Avis : Warrior - Page 8

Un film plaisant, classique dans le genre combats : une première partie d'entrainement assez longue, et des scènes de combat vraiment bleuffantes. Les motivations des deux frères font un peu cliché, mais on rentre bien dans le film, et on pardonne les petites facilités de scénario.

Mouai ba déçu un pe. Vu le nombre de bonnes critik et de mon entourage je m'attendais a mieux...
Mon principal problème pour ce film c'est que j'y crois pas, donc je arrive pas a rentrer dans le film. Je trouve l'histoire pas tres crédible... Les deux frères en final voila koi. Apres l'histoire des blessures familial est bien. Mais j'ai moyennement accrocher et pi les combats Free fight au sol pas mon truk... Mais bon il reste a voir kan meme...

ce film est énorme c'est une tuerie les acteurs sont formidables l'histoire est magnifique la réalisation est énorme aucun défaut dans ce film je m'attendais à un film de combat basic se fut tout le contraire film à voir a tous prie

Superbe film digne de la saga des Rocky , émotions , combats sont aux rendez vous , une belle histoire poignante

Bourre-pif à 2 balles. Film de bourrins pour des spectateurs bourrins. Tous les clichés du genre, le gentil frère et son méchant qui revient de la guerre, un père alcoolique, le gros méchant russe qui détruit tout le monde. C'est d'un ridicule incroyable au 21° siècle.

Belle découverte. J'ai ADORE. Un film bien tourné, des scènes de combat ultra réalistes, une B.O en or, le bon alliage de testostérone ... on signe et on y revient. A voir absolument !

j'ai adoré

Film ô combien surcoté. Warrior, c'est typiquement le genre de film qui ravira les ados fans de mangas, tant le scénario rappelle celui d'un Shonen. Et encore, le Shonen se veut souvent porteur de grands messages, de grandes valeurs. Ici, Warrior est une assiette superficielle que l'on assaisonne d'une apparente sensibilité. Mais non, c'est dénué de finesse, de surprise et de crédibilité. Entre le frère indestructible, et l'autre indestructeur - noté la faute volontaire -, on assiste bel et bien à des combats type manga, aberrant, bien que toutefois bien chorégraphié - quand Tom 'Sangoku' Hardy ne gagne pas en un coup, cela va de soi -. Quand un professeur avec quelques mois d'entrainement dans les pattes affrontent les plus grands combattants de la planète, par la seule force de la volonté, j'ai juste envie de crier 'alloooo'. Ca ne choque moi ? Bref, une simple et toutefois énorme mention à Tom Hardy qui porte le film sur ses - impressionnants - trapèzes. Un acteur dont on découvre tout le talent de films en films. Quant à son frère aîné, il a le charisme d'un porte-manteau, c'est dit. Warrior est une grosse déception, doublé d'un film dont seuls les plus crédules chantent les louanges.

Un film poignant, mais cependant trop caricaturé. Alliant spectacle à l'ombre, Warrior traite d'un sujet classique, mais le fait -très- correctement.

j'adore. très beau film. superbe fin. de supers acteurs. de l'émotion jusqu'au bout. de beaux combats. a voir et a revoir.

Bon film de beauf, avec une fin ultra attendue et pourtant tellement improbable ! Film sauvé par ses scènes de combat ultra réalistes et bien filmés.

Le meilleurs films de free fight qui existe ! Les acteurs sont géniaux et l'action est au rendez vous dans ce scénario surprenant. Les scènes de "bagarre" dans l'hexagone sont ultra-réalistes avec bien évidemment des K-O et autres soumission qui nous impressionne. L'on est tiraillés tout le long du film : l'on ne sait quel partie prendre, les deux frères se battent tous deux pour une belle cause. Un film que je conseille as tous les amateurs du genre.

Si les balourds espéraient voir de sales combats de MMA (arts martiaux mixtes), ceux qui savent ce qu’est le cinéma pouvaient espérer un peu mieux. Et c’est ce que laisser présager le film de Gavin O’connor, une histoire de rédemption familiale teintée d’émotion, et éventuellement un peu de combats à pieds nus. Mais alors Warrior est-il plus pour les bouffeurs de pop-corn qui attendent de la baston, on pour ceux qui aiment les belles histoires ? La réponse dans quelques lignes.

Nous suivons ici la vie de trois personnes : Brendan (Joel Edgerton) qui cherche le pardon de son frère et ne pardonne pas son père, Tommy (Tom Hardy) le frère de Brendan qui lui, ne pardonne personne, et enfin Paddy (Nick Nolte) leur père, qui essaye de se faire pardonner. L’histoire nous fait vivre les sentiments de chacun de ces personnages et n’oublie pas de les relier à la trame principale, afin de nourrir l’intérêt du spectateur et de bien poser leurs enjeux. En présentant leur quotidien et en rendant cette analyse pertinente, le film arrive à créer un lien solide entre le spectateur et les personnages. Et c’est grâce à ce lien que le travail sur les scènes se révèle être payant, car il permet de s’attacher aux personnages et de partager leurs souffrances mais aussi leur joie. Le cadre est alors bien posé et chaque passage s’intéressant au drame familial en demeure plus frappant.

Cette force donnée à l’intrigue existe notamment grâce au travail des acteurs. Dans l’ensemble très bons, et mémorables si l’on parle des trois acteurs principaux. Joel Edgerton est simplement parfait, toujours dans la justesse. La performance de Tom Hardy est également monstrueuse car sans son talent, son personnage serait vite devenu insupportable. L’acteur du film reste sans aucun doute l’incroyable Nick Nolte dont l’interprétation énormément touchante est à tomber par terre.

Les combats ne sont pas vraiment le cœur du récit. Par leur mise en scène modeste mais efficace, Gavin O’connor se concentre plus sur les personnages que sur l’action elle-même. Ces affrontements servent alors à initier une montée en puissance des événements et leur dénouement se révèle être une pure décharge d’adrénaline pour le spectateur. Mais plus que tout, c’est avant tout la beauté dans l’émotion qui ressort de ce long-métrage. Dans certains passages se révèle une touche émotive grandiose, capable de nous faire vivre ce que les personnages vivent. Emporté par cette force qui nous submerge, on se retrouve totalement pénétré par le moindre acte des protagonistes. Et c’est cette force dans la direction du récit qui définit ce qu’est Warrior : une histoire magnifique.

“Warrior” n’a vraiment pas mérité son échec en salles, probablement causé par la sortie, moins d’un an plus tôt, de « The Fighter », dont le titre et le sujet sont très similaires. A savoir, un drame familial sur fond de success story de sport de combat. Pourtant, il serait dommage de passer à côté du film de Gavin O’Connor. D’abord parce que celui-ci se déroule dans l’univers du MMA, sport de combat dangereux, technique, et surtout très violent. Cela change (un peu) de la boxe, et met en exergue les différences entre deux frères brouillés, protagonistes du film. L’un est une véritable pelote de haine, tissée par un père alcoolique et violent, une mère qu’il a vu mourir dans la pauvreté, et une éducation sans vrai modèle. Incarné par un Tom Hardy animal à souhait, il canalise son énergie et son agressivité dans le MMA, se focalisant uniquement sur le combat, sans les artifices de spectacle qui l’entourent. L’autre est un père de famille aimant et protecteur, qui refuse de reproduire les erreurs de son père. Cependant, pour des raisons financières, il se voit contraint de délaisser ses activités de prof de sciences physiques (!) pour retourner à l’univers du MMA. Un rôle moyennement crédible sur le papier (voire carrément risible). Mais Gavin O’Connor parvient à sans mal à rendre ce personnage attachant et convaincant, d’une part en admettant explicitement son côté saugrenu. D’autre part en exploitant à merveille Joel Edgerton, qui convient très bien à ce père de famille posé et raisonné, qui utilise dans les cages son talent pour la technique et sa capacité à résister plutôt que la brutalité pure. Et qui évidemment, va voir son frère sur le chemin. L’affrontement sera-t-il paradoxalement l’occasion de rétablir les liens ? Entre les deux, leur seul point commun : cette figure paternelle dysfonctionnelle et décrépie, mue désormais uniquement par un regret impuissant, et détestée par ses deux fils. Nick Nolte est particulièrement touchant dans ce rôle qui apporte beaucoup de sel à ce drame familial réussi. Au-delà du volet dramatique, les séquences de combats prennent particulièrement aux tripes. Affrontements violents et réalistes, acteurs physiquement impliqués, utilisation (ou pas, selon l’effet voulu) des voix de commentateurs pour rajouter de la pression, montage fluide… Passée la première moitié qui met en place posément ses personnages, la deuxième est particulièrement généreuse à ce niveau ! Il y a aura bien sûr quelques références à la saga « Rocky », mais est-il possible de réaliser une success story sur les sports de combat sans penser à cette franchise ? Probablement pas, à l’image de l’une de ces références, carrément explicite et mentionnée par l’un des personnages ! « Warrior » est donc un drame joli et percutant, qui gagne à être vu.

Un drame poignant sur deux frères séparés par la vie pendant leur enfance et qui se retournent dans un tournoi d’arts martiaux mixtes. Il n'est pas seulement question de remporter le prix, c'est aussi le combat d'une vie. L'histoire est intense sur les relations familiales, les regards, des combats de boxe à couper le souffle et la fin est touchante. Joel Edgerton est surprenant dans le rôle du professeur qui rentre dans le tournoi pour sauver sa famille, Tom Hardy est impressionnant dans le rôle de son frère, un ancien marine hanté par un passé tragique et Nick Nolte est touchant dans le rôle de leur père un ex-alcoolique.