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    In the Air
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    1 072 critiques spectateurs

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    Sudhir
    Sudhir

    20 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2018
    Dans une démarche quasi document aire Reitman nous plonge dans les méthodes de dégraissage de mammouth.... Ecriture brillante servi par un duo transgénérationnel Clooney et Kendrick (ce rôle lui ouvrait les portes de la gloire mais est resté discrète après le film). Version US d'un Ken Loach.
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    351 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Existe t'il réellement ce genre d'emploi où une personne en licencie une autre de la manière la plus impersonnelle qui soit? C'est effrayant. Licencier quelqu'un est une chose, ne pas en avoir le courage en est une autre. Georges Clooney incarne ce rôle, celui qui véhicule sa belle gueule d'aéroport en aéroport, son costard hors de prix, et la mauvaise nouvelle qui va avec. Mais sa méthode avait encore une certaine fierté, un minimum de franchise liée à l'ultime face à face. Voilà qu'une jeune pimbêche veut moderniser le concept en mode vidéo conférence. Ainsi donc, les futurs chômeurs n'ont plus que leurs yeux pour pleurer, et une jolie brochure expliquant la manière de rebondir dans les plus brefs délais. Affligeant. Le thème abordé nous ramène indubitablement vers la solitude, celle d'un homme qui sillonne le monde avec pour unique bagage un sac à roulettes. Sac servant au passage de métaphore pour la vie de tous les jours, un contenant synonyme de foyer, de pied à terre. L'individualisme et la déshumanisation de notre société sont passés par là. Souhaite t'on encore se marier, se blottir au saint d'un cocon familial sécuritaire, demeurer sédentaire ad vitam æternam? Une question à dix millions de miles. Fuir ses responsabilités ou même renoncer à toute forme de stabilité reste une fuite. Une poignée d'idéaux simplistes remis en question par le charme féminin. On est bien peu de chose, nous les hommes. La liberté a un prix, et ce n'est pas forcément le sacrifice qui nous l'offre. C'est avant tout la certitude d'un chemin tout tracé, où le bonheur devient évident, quoi que l'on fasse. Georges Clooney est épatant, et se glisse sans problème dans la peau d'un mec qui au fond lui ressemble. Ni nombriliste, ou encore égoïste. Simplement paumé et désenchanté. La satire sociale est savoureuse, mais quel dommage qu'une romance un peu balisée vienne ternir ce tableau idyllique. Comme quoi la vie serait sans doute mieux à deux, voir plus si affinité. Voici donc où nous conduit cette comédie aérienne de Jason Reitman, rafraichissante et réfléchie. 3,5/5
    Philippe G.
    Philippe G.

    120 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2018
    Le pachydermique réalisateur Reitman réussit un film élégant, subtil, et intelligent. Casting cinq étoiles... On a l'impression étrange tout au long du récit de voir un film des frères Cohen !!! Le ton est vraiment très proche.
    N'hésitez pas et regardez cet excellent film.
    Claude DL
    Claude DL

    90 abonnés 1 682 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2018
    Du même réalisateur, j'avais détesté "Juno". J'ai regardé ce film sans faire attention au réalisateur. Mal m'en a pris, car j'ai trouvé le résultat bien maigre. De quoi s'agit-il : d'un homme, heureux de son métier de "licencieur", d'accumuler des "miles" au cours de ses 322 jours de déplacement par an, et de vivre d'aventures sans lendemain. Puis il croise une femme qui l'attire plus que d'autres : hélas, il l'apprendra bien plus tard, elle est mariée et mère de famille. Enfin, il marie sa nièce, et il se rend compte que, finalement, ne vivre que pour sa pomme est moins bien que vivre à deux. Top de fin. Philosophie de comptoir. Très décevant, et je cherche encore un film inoubliable avec Georges Clooney.
    Benj'Top F
    Benj'Top F

    21 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2018
    Un sujet étonnant, une bonne dose d'humour tout en traitant de plusieurs sujets importants. Une sorte de réflexion de quarantenaire sur le monde capitaliste qui nous entour.
    Un bon film d'après crise au message toujours incisif sous ses airs de niaiseries apparente.
    Bref: on aime !
    Kev T
    Kev T

    39 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Personnellement je trouve ça intéressant que l’on s’intéresse aux professionnels qui sont chargés d’annoncer des suppressions de poste. Concernant la romance dans ce film, disons qu’elle n’a rien de transcendant mais rien de désagréable. La mise en lien avec les tournants de la vie professionnel est bien pensée. Sachant que Clooney est un éternel célibataire on peut se dire que ce film doit avoir eu des vertu "thérapeutique" pour lui et surtout qu'il sait de quoi il parle ! Y'a du vrai derrière la comédie romantique qu'est ce film (quelque part ça se sens), d'où cette espèce de douce mélancolie durant le visionnage.
    Incertitudes
    Incertitudes

    204 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2018
    Les États-Unis sont considérés comme étant en situation de plein emploi. Ça paraît donc assez contradictoire de faire un film sur le chômage même si cette affirmation reste à nuancer quand on est un peu plus attentif aux chiffres. Le taux d’inactivité a augmenté depuis la crise de 2008. Beaucoup ne s'inscrivent pas étant découragé, n'ont aucune protection sociale. Bref, le tableau est moins idyllique et sans doute plus proche de ce qu'on connaît chez nous. Reitman parle d'une pratique que je ne connaissais pas : celle de confier à des cabinets privés le soin de licencier les gens sur leur lieu de travail en lieu et place de l'employeur du salarié. Une pratique assez mesquine que Clooney a la lourde charge d’interpréter. Même si c'est un réalisateur intelligent, est-il vraiment concerné par les problèmes sociaux de ses compatriotes ? Vu la taille de sa maison et le montant de ses revenus, j'en doute mais bon faudrait-il absolument être un chômeur pour parler des chômeurs ? Clooney ne va pas non plus s'excuser d'être ce qu'il est. En poussant un peu, il est ce que les gens en ont fait y compris des chômeurs sans doute. Enfin ceux qui ont les moyens d'aller au cinéma et d'acheter les DVD. Quoi qu'il en soit, avec son air condescendant, son ton mielleux alors qu'il vire du cadre à la chaîne, il est immédiatement odieux. On a qu'une seule envie : comme on bascule à mi-parcours dans une comédie romantique, que celle à qui il a jeté son dévolu le plante sans autre forme de procès. Là aussi, c'est ironique de l'entendre vanter les bienfaits du mariage (ce qu'on pourrait taxer de typiquement américain mais je ne tomberai pas dans ce piège-là) là où dans la vraie vie fonder une famille n'était pas sa priorité. Loin s'en faut. Le film reste cruel jusqu'au bout, s'autorisant une escale mais sans réellement dévier de sa trajectoire. Ce qui est somme toute normal pour un type préférant les trajets en avion à sa famille ou ses amis.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 août 2017
    L'ombre de Lubitsch plane sur ce film subtil qui traite sans aucun cynisme, des licenciements sauvages dans les entreprises américaines. George Clooney, aussi élégant et charmeur que Cary Grant dans un film de Léo McCarey, survole l'Amérique en classe affaire, pour fondre en piquée, tel un oiseau de proie, sur les entreprises soumises à des plans sociaux. Sa mission est d'annoncer aux salariés qu'ils sont licenciés, travail de sous-traitant que les employeurs ne veulent plus faire eux-même, par crainte des réactions des employés à qui on annonce la mauvaise nouvelle. Le contraste entre l'art et la manière est saisissant, Clooney, sourire aux lèvres, costard impeccable, vient détruire en quelques minutes la vie entière d'un homme ou d'une femme, puis il remonte dans un avion pour une nouvelle mission dans un autre état. Sa jeune collègue est une psychorigide qui exécute la même tâche avec la froideur d'un tueur professionnel, payé pour exécuter un contrat sans état d'âme, toutefois les personnages sont déroulés sur plusieurs dimensions. On s'intéresse à leur humanité, à leur vie personnelle, aux conséquences qu'un tel travail peut avoir sur leur affect, aidé par des dialogues plein d'esprit et une mise en scène distinguée. La manière dont on traite l'adultère, sans le poids d'une morale, est également très rafraichissante. Le cinéma américain est tombé tellement bas que ces petites réussites en deviennent presque grandioses.
    Aymeric L.
    Aymeric L.

    10 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2017
    Comment traverser des nuages blancs pour en voir des gris ? C'est un peu l'histoire de "In the Air". S'imposant tout d'abord comme un film léger sans prise de tête, on arrive vite à une interrogation primordiale qui envahit de plus en plus le scénario, à savoir un choix entre la solitude ou la sociabilité. Et quelle défense des deux camps ! A ce titre la " théorie du sac " de Ryan Bingham (interprété par George Clooney) donne vraiment à réfléchir dans l'aspect solitaire et rien que pour l'énoncé de cet argument il est utile de regarder cette œuvre, même si bien sûr l'aspect sociabilité est très bien défendu aussi. Avec ça on peut s'attendre à un film un peu trop sérieux mais pas du tout, il reste très agréable à regarder d'autant plus que le casting y est bon ce qui fait un plus. Son déroulement nous force à nous poser les mêmes questions que les protagonistes ce qui est plutôt intéressant et nous plonge dans l'histoire tout du long, ce qui en fait au final un bon film à voir.
    Matthias T.
    Matthias T.

    44 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Après deux films plutôt pas mal, une satire gentiment cynique sur le lobbyisme du tabac (Thank You For Smoking) et un teen-movie à la guimauve sur les problèmes de l'accouchement prématuré et de l'avortement (Juno), qui faisaient de Jason Reitman un chroniqueur distant et ironique de son temps parlant de l'actualité avec une légèreté plutôt bienvenue, celui-ci nous revient cette année avec In the Air, adapté d'un roman Richard Kim et un projet sur lequel Reitman travaille depuis 2002.

    Ce qui frappe déjà avec ce troisième long-métrage c'est son absence de vrai sujet. Contrairement à Thank You For Smoking et Juno qui se consacraient respectivement au lobbyisme de Big Tobacco et à l'accouchement prématuré et ses conséquences, In the Air semble ne pas avoir de vrai sujet. Oui, car je vous le demande, quel est donc LE sujet de ce film? Le nombre croissant de licenciements? La déshumanisation par le progrès technique (on licencie par internet, on rompt par sms)? La solitude d'un homme qui passe 322 jours de son année en avion, et acquiert ainsi le privilège de boire un verre de champagne avec le pilote moustachu du bord (quelle scène nunuche!)? La nécessité de construire une famille dans un monde en manque de repères?
    Le capitalisme? Les amourettes d'un jour ou d'une nuit dans une anonyme chambre d'hôtel? La misanthropie? L'incommunicabilité inhérente à notre époque? Le sens de la vie? In the Air parle de tout et de rien, avec une nonchalance complaisante, et en juxtaposant gentiment les séquences les unes après les autres, sans aucun heurt.

    Car c'est bien ça le problème: il n'y a pas de heurt, rien de violent, de provocant, d'osé, rien qui chatouille, rien qui titille, donc rien (ou presque) d'intéressant. Clooney, qui paraît juste sorti du tournage d'une pub supplémentaire pour Nespresso, arbore une nouvelle fois son éternel petit sourire tranquille de beau gosse U.S., et débite sereinement quelques petites réflexions bien sympathiques sur (dans le désordre): le mariage, la vie, les hôtels Hilton, les femmes, le temps qui passe, le nombre d'heures qu'il a passé dans les airs,... Certes, sa présence nous est indéfectiblement agréable (pour qui ne la serait-elle pas?), mais au lieu d'avoir fait un film avec lui qui parle de tout et de rien pendant 1h49, pourquoi ne pas avoir réalisé une pub de Nespresso de deux heures? Cela aurait été pareil et peut-être même mieux.

    De fait, avec une façon ultra-désinvolte, ultra-légère et donc ultra-superficielle de blablater sur mille choses, d'évoquer la crise financière, le sens de la vie, et mille choses encore, et un acteur qui se contente de bien porter le costard-cravate et de jouer sur sa carte "Beau Gosse", on est constamment dans le consensuel et le gentillet. Sinon, qu'y a-t-il d'autres dans ce troisième film du fils de Ivan Reitman (qui a probablement inculqué à son fils son sens aigu de la subtilité, voyez-donc son oeuvre: Un Flic à la Maternelle, 6 Jours, 7 Nuits, Ma Super Ex...)? Des plans d'avion, des scènes qui laissent le spectateur au choix indifférent ou avec un sourire niais sur le visage (regardez la scène du mariage de la soeur de Ryan Bingham: c'est bien mignon tout ça mais...), la jolie mais fade Vera Farmiga, l'insipide Anna Kendrick dans un personnage creux comme pas deux (une petite fille modèle...), la trouvaille du portrait des deux jeunes mariés que Ryan photographie devant les villes où il va elle-même piquée de la trouvaille du nain de jardin de Raphaël Poulain dans Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, ou encore des dialogues qui viennent comme des cheveux dans la soupe ("On est pareils à un vagin près" dit Farmiga à Clooney; le spectateur est sensé réagir comment à ce moment-là? rire? sourire?).

    Mais In the Air fait partie du genre de films qu'on a tendance à encenser facilement. Les films qui ne feraient pas de mal à une mouche sont toujours ceux qui sont bien accueillis. Ah! Le consensuel, l'éternel ami du succès! Pour preuve - finissons donc par du chiffre, ça correspond bien à ce film anonyme et froid tout en paraissant être le contraire: signalons donc qu'In the Air a fait un score de 73 765 769 dollars au box-office américain et qu'il a raflé une pléthore de nominations de tout acabit (ainsi qu'une récompense: Golden Globe du scénario; sans blague): aux Screen Actors Guild Awards, Satellite Awards, Detroit Film Critics, Critics Choice Awards, St. Louis Film Critics Awards, Broadcast Film Critics et, évidemment, aux Oscars.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2016
    In the air est un film très sympathique.
    George Clooney porte très bien le film. La jeune Anna Kendricks se montre très prometteuse dans ce film. Vera Farmiga complète bien le casting.
    L'histoire est pas mal, on s'accroche bien au personnage principal qu'on arrive à beaucoup apprécier malgré sa fonction.
    On passe un bon moment devant ce film.
    Nyns
    Nyns

    215 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2016
    Un rôle qui va (allait) parfaitement à George Clooney, le célibataire endurci qui idéalise sa situation de liberté totale, surtout que celui-ci passe sa vie "up in the air", en déplacement par avion, avec comme unique but d'atteindre les 10 millions de miles. Autant dire un solitaire plutôt orgueilleux, qui mieux que George pour ça (en 2010 le mariage n'avait pas encore eu lieu...)? Son travail en plus est l'archétype de la déshumanisation : virer des salariés dont les DRH ou patrons n'ont pas suffisamment de cojones pour le faire eux-même. Cette comédie sans prétention a mine de rien de la matière, avec les différents profils présentés (ceux de l'affiche), et un scénario raccord avec des problématiques réalistes de notre monde moderne. En effet, notre héro interprété par George doit faire face à une révolution de ses conditions de travail qui va absolument tout remettre en cause dans son mode de vie. La tournure que prend le film est couru d'avance et se rapproche du schéma américain, la romance naissance et le début des questions fondamentales. Mais finalement je trouve un peu ça dommage et étriqué, de toujours devoir s'attendre à une ode à la famille et au bonheur trouvé dans les schémas classiques établies par la société, ça manque d'innovation tout ça. Après tout la solitude n'est pas un fardeau pour tout le monde, le film nous mène à cette question : oui mais après tout combien ne regrettent vraiment pas ce choix? Il est clair que ce n'est pas évident, mais pourquoi pas ne pas tout miser là-dessus afin de répondre à d'autres critères? Le George grinçant avec ses théories du sac à dos ne vous aura surement pas convaincu mais c'est bel et bien le but... Bref, on est bien dans une comédie purement américaine mais qui a de belles qualités, et un niveau de dialogue satisfaisant.
    Nicolas V
    Nicolas V

    88 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2016
    In the air traite plusieurs sujets.
    Mener sa vie à sa manière sans s'engager. Le couple et les conventions sociales, l'amour, l'économie américaine et ses ressources humaines.
    En plus simple : l'etre humain moderne, de nos jours. Comment se passe la transition. La transition d'une activité professionnelle au chomage. Du couple au célibat , de la vie de célibataire à la vie à deux, de l'employé nomade condamné à la sédentarité. Le thème du film : le changement, la transition d'une posture choisie à une situation imposée ( que ce soit le personnage de Clooney, sa stagiaire ou les malheureux employés ).
    In the air traite tout ces sujets à travers le parcours de notre cher représentant de la vie active George Clooney. Ce dernier est charismatique dans un role taillé sur mesure, accompagné d'une bonne mise en scène, d'une écriture efficace et d'une fin assez réussie voir surprenante, in the air est une petite comédie dramatique qui joue avec les codes du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Une comédie américaine totalement artificielle au scénario douteux et ennuyeux...
    Je ne comprends pas pourquoi de si bons acteurs acceptent des rôles aussi nuls, quel navet ce film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 février 2016
    Une excellente surprise que je recommande. Alors que pourtant je trouvais les autres films dramatiques de Georges Clooney plutôt en dessous, celui-ci est vraiment bon.
    Le délicat sujet du licenciement de personnel ( ou comment lourder les gens de façon amorale à l'aide de procédures pré-écrites ) est traité avec finesse.
    Les actrices jouent super bien, et on retrouve bien l'ambiance limite aseptisée des réunions pro où l'on rencontre tout le monde sans connaître personne.
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