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Mise en scène sans pathos (mais pas sans émotion), elle continue d'émouvoir et fait un beau prélude aux paroxysmes d'intensité et aux abîmes de déprime qui jalonneront la musique de John Lennon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
" Nowhere Boy " est davantage un film qui raconte le chaos affectif d'un Lennon ado qu'une préhistoire des Beatles à Liverpool. Et c'est là toute la force de ce biopic sans prétention mais honnête, qui ne devrait pas décevoir les fans des Fab Four.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La réalisatrice se dispense du traditionnel biopic fourre-tout, et prend le temps de dépeindre ces quelques années qui vont conditionner à tout jamais la carrière de l'artiste et façonner sa personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
(...) Sam Taylor-Wood, dont c'est le premier film, plonge dans le passé de Lennon, armée des seules ficelles de la psychanalyse, dont on sait combien elle constitue le cauchemar de l'immense majorité des biopic (...).
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Du scénario à l'image, en passant par le jeu des acteurs ou les effets dramaturgiques, tout relève de la convention la plus usée, du psychologisme le plus prévisible, d'un "biopicisme" scolaire que la puissance du mythe Lennon ne suffit pas à transcender.
Le " vrai " premier film de Sam Taylor-Wood reste à faire : il lui faudra abandonner ce cinéma vitrifié qui ne lui sied guère, et retrouver la malice et la vivacité de ses oeuvres précédentes.
La chronique ne présente pas même un intérêt documentaire : le fan n'apprendra rien, tandis que le profane, devant cette épaisse soupe psychologique, préférera probablement le rester.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'attente, voilà ce qui pourrit "Nowhere Boy" : le mythe est partout, surplombant, tentant d'enchaîner les acmé qui paraissent toutes plus fades les unes que les autres tant elles sont prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
La réalisatrice Sam Taylor-Wood a réussi à reconstituer l'âpreté des années 50 à Liverpool sans surligner les effets d'époque.
Le Monde
Mise en scène sans pathos (mais pas sans émotion), elle continue d'émouvoir et fait un beau prélude aux paroxysmes d'intensité et aux abîmes de déprime qui jalonneront la musique de John Lennon.
Le Parisien
" Nowhere Boy " est davantage un film qui raconte le chaos affectif d'un Lennon ado qu'une préhistoire des Beatles à Liverpool. Et c'est là toute la force de ce biopic sans prétention mais honnête, qui ne devrait pas décevoir les fans des Fab Four.
Première
Ce premier film (...) vaut bien plus que son apparence de biopic opportuniste.
Brazil
La réalisatrice se dispense du traditionnel biopic fourre-tout, et prend le temps de dépeindre ces quelques années qui vont conditionner à tout jamais la carrière de l'artiste et façonner sa personnalité.
L'Express
Voir la critique sur L'Express.fr
Le Journal du Dimanche
Ce mélo musical devrait intéresser spécialistes et néophytes, mais les agacer ponctuellement aussi, en faisant assaut parfois d'une mièvrerie inutile.
Metro
La reconstitution est réussie, la mise en scène soignée et la photo impeccable, mais il manque un je-ne-sais-quoi d'incarné pour emporter la mise.
Paris Match
Plus vieillotte que vintage, la réalisation est sauvée par la qualité de l'interprétation, et les yeux bleus "myope" d'Aaron Johnson.
Télérama
Plus que le portrait d'une légende, "Nowhere boy" est une sorte de prologue familial à la success story des Beatles.
20 Minutes
(...) la réalisation mollasse fait trop penser à une dramatique télé façon BBC primetime (...)
Charlie Hebdo
(...) Sam Taylor-Wood, dont c'est le premier film, plonge dans le passé de Lennon, armée des seules ficelles de la psychanalyse, dont on sait combien elle constitue le cauchemar de l'immense majorité des biopic (...).
Le Figaroscope
Une réalisation très académique, fort peu rock'n'roll.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Du scénario à l'image, en passant par le jeu des acteurs ou les effets dramaturgiques, tout relève de la convention la plus usée, du psychologisme le plus prévisible, d'un "biopicisme" scolaire que la puissance du mythe Lennon ne suffit pas à transcender.
Ouest France
(...) la mise en scène de Sam Taylor-Wood reste cantonnée dans une sage neutralité trop prudente et appliquée.
Positif
(...)ce portrait de Lennon, trop conventionnel, escamote la complexité indéniable du personnage.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site Studio CinéLive
TéléCinéObs
La photographe Sam Taylor-Wood met en scène ces années charnières avec énergie mais sans personnalité.
Cahiers du Cinéma
Le " vrai " premier film de Sam Taylor-Wood reste à faire : il lui faudra abandonner ce cinéma vitrifié qui ne lui sied guère, et retrouver la malice et la vivacité de ses oeuvres précédentes.
Chronic'art.com
La chronique ne présente pas même un intérêt documentaire : le fan n'apprendra rien, tandis que le profane, devant cette épaisse soupe psychologique, préférera probablement le rester.
Critikat.com
L'attente, voilà ce qui pourrit "Nowhere Boy" : le mythe est partout, surplombant, tentant d'enchaîner les acmé qui paraissent toutes plus fades les unes que les autres tant elles sont prévisibles.