien trempé). Les retrouvailles avec sa mère (il avait alors 15 ans) vont réveiller des souvenirs enfouis et la recherche de la vérité ne va pas cesser de le tourmenter. Des secrets qui le déstabilisent et à l'heure où il se cherche et s'affirme, il va tout tenter pour que sa mère et sa tante recollent les morceaux afin que leur famille soit enfin réunie. Sam Taylor-Wood reconstitue à la perfection le Liverpool des années 50, le récit y est passionnant et c'est en grande partie grâce aux comédiens, où Aaron Johnson (Kick Ass - 2010) endosse le rôle titre à la perfection face à deux femmes toutes aussi importantes, à savoir Kristin Scott Thomas & Anne-Marie Duff. Un biopic à la sensibilité palpable, porté par une B.O adéquate et des acteurs saisissants ! (Pour la petite anecdote, la réalisatrice Sam Taylor-Wood est fiancée à l'acteur Aaron Johnson, dont la différence d'âge est d'une vingtaine d'années !).
Trente ans jour pour jour après l'assassinat de John Lennon par un fou, sort sur les écrans ce biopic sur ses jeunes années pré-Beatles. Je n'ai jamais trop aimé ce groupe (enfin je ne connais pas vraiment) mais à l'affiche on retrouve Aaron Johnson, révélation de l'année, et la reine Kristin. Deux raisons suffisantes pour m'être laissé tenter. Premier long métrage de la réalisatrice anglaise Sam Taylor-Wood, le film traite d'une période trouble de l'adolescence du musicien et des raisons et évènements qui ont forgé sa personnalité et sa future carrière. Peu de Beatles donc ici, avec quand même la rencontre avec Paul McCartney et George Harrison. Le film, de facture classique, est fait avec beaucoup de sensibilité et d'émotion mais ne tombe jamais dans le pathos. Le scénario est plaisant. Ça se laisse voir sans ennui. L'atmosphère années 50 est bien rendue mais c'est discret et ne fait pas du tout carton pâte comme souvent. Aaron Johnson, après Kick-ass et Ch@troom, est une fois de plus très convaincant. Non content d'être très sexy il est aussi très doué et semble promis à une belle carrière. On a hâte de le revoir bientôt. Anne-Marie Duff en mère indigne est aussi très bien, une jolie prestation. Ce que nous offre toujours Kristin Scott Thomas, une fois de plus elle est parfaite, rien à dire. La plupart des scènes d'émotion sont avec elle. Tout cela nous donne un très joli film, très plaisant à regarder. Aussi réussi sur la forme que sur le fond, même si cela aurait gagner à bénéficier d'un peu plus de passion. Si Nowhere boy n'est pas un chef d'œuvre inoubliable, on passe un très bon moment. Pas de quoi s'en priver donc...
Dans ce biopic romancé on fait la connaissance d’un adolescent torturé et un peu bohème, ballotté entre une tante qui l’a élevé et une mère qu’il aime malgré tout, mais qui ne peut ou ne veut le prendre avec elle dans sa nouvelle famille ; une seule passion les rapprochent plus que les liens du sang : la musique rock’n’roll. Ce film permet de connaître au-delà légende le John Lennon des origines avant les tubes internationaux, l’hystérie des groupies, la rivalité avec Paul McCartney, la relation avec Yoko Ono et le tragique destin dans une avenue de New York. On voit d’où le génie de la musique vient et d’où lui vient la passion qui va le mener au sommet des charts puis de la légende de la pop music. On apprend ainsi que son amour de la musique lui est presque venue sur le tard puisqu’il ne commence la guitare que vers 15 /16 ans. On ne décroche jamais de l’intrigue tant on attend avec impatience que s’éveille le Lennon qu’on a en tête et qu’apparaissent les autres membres du quatuor. On s’aperçoit également que Lennon loin de l’image lisse des années 6O ou du barbu baba cool des années 70 était un garçon à fleur de peau, un brin arrogant à la limite du sale gosse et que dès le début il est le meneur du groupe avec une rivalité avec Paul déjà présente en germe dès le début. Aaron Johnson, Kristin Scott Thomas et Anne-Marie Duff donnent chacun une prestation époustouflante qui permettent de sentir les remous affectifs qui parcourent le trio. Un biopic au ton juste qui permet de faire connaissance avec un Lennon loin de la légende papier glacée que les générations post-soixante-dix ont connue.
J'ai bien envie de dire que j'aime mais je dois avouer que je suis plutôt déçu par ce biopic. Si le personnage s'était prénommé Robert, le film aurait été identique. Le fait que ce soit sur John Lennon n'apporte rien malheureusement. La bande originale est magnifique, l'ambiance qui règne également mais l'ensemble est selon moi moyen. C'est dommage!!
La jeunesse de John Lennon, à la veille de son succès au sein du plus grand groupe de Rock. La réalisatrice se lance dans un biopic documenté et tente de livrer une analyse des faits fondateurs de la vie d'un des plus grands artistes de la musique contemporaine. On a donc droit aux traumatismes familiaux et à la musique comme seul exutoire. A vouloir éviter l'académisme de son histoire, Sam Taylor-Wood y tombe la tête la première. Le parcours des débuts de John Lennon n'en reste pas moins intéressant. Quelques réserves quand à la prestation de Aaron Johnson qui cabotine légèrement. Sa présence est amoureusement filmée par la réalisatrice qui ne jure que par lui pendant tout le film. Les autres acteurs s'en sortent bien avec des personnages difficiles.
J'ai grandement aimé l'atmosphère du film, la BO, les personnages, l'ensemble en fait. J'ai eu du mal à rentrer dedans au départ, mais après j'ai beaucoup aimé les relations entre John et sa mère, et les membres du groupe, et Mimi. En revanche je ne mets pas plus d'étoiles à cause de Aaron Johnson. C'est un acteur génial, vraiment, mais je ne l'aime pas. Ses cheveux, sa démarche (pourquoi il se sent obligé de marcher en se tordant oO), tout m'insupporte alors qu'il est bon acteur et très beau garçon '-'. Belle petite histoire qui explique un peu John Lennon.