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Sa vision sans concession du monde moderne dans lequel se débattent des êtres fragiles témoigne d'une lucidité féroce (...) Ce bonheur de causticité et d'insolence dérange parce qu'il renvoie impitoyablement le spectateur à ses propres faiblesses .
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
(...) c'est une atmosphère pesante et limite asphyxiante qui exsude de chaque plan. Mais occasionne, aussi, des scènes hilarantes (...) par des comédiens aussi tordus que brillants.
Pour le cinéaste, tout semble en effet être une affaire de masque, et il n'aime rien tant que de capturer ses personnages dans l'intervalle minuscule qui sépare leur monde intérieur puissamment névrotique de la façade socialement acceptable qu'ils se sont construits.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Succession de vignettes-chocs (auxquelles il manque peut-être une véritable unité), le film est une sorte de sitcom empoisonnée. Toutefois, si le cinéaste n'a rien perdu de son redoutable sens de l'observation, le ton a changé : moins provoc, plus désespéré. Le 11-Septembre est passé par là. Internet aussi. Et l'Amérique selon Solondz marche plus que jamais sur la tête.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Life During Wartime est l'un des meilleurs films de Solondz, qui a mis une sourdine à la rage sarcastique qui avait tendance à se retourner contre ses personnages, les privant de leur crédibilité et parfois de leur dignité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Considéré comme l'enfant terrible du cinéma indépendant américain, Todd Solondz n'en finit plus d'ausculter les travers de la middle-class au pays de l'oncle Sam. Surfant sur les registres de l'hypocrisie et des espoirs déchus, il livre un film à la mécanique proprette, donnant ainsi la désagréable impression de tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Tout est à l'avenant dans cette satire où les extrêmes se catapultent en permanence, qui ne convaincra que les forcenés de la dérision systématique des tabous et des non-dits.
(...) quasiment tous les pantins qui s'y agitent n'ont aucune épaisseur. Ils ne semblent pas avoir d'existence propre et restent posés comme des allégories du ridicule, de la médiocrité, de la bêtise, de la suffisance, etc.
Brazil
Voilà un grand film.
Excessif
Todd Solondz renoue avec les monstres ordinaires de Happiness, son meilleur film, dans une suite cruelle, drôle et désespérée.
Positif
Toute la beauté de Life During Wartime tient dans la révélation de cette humanité déliquescente et qui, en outre, se vit comme telle.
20 Minutes
Sa vision sans concession du monde moderne dans lequel se débattent des êtres fragiles témoigne d'une lucidité féroce (...) Ce bonheur de causticité et d'insolence dérange parce qu'il renvoie impitoyablement le spectateur à ses propres faiblesses .
Le Journal du Dimanche
(...) c'est une atmosphère pesante et limite asphyxiante qui exsude de chaque plan. Mais occasionne, aussi, des scènes hilarantes (...) par des comédiens aussi tordus que brillants.
Libération
Pour le cinéaste, tout semble en effet être une affaire de masque, et il n'aime rien tant que de capturer ses personnages dans l'intervalle minuscule qui sépare leur monde intérieur puissamment névrotique de la façade socialement acceptable qu'ils se sont construits.
Metro
C'est encore plus noir, plus désespéré aussi... Attention au coup de blues.
TéléCinéObs
Succession de vignettes-chocs (auxquelles il manque peut-être une véritable unité), le film est une sorte de sitcom empoisonnée. Toutefois, si le cinéaste n'a rien perdu de son redoutable sens de l'observation, le ton a changé : moins provoc, plus désespéré. Le 11-Septembre est passé par là. Internet aussi. Et l'Amérique selon Solondz marche plus que jamais sur la tête.
Télérama
(...) La haine a disparu. Ne subsiste, ici, qu'un rire plus désespéré que cynique (...). Voire, parfois, de vrais moments d'émotion
La Croix
(...) Life during Wartime n'a toujours rien d'une promenade légère, mais confirme le talent de Todd Solondz (...).
Le Figaroscope
Une chronique familiale grinçante et stylisée, comme en a déjà signé Todd Solondz. La vie quotidienne américaine peut être ennuyeuse et répétitive.
Le Point
voir Le Point.fr
Première
Life During Wartime est l'un des meilleurs films de Solondz, qui a mis une sourdine à la rage sarcastique qui avait tendance à se retourner contre ses personnages, les privant de leur crédibilité et parfois de leur dignité.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Solondz maintient dans le cadre du cinéma américain sa place de cinéaste inégal mais vital.
Chronic'art.com
Solondz n'a rien perdu de son talent, mais il n'en a pas gagné le moindre gramme en plus de dix ans.
Critikat.com
Considéré comme l'enfant terrible du cinéma indépendant américain, Todd Solondz n'en finit plus d'ausculter les travers de la middle-class au pays de l'oncle Sam. Surfant sur les registres de l'hypocrisie et des espoirs déchus, il livre un film à la mécanique proprette, donnant ainsi la désagréable impression de tourner en rond.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
L'Humanité
Tout est à l'avenant dans cette satire où les extrêmes se catapultent en permanence, qui ne convaincra que les forcenés de la dérision systématique des tabous et des non-dits.
Les Inrockuptibles
(...) quasiment tous les pantins qui s'y agitent n'ont aucune épaisseur. Ils ne semblent pas avoir d'existence propre et restent posés comme des allégories du ridicule, de la médiocrité, de la bêtise, de la suffisance, etc.