Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Un peu plus "lisible" que l'ancienne version (...) Ce décalage fait du redux un objet à la fois innovant et daté, fulgurant et lesté du passé, l'artefact d'un paradoxe temporel. (Reprise septembre 2008)
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
par La Rédaction
Beau et captivant.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Wong Kar-wai nous présente donc aujourd'hui un "Cendres du temps" bis, ni tout à fait le même film qu'il signa il y a quinze ans ni tout à fait un autre. Amélioré, peaufiné, marqué par ce qu'il vécut et apprit depuis.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
(...)cette idée folle de modifier le travail du temps, donne tout son prix à Redux, tant il correspond précisément au principe d'un film rythmé par le cycle des saisons.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
Quinze ans après, ce n'est plus le même film. Le point commun : on ne comprend toujours rien (...). La différence : l'usage excessif du filtre a fait place à un usage excessif du contraste et de la saturation numériques. Cela ne retire rien à la terrassante beauté de ce film mutant. (Reprise septembre 2008)
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
(...) l'intrigue n'est qu'un prétexte à des tableaux d'une beauté à couper le souffle.
aVoir-aLire.com
par Stéphane Caillet
L'oeuvre est alors plus belle dans sa déstructuration et sa sensorialité que la première version distribuée en Occident.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par La rédaction
Le réalisateur d'In the Mood for Love a retravaillé cette fresque sublime pour en offrir une version sublimée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Fidèle à lui-même, Wong Kar Wai s'appesantit sur la dimension sentimentale et réduit les scènes d'action. Esthétiquement réussi (...) mais désincarné.
La Croix
par Arnaud Swartz
Servi par un casting impressionnant (...), le film impose son rythme, suspendu à l'archet du violoncelliste Yo-Yo Ma.
Libération
par Eric Loret
(...) grâce à des indications chronologiques séparant les récits, ce montage définitif (...) facilite la compréhension.
Télérama
par Joshka Schidlow
La surenchère dans la violence et le baroque (...) vire à la confusion totale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Un peu plus "lisible" que l'ancienne version (...) Ce décalage fait du redux un objet à la fois innovant et daté, fulgurant et lesté du passé, l'artefact d'un paradoxe temporel. (Reprise septembre 2008)
Le Figaroscope
Beau et captivant.
Le Monde
Wong Kar-wai nous présente donc aujourd'hui un "Cendres du temps" bis, ni tout à fait le même film qu'il signa il y a quinze ans ni tout à fait un autre. Amélioré, peaufiné, marqué par ce qu'il vécut et apprit depuis.
Positif
(...)cette idée folle de modifier le travail du temps, donne tout son prix à Redux, tant il correspond précisément au principe d'un film rythmé par le cycle des saisons.
Première
Quinze ans après, ce n'est plus le même film. Le point commun : on ne comprend toujours rien (...). La différence : l'usage excessif du filtre a fait place à un usage excessif du contraste et de la saturation numériques. Cela ne retire rien à la terrassante beauté de ce film mutant. (Reprise septembre 2008)
TéléCinéObs
(...) l'intrigue n'est qu'un prétexte à des tableaux d'une beauté à couper le souffle.
aVoir-aLire.com
L'oeuvre est alors plus belle dans sa déstructuration et sa sensorialité que la première version distribuée en Occident.
20 Minutes
Le réalisateur d'In the Mood for Love a retravaillé cette fresque sublime pour en offrir une version sublimée.
L'Humanité
Fidèle à lui-même, Wong Kar Wai s'appesantit sur la dimension sentimentale et réduit les scènes d'action. Esthétiquement réussi (...) mais désincarné.
La Croix
Servi par un casting impressionnant (...), le film impose son rythme, suspendu à l'archet du violoncelliste Yo-Yo Ma.
Libération
(...) grâce à des indications chronologiques séparant les récits, ce montage définitif (...) facilite la compréhension.
Télérama
La surenchère dans la violence et le baroque (...) vire à la confusion totale.