Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Nettement plus ordinaire que le premier, "The Strangers : Prey at Night" n'en a ni la violence sourde, ni la simplicité étouffante. Reste alors un petit slasher sympathique et modestement efficace, qui pourra satisfaire le public visé.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Johannes Roberts rend aujourd’hui hommage au cinéma du maître John Carpenter avec ce survival efficace qui choisit le réalisme au point de faire durer les scènes de meurtres, et ainsi provoquer le vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film se distingue donc par le respect d’une stricte unité de temps et d’action. Quelques heures au coeur de la nuit durant lesquelles les protagonistes tentent d’échapper au sort funeste qui les attend avant, pour la plupart d’entre eux, d’être sauvagement et cruellement mis à mort.
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
(...) une suite trop prévisible dans son déroulement, mais confectionnée avec suffisamment de panache et d'intégrité pour tenir la route.
Première
par François Rieux
The Strangers : Prey at night sort très vite de sa zone de confort, trouvant sa voie loin des clins d’œil à répétitions et de la facilité du jump scare. C’est un survival pervers, à la fois jouissif et violent, guidé par l'immoralité et le goût de la chasse à l'homme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par D.B.
La réalisation soignée et l'ambiance poisseuse assurent tout de même à l'ensemble une certaine efficacité.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Hommage scolaire dans la forme, mais néanmoins glaçant, du cinéma de John Carpenter, cette fausse suite à "The Strangers" qui, en fait, n’utilise que son point de départ narratif, est un home invasion d’une redoutable efficacité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Alain Zind
À défaut de proposer des péripéties surprenantes et une véritable introspection du genre, [le film] a pour avantage d’être doté d’une qualité d’écriture supérieure à la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le scénario écrit à quatre mains pille les classiques (tout John Carpenter mais aussi "Vendredi 13" et "Shining") et la mise en scène néglige son scope pour se reposer sur de très classiques effets de hors-champ. Avec, en revanche, des jeux plus pervers sur l'obscurité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Geek
par Julien Paillet
Le métrage de Johannes Roberts n'arrive jamais à dépasser les limites du slasher lambda dans lequel il s'inscrit. Sans être fondamentalement désagréable à regarder, ce second volet ne parlera qu'aux fans les plus indulgents d'horreur US.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Michel Valentin
Ce film est la suite d’un premier « Strangers », pas diffusé en salles en France. On se demande encore pourquoi cette suite médiocre a droit, elle, à une sortie en bonne et due forme…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Terriblement opportuniste et dénuée de toute originalité, cette séquelle accumule sans vergogne tous les écueils possibles du genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
Nettement plus ordinaire que le premier, "The Strangers : Prey at Night" n'en a ni la violence sourde, ni la simplicité étouffante. Reste alors un petit slasher sympathique et modestement efficace, qui pourra satisfaire le public visé.
Le Journal du Dimanche
Johannes Roberts rend aujourd’hui hommage au cinéma du maître John Carpenter avec ce survival efficace qui choisit le réalisme au point de faire durer les scènes de meurtres, et ainsi provoquer le vertige.
Le Monde
Le film se distingue donc par le respect d’une stricte unité de temps et d’action. Quelques heures au coeur de la nuit durant lesquelles les protagonistes tentent d’échapper au sort funeste qui les attend avant, pour la plupart d’entre eux, d’être sauvagement et cruellement mis à mort.
Mad Movies
(...) une suite trop prévisible dans son déroulement, mais confectionnée avec suffisamment de panache et d'intégrité pour tenir la route.
Première
The Strangers : Prey at night sort très vite de sa zone de confort, trouvant sa voie loin des clins d’œil à répétitions et de la facilité du jump scare. C’est un survival pervers, à la fois jouissif et violent, guidé par l'immoralité et le goût de la chasse à l'homme.
Voici
La réalisation soignée et l'ambiance poisseuse assurent tout de même à l'ensemble une certaine efficacité.
aVoir-aLire.com
Hommage scolaire dans la forme, mais néanmoins glaçant, du cinéma de John Carpenter, cette fausse suite à "The Strangers" qui, en fait, n’utilise que son point de départ narratif, est un home invasion d’une redoutable efficacité.
Critikat.com
À défaut de proposer des péripéties surprenantes et une véritable introspection du genre, [le film] a pour avantage d’être doté d’une qualité d’écriture supérieure à la moyenne.
L'Obs
Le scénario écrit à quatre mains pille les classiques (tout John Carpenter mais aussi "Vendredi 13" et "Shining") et la mise en scène néglige son scope pour se reposer sur de très classiques effets de hors-champ. Avec, en revanche, des jeux plus pervers sur l'obscurité.
Le Journal du Geek
Le métrage de Johannes Roberts n'arrive jamais à dépasser les limites du slasher lambda dans lequel il s'inscrit. Sans être fondamentalement désagréable à regarder, ce second volet ne parlera qu'aux fans les plus indulgents d'horreur US.
Le Parisien
Ce film est la suite d’un premier « Strangers », pas diffusé en salles en France. On se demande encore pourquoi cette suite médiocre a droit, elle, à une sortie en bonne et due forme…
Les Fiches du Cinéma
Terriblement opportuniste et dénuée de toute originalité, cette séquelle accumule sans vergogne tous les écueils possibles du genre.