Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
darkvash
107 abonnés
1 535 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 14 mars 2010
Film à narration lente sur la solitude d'un homme qui a opté pour cette vie sans attache et un métier assez dur, qui va être confronté aux doutes par rapport a ses choix. Mr CLOONEY est classe et sobre dans son rôle et les personnages féminins jouent justes. Une bonne surprise.
un film qui ne merite meme pas de sortir en dvd ...une pseudo imitation de lost in translation pitoyable qui donne une morale simplicte vue et revue .... le clooney de burn after reading me manque ....
Jason Reitman signe ici un film en demie teinte qui hésite entre comédie franche, drame social, drame sentimental et chronique cynique, sans jamais parvenir à plonger totalement dans l'un de ces genres. Conclusion, il les survole tous ... Georges Clooney n'est pas franchement exceptionnel et enchaine les sourires "Nespresso". La seule à réellement tirer son épingle du jeu est Vera Farminga, vraiment exceptionnelle. La morale finale bien traditionnelle est un peu malheureuse et le film plie bagage en un clin d'œil. Dommage, attendons le prochain vol !
Le synopsis est alléchant sur le papier, la réalisation plutôt décevante. "In the air" n'est pas un navet, mais rien ne ressort vraiment de ce film. Aucun acteur, même George Clooney, ne sort du lot. Certains, comme Anna Kendrick, sont même plutôt mauvais, cela ne sonne pas "vrai". Mais surtout, aucun "message" ne sort vriament du film. Est-ce une bonne vieille morale selon laquelle il faut chercher l'amour et se sédentariser plutôt que continuer à vivre en solitaire ? On le croit à un moment, mais la fin le dément... sans être très clair. Ah si, il y a quand même le fait que le rapport humain est meilleur qu'à travers une machine, surtout pour virer des gens. C'est déjà ça... Seule conclusion certaine : voyager beaucoup rapporte un max de points pour pouvoir se payer le luxe de s'arrêter devant le panneau des destinations et partir n'importe où. A part ça... pas grand chose.
Une bonne idée de départ que ce cadre a priori sans états d'âme chargé de licencier le pékin moyen aux 4 coins des USA et qui se complait à vivre en transit, entre deux aéroports; bon choix que d'avoir confié le rôle-titre au séduisant George C. qui grisonne de mieux en mieux; mais la réalisation bancale du fils Reitman qui navigue à vue entre comédie, critique sociale et sentimentalisme de bon aloi empêche la mayonnaise de prendre vraiment. D'où des baisses de rythme qui rendent l'ensemble un peu longuet une fois que la situation et les personnages ont été campés. On se surprend à regarder sa montre à partir de la moitié du film...
Comédie douce-amère, sur fond social, thème très bien porté par le réalisateur. Côté acteurs, un bonheur. Décidément, Clooney me bluffe de plus en plus. Fini le beau mec aux tempes grisonnantes (d'ailleurs, tout grisonne désormais !). Il est parfait dans les fêlures de son personnage.
Après la joie d'avoir vu Juno en 2008, je m'attendais à beaucoup mieux ! Je suis déçue car le film manquait de consistance et d'épaisseur. Pourtant les personnages étaient travaillés, mais il me semble qu'ils étaient trop au service du sujet, à savoir parler du système, la manière de licencier les employés... C'est vrai que le sujet du film est caustique et sujet à polémique, donc pas facile à traiter.
Je me suis déplacé principalement pour le Real. Entre The Office, Thank you for Smoking et Juno je pensais avoir ce que je cherchais, un film détente et un bon moment. C'est un peu raté, le tout est trop conventionnel. Le film s'enlise dans les considérations pseudo existentielles de notre George C. qui fait fait trembler les ménagères mais rien de plus. On regrette les quelques scènes décalées où on retrouve la patte de monsieur et on se surprend à sourire. Un "petit" film, visible pas mieux. En bref, un scenar' qui manque de surprise, une réalisation qui prend pas de risque et un jeu d'acteur qui casse pas trois pattes à un canard nous donne un entre deux qui séduit peu.