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tomPSGcinema
753 abonnés
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3,5
Publiée le 4 décembre 2012
A l’instar du deuxième opus, "Les Disciples de la 36ème chambre" mélange avec une certaine vitalité le kung-fu et la comédie. L’histoire n’est par contre pas fortement très réjouissante, mais grâce à une mise en scène très rythmée et accrocheuse (les séquences de combats sont, pour la plupart, assez époustouflantes), à une interprétation de haute volée et à la présence de magnifiques décors, ce troisième volet clôt d’une très belle façon cette saga hongkongaise.
Pas mal ce 3ème opus de la 36ème Chambre Shaolin, on y retrouve l'acteur Gordon Liu qui est cette fois-ci le maître et non plus un disciple (en fait si j'ai bien compris il rejoue le personnage du 1er film mais devenu le maître de la 36ème chambre) ; cela commence de façon fort amusant avec toutes les pitreries du personnage principal mais ce dernier (qui a eu des petits rôles dans les 2 films précédents) est joué par un acteur manquant de charisme de plus l’espièglerie et son côté parfois insolent agacent par moment et l'humour du film est assez enfantin mais l'ensemble de Les disciples de la 36ème chambre est fort divertissant. L'aspect initiatique via les épreuves du monastère Shaolin sont moins présents ici par contre les combats sont toujours là et remarquablement chorégraphiés notamment le final époustouflant.
Gordon Liu reprend son rôle du moine San Te dans ce troisième opus de la 36ème chambre de Shaolin (qu'il avait délaissé dans le second), mais n'incarne malheureusement plus le personnage principal. Les combats ne sont tout de même pas mal.
Quelques scènes d'action, celle de fin particulièrement, et d'entraînement évitent à la conclusion de cette saga déclinante de nous noyer définitivement dans l'eau du boudin mais cela reste de l'ordre de l'anecdotique. Gordon Liu reprend le rôle de San Te pour marquer une continuité avec le 1er volet mais la qualité ne suit pas, la faute à un humour toujours lourd et cabotin, surtout dans la 1ère demi-heure. On salue toujours la méticulosité des scènes de combats mais un arrière-goût de frustration domine lors du clap final. Une saga qui avait tout pour devenir mythique dès le 1er volet mais qui s'est tirée une balle dans le pied en voulant faire dans la surenchère d'humour lourdingue. Bref, un 1er opus mythique et essentiel, des suites dispensables. Je suis frustration. Dommage.
En faisant se rencontrer le maitre de la 36ème chambre de Shaolin Sun Te déjà au centre des deux premiers films et une autre figure populaire du cinéma chinois lui inspiré d’un personnage, Fong Sai-yuk (un rôle qui sera plus tard incarné par Jet Li) a valu au troisième opus de la trilogie que Chia-Liang Liu a consacré aux disciples athées de l’école de Shaolin un ton bien assez léger directement lié à la réputation immature de ce dernier sans tomber dans le comique burlesque qui caractérisait le second film. Les enjeux entourant la survie des trois frères sous le joug mandchous empêchent bel et bien les pitreries du jeune héros de devenir l’élément central de ce récit qui va s’achever dans un combat de masse merveilleusement chorégraphié. De son coté le rôle de Gordon Lui est trop peu exploité malgré la prestance dont il fait part à chacune de ses apparitions.
Film d'arts martiaux typique des productions de la Shaw Brothers, Les disciples de la 36ème chambre est une réussite, drôle et virtuose. Valant avant tout pour ses chorégraphies époustouflantes et toujours aussi percutantes, ce troisième opus est un régal. Bon, il ne faut pas trop compter sur le scénario, intéressant au début, mais qui n'a aucune finalité. Mais on s'en fiche, on n'est pas là pour ça, les combats se suffisent à eux-même et Gordon Liu est toujours aussi cool.
A l'instar de la trilogie "36eme chambre", ce film est tout aussi spectaculaire grâce aux scènes de combat mais l'histoire est moins passionante et Gordon Liu moins mis en valeur. Néanmoins l'énergie de Hsiao Ho qui interprète l'artiste martial légendaire Fong Sai-Yuk est convaincante.
3 ème et ultime volet de la trilogie de la 36ème Chambre, "Les disciples" marque la fin d'une époque celle de la Shaw brother. Cette dernière a livré une paire de classique mais le style s'épuise. Liu Chia-liang et Gordon Liu de retour dans le même rôle que le premier ne peuvent sauver le style. Malgré les prouesses physiques et quelques scènes de combats sympas, les scénarios sont redondants et l'imagination fait défaut. c'est toujours les mêmes histoires déclinés. Les Disciples rappellent au moins 10 autres films sans rien apporter de nouveaux. Enfin les amateurs de baston se consoleront avec Jet Lee et Jackie Chan qui renouvelleront le genre.
Nous montrant cette fois-ci Gordon Liu sur le banc de l'apprentissage et non à la place du maître, "Les disciples de la 36ème chambre" est un film d'art martiaux chinois des années 80 type qui nous compte l'histoire de trois frères entrant dans le monastère très secret de Chaolin. Marqué par un script sans grande originalité, ce long-métrage permet tout de même une immersion de qualité dans ce temple unique au monde. Avec des dialogues humoristique masquant une situation réellement difficile, "Les disciples de la 36ème chambre" reste inférieur à certains mais bien supérieur à d'autres. On y découvre ainsi des combats travaillés dont les bruitages sont toujours aussi comiques et des interactions propices aux bons sentimens et à un humour bon enfant.
Dernier volet de la trilogie de Liu Chian Liang, mais première réelle suite. Ce dernier film est un peu un mélange des deux premiers, on y voit Gordon Liu reprendre le rôle du sage et redoutable San De qu’il tenait dans le premier métrage et ce film conserve le côté léger et humoristique à travers le personnage du disciple facétieux joué par Hsiao Ho. Cela permet également de ne pas tourner en rond au niveau du scénario. Comme toujours, Lian sait mettre en valeur les prouesses martiales de ses acteurs et les chorégraphies imaginatives misent au point.
On croirait une suite du premier mais en mauvais. Le script n'est pas bon, Gordon Liu est relégué en tant que second rôle et surtout on s'éloigne de ce qui faisait la force du premier et de sa suite: l'entraînement, l'évolution physique et psychologique du personnage. On est dans le nanar là. Le genre est sur le déclin et i faudra attendre la Golden Harvest et Jackie Chan pour revoir des bons films de kung fu.
Chia Liang Liu, alias Lau Kar Leung, réalise ici le troisième volet de la trilogie de la 36ème chambre de Shaolin. Les trois opus sont inégaux, le premier est magistral, et se consacre à la formation de l'élève San Te, via des épreuves de plus en plus sophistiquées. Le second est moyen et basé sur un kung-fu comique qui traîne en longueur mais dont la fin nous réserve un combat exceptionnel. Le dernier est cocasse et se positionne entre les deux premières versions, entre les bouffonneries de Hsiao Hou et les intransigeances du maître San Te. Dans les trois films, les combats sont excellents. La différence se fait sur l'originalité du scénario et la valeur de la chorégraphie. Dans le cas présent, Hsiao Hou tient le rôle principal avec Gordon Liu (le moine San Te). Chorégraphe du film, Hsiao Hou se livre à une série de facéties au travers de démonstrations aussi étonnantes les unes que les autres. Chia Liang Liu met une fois de plus l'accent sur l'enseignement du kung-fu selon les principes du temple de Shaolin, forgeant ses disciples sur la discipline et le mental. Il se met d'ailleurs lui-même en valeur dans le rôle d'un officier mandchou et on le retrouve dans de nombreux succès du genre.
Dans la famille "36e chambre" avec Gordon Liu, cet opus ne fait pas partie des meilleurs, et accuse le poids de ses années. Un divertissement kitch qui n'intéressera que les amateurs du genre.
Troisième volet de la saga de la "36ème chambre de Shaolin", "Les disciples de la 36ème chambre" est peut être l'épisode de trop. Le récit se centre cette fois sur le personnage de Fong Sai-yuk, jeune surdoué des arts martiaux dont le talent n'a d'égal que l'insolence et qui peine à s'adapter à la discipline stricte du temple Shaolin. Véritable tête à claque, ce nouveau personnage devient vite énervant voir insupportable pour le spectateur tant il est arrogant et immature. Comme pour "Retour à la 36ème chambre", le réalisateur à opté pour un parti pris humoristique. Une fois de plus, l'humour a le mérite de ne pas tomber dans le lourdingue mais la force comique du récit est quand même un cran en dessous de celle du deuxième film. Même les séances d'entraînement sont décevantes alors qu'elles constituaient le principal atout deux deux films précédents! La série s’essouffle vraiment avec cet ultime épisode dont il n'y a pas grand chose à retenir mise à part des scènes de combats toujours aussi bien réussies.