AlloCiné
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Ce film n'a pour moi aucun sens.C'est juste le genre de films à la mode.Quelle est la tendance actuellement? L'homosexualité.Ce phénomène prenant de l'ampleur alors tous les moyens sont bons pour le faire accepter.Archinul comme film
Malgré le jeu assez juste des acteurs (Nicole Garcia et Léa Seydoux en tête), le spectateur a du mal à s'attacher aux personnages trop excessifs, peu attachants et dont les caractères sont mal développés!
Le film peine surtout par un scénario inintéressant, mal ficellé, voire délirant et non réaliste par moments (Léa Seydoux voit un jeune en train de manger un sandwich et par je-ne-sais quel miracle décide de l'embarquer avec eux pour leur road trip, alors qu'elle ne le connaît pas, n'est même pas attiré par lui au début et que celui-ci n'est pas en train de vouloir faire du "stop").
Les 1h30 du films sont très longues, le réalisateur meublant celui-ci par de longues scènes ans intérêts, de scènes de pathos pseudo intellectualo-érotiques (la scène gay sur la plage assez ridicule et inutile).
Un des seuls intérêt du film réside dans le rapport mère-fils entre le personnage principal et Niicole Garcia et dans la fraicheur candide & provocante du personnage de Léa Seydoux.
Un conseil: passez votre chemin.
Le film peine surtout par un scénario inintéressant, mal ficellé, voire délirant et non réaliste par moments (Léa Seydoux voit un jeune en train de manger un sandwich et par je-ne-sais quel miracle décide de l'embarquer avec eux pour leur road trip, alors qu'elle ne le connaît pas, n'est même pas attiré par lui au début et que celui-ci n'est pas en train de vouloir faire du "stop").
Les 1h30 du films sont très longues, le réalisateur meublant celui-ci par de longues scènes ans intérêts, de scènes de pathos pseudo intellectualo-érotiques (la scène gay sur la plage assez ridicule et inutile).
Un des seuls intérêt du film réside dans le rapport mère-fils entre le personnage principal et Niicole Garcia et dans la fraicheur candide & provocante du personnage de Léa Seydoux.
Un conseil: passez votre chemin.
ferdinand75
Une sorte de road movie , pseudo initiatique, que l'on a l'impression d'avoir déjà vu. Des jeunes désabusés, sans beaucoup de fonds , dont le destin se croise ;Et bien sûr le très politiquement correct,
spoiler:
sur la recherche de l'identité sexuelle. Déjà vu . [spoiler]cela devient lourd cette bisexualité à toutes le sauces
[/spoiler]. Pas d'intérêt réel, cela en fait pas un film. Les acteurs sont bons et sauvent le film . Les trois garçons sont très beaux et brillants, c'est étonnant que l'on ne les ai pas plus revus depuis . Léa Seydoux est comme d'habitude "habitée" et lumineuse . Et l'apparition de Micheline Presle est une vraie surprise , quelle belle actrice formidable , pleine de grâce. Mais tout cela est bien long , sans beaucoup de charme, et la néo-poèsie voulue en fonctionne pas .,
[/spoiler]. Pas d'intérêt réel, cela en fait pas un film. Les acteurs sont bons et sauvent le film . Les trois garçons sont très beaux et brillants, c'est étonnant que l'on ne les ai pas plus revus depuis . Léa Seydoux est comme d'habitude "habitée" et lumineuse . Et l'apparition de Micheline Presle est une vraie surprise , quelle belle actrice formidable , pleine de grâce. Mais tout cela est bien long , sans beaucoup de charme, et la néo-poèsie voulue en fonctionne pas .,
Yves G.
Au volant d’une Ford hors d’âge, Sam (Yannick Rénier) a pris la route du Sud et la direction de l’Espagne pour y retrouver sa mère (Nicole Garcia) et solder avec elle un lourd passif familial. Il a pris en stop Léa (Léa Seydoux) et son frère Mathieu. Un quatrième passager, Jérémie, se joint bientôt à eux.
Sébastien Lifshitz est un des réalisateurs les plus intéressants de sa génération. Très investi dans la cause LGBT, il a réalisé ces dix dernières années, quatre documentaires marquants : "Les Invisibles" (2012) sur les couples homosexuels menant une vie ultra-normale, loin des caricatures qu’on en fait trop souvent, "Bambi" (2013) sur la vie d’une célèbre artiste transgenre de cabaret, "Adolescentes" (2019) sur deux jeunes filles de province qui cherchent leur voie et enfin "Petite fille" (2020) sur le combat d’une mère dont le fils souhaite changer de genre.
Mais avant de se fixer définitivement sur le documentaire, Sébastien Lifshitz s’était frotté à la fiction. Il avait tourné "Wild Side" en 2004 autour d’un trio de marginaux prostitués et transgenres. Cinq ans plus tard, il réalisait "Plein sud", avec un scénario plus "mainstream" et des acteurs plus "bankables" : Léa Seydoux, icône de l’hyperféminité, Nicole Garcia toujours magnétique, Yannick Rénier dont le talent de son demi-frère, Jérémie, a hélas occulté la carrière.
Malheureusement la sauce ne prend pas. Les combinaisons amoureuses du quatuor (Mathieu aime Sam, Léa couche avec Jérémie) se déploient dans le huis clos de la voiture puis sur les plages atlantiques battues par le vent sans qu’on s’y intéresse ni s’en émeuve.
Plus intéressant serait le trauma familial de Sam qui se révèle par une série de flashbacks et dont la résolution constitue le point d’orgue du film. Mais, son manque de lien avec le "road movie" des quatre jeunes donne la fâcheuse impression d’un scénario mal ficelé à partir de deux sujets sans lien entre eux.
Sébastien Lifshitz est un des réalisateurs les plus intéressants de sa génération. Très investi dans la cause LGBT, il a réalisé ces dix dernières années, quatre documentaires marquants : "Les Invisibles" (2012) sur les couples homosexuels menant une vie ultra-normale, loin des caricatures qu’on en fait trop souvent, "Bambi" (2013) sur la vie d’une célèbre artiste transgenre de cabaret, "Adolescentes" (2019) sur deux jeunes filles de province qui cherchent leur voie et enfin "Petite fille" (2020) sur le combat d’une mère dont le fils souhaite changer de genre.
Mais avant de se fixer définitivement sur le documentaire, Sébastien Lifshitz s’était frotté à la fiction. Il avait tourné "Wild Side" en 2004 autour d’un trio de marginaux prostitués et transgenres. Cinq ans plus tard, il réalisait "Plein sud", avec un scénario plus "mainstream" et des acteurs plus "bankables" : Léa Seydoux, icône de l’hyperféminité, Nicole Garcia toujours magnétique, Yannick Rénier dont le talent de son demi-frère, Jérémie, a hélas occulté la carrière.
Malheureusement la sauce ne prend pas. Les combinaisons amoureuses du quatuor (Mathieu aime Sam, Léa couche avec Jérémie) se déploient dans le huis clos de la voiture puis sur les plages atlantiques battues par le vent sans qu’on s’y intéresse ni s’en émeuve.
Plus intéressant serait le trauma familial de Sam qui se révèle par une série de flashbacks et dont la résolution constitue le point d’orgue du film. Mais, son manque de lien avec le "road movie" des quatre jeunes donne la fâcheuse impression d’un scénario mal ficelé à partir de deux sujets sans lien entre eux.
Jonathan M
Un road trip initiatique avec quatre personnages largués. Dans un vieux break Ford, cap vers Tudela en quête...d'on ne sait pas trop quoi. Ce jeune enfant devenu grand, fait 1000 bornes à voiture pour chercher une mère qu'il ne souhaite finalement pas voir. Sur le chemin, il redécouvre sa sexualité et vacille vers des inconnus sans véritable explication. La balade n'est pas désagréable, mais n'a pas d'intérêts majeurs. Alors bon, c'est quelque peu ennuyant, malgré le soleil Léa Seydoux.
film nul nul à ne pas aller voir..
Viens de voir 1/2 heure de film; déjà ennuyé, donc j'ai fait un tour par ALLOCINE, pour lire les critiques spectateurs: édifiant, majorité de mauvaises opinions, avec lesquelles je suis plutôt d'accord. Filmé à la comme j'te pousse, façon road movie amateur, des flash back un peu longuets, voire répétitifs, des postures, même si les comédiens sont bons, quoiqu'un peu caricaturaux. Daté de 2009, ce film date déjà. Je n'irai pas jusqu'au bout, cette première 1/2h étant révélatrice de tout ce que ce film a raté!
Fêtons le cinéma
L’entrelacs des temporalités peine à divulguer l’insuffisance d’une intrigue qui s’étire longuement sur une heure et demie, diluant ses enjeux dans une solution psychologisante des plus imbuvables. Et si Plein Sud s’ouvre par une révolte, ce corps lancé dans une chorégraphie mêlant provocation sensuelle et déchaînement physique, il la perd en chemin, trop soucieux d’éclairer les zones d’ombre de ses personnages à la lumière de grands événements explicatifs. Nous voilà revenu au temps du naturalisme zolien dans ce qu’il peut avoir de schématique : le film de Sébastien Lifshitz passe de la chronique adolescente au programme démonstratif qui se voit contraint de dénuder ses acteurs et son actrice pour tenter, en vain, d’incarner un périple en voiture sans grâce ni authenticité. Seule la tentation documentaire insérée au sein du long métrage ouvre une fenêtre vers le réel, sillon que creusera magnifiquement le réalisateur avec Adolescentes en 2020.
La mise en scène est soignée, l'idée jolie et le casting prometteur mais le récit déconstruit, le manque de profondeur et l'absence de mixité laissent de côté.
Sans être un film d'action motivé ou un chef-d’œuvre c'est une histoire de tous les jours rendu intéressante mais sans aucune réponse. Si vous cherchez un film d'action ce n'est pas pour vous. Le jeune homme Sam est toujours traumatisé et peut-être un tout petit peu suicidaire après avoir vu son père se suicider pendant qu'il le regardait, luttant avec sa mère devenir folle à la suite de la mort de son mari après une dispute dans leur voiture. Plus de 15 ans plus tard Sam descend dans le sud pour tenter de retrouver sa mère avec des amis sans leur dire ce qu'il fait. Sur le chemin nous avons une certaine affection entre certains des quatre d'entre eux, une fille qui est tombée enceinte et son frère et un autre ami qu'ils ramassent. Nicole Garcia et Léa Seydoux sont très bien dans leur rôles. Je ne connaissais pas Yannick Renier mais il est très convaincant. Plein sud est un récit estival agréable où l'on ne nous propose aucune solution ni même un point culminant. Je trouve que cela rend le film intéressant comme la vraie vie. C'est l'un de ces films qui vous fait réfléchir et vous rappelle certains de vos propres souvenirs d'été tout au long du spectacle de la vie. Certains pourraient être déçus de ne pas avoir les solutions et une fin heureuse mais j'aime les films qui ne donnent pas toutes les réponses mais en laissent à chacun d'entre nous et à notre imagination...
Une place achetée pour rien, j'ai mal commencé l'année avec ce navet. Des scènes érotiques un peu glauques pour meubler un scénario plus que léger avec l'intervention des auto-stoppeurs qui est sans intérêt. Je me suis levé à la fin du film franchement interloqué. Le jeu des acteurs ai-je lu, oui ce n'est pas faux.
Je ne saurai trop vous déconseiller ce film.
Je ne saurai trop vous déconseiller ce film.
Excellent film français qu'on a plaisir à suivre, avec de bons acteurs.
C'est un film sans grand intérêt, mal et même pas dialogué sur un sujet rebattu. L'acteur principal (Yannick Régnier,très beau)est filmé comme dans une pub ce qui semble avoir beaucoup excité le réalisateur. La beauté des mecs est d'ailleurs l'intérêt principal du film, mais c'est un peu faible! Léa Seydoux est assez nulle et son personnage très mal défini, d'ailleurs le réalisateur l'abandonne en route, tellement il n'y croit pas. Nicole Garcia(assez bien) joue à nouveau une mère folle, ce qui semble être devenu sa spécialité...
On s'ennuie franchement.
On s'ennuie franchement.
Encore un film qui sert à rien, mais cette fois vraiment à rien du tout...
J'ai vraiment failli m'endormir. Désolé je ne suis pas rentré dans l'histoire.
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